• France

    L'ARCHE DE LA DEFENSE


    Mitterrand était fasciné par l’Arche et par Noé, c’est ce que confirme Georges-Marc Benamou : « Aller sur le mont Ararat, vers l’Arche de Noé et ses débris magiques qu’il trouvera peut-être au sommet de la montagne - dans le couloir il s’arrête souvent devant la gigantesque carte du mont Ararat vu de satellite. »



    Bâtie en partie par Christian Pellerin, ami de Patrice Pelat, la Défense est un concentré de monuments remarquables par leur symbolique maçonnique et pythagoricienne. Ce quartier abrite en effet la tour Eve (cette croqueuse de pommes, qui fait pendant au mangeur de pommes aujourd’hui promu à la présidence de la République) et la tour jean Monnet. Mondialiste et père de l’Europe, Monnet, qui avait soutenu François Mitterrand en 1965, est un des personnages les plus influents du siècle.


    Mais la Défense comprend aussi des tours consacrées à l’un des philosophes les plus importants des Lumières, Voltaire, ainsi qu’à l’un des agents les plus importants des révolutions atlantiques française et américaine, La Fayette.


    On peut y ajouter une tour Descartes (père du rationalisme moderne, apôtre de la pensée mécanicienne), une école André Malraux, une tour Michelet, la ZAC Danton, la tour Arago (révolutionnaire de 1848, présent sur le méridien), le quartier Valmy (la fameuse bataille républicaine truquée et achetée au duc de Brunswick). D’autres figures géométriques donnent de la Défense cette image spécifique : le cube de lArche, le parallélépipède de la tour Fiat, la sphère de la salle de cinéma Imax, les « rapporteurs » de 180’ des tours jumelles de Roland Castro, auxquels aurait dû s’ajouter le cylindre de la tour Infinie.


    Devant l’Arche s’étend le centre commercial des Quatre Temps : les quatre âges de la tradition ésotérique, recensés dans toutes les traditions. On distingue l’âge d’or, l’âge d’argent, l’âge de bronze et l’âge de fer. Hésiode a remarquablement développé les définitions de ces quatre âges dans Les Travaux et les jours. Mais un des ésotéristes contemporains de la Révolution, Favre d’Olivet, renversait l’ordre traditionnel et voyait au contraire l’âge d’or à venir. Le Centre national des industries et techniques, aussi chargé que le musée des Arts et Métiers popularisé par l’adepte Umberto Eco (autre fervent du méridien de Paris), est lui aussi un temple : il s’agit d’un triangle dont la voûte de béton ne repose que sur trois points, reproduisant ainsi la voûte céleste. On y pénètre par trois ouvertures en forme d’arcen-ciel, qui représentent un passage privilégié, un pont vers l’au-delà. On se souvient aussi que Mitterrand fait de son pèlerinage à Solutré un cheminement initiatique et chromatique : « Mes pas y tracent un chemin d’arc-en-ciel où dominent le mauve et le bleu. » La Défense, en tout cas, avec l’Arche, a trouvé le monument capable d’embrasser d’un grand geste noble et fédérateur un paysage qui n’était encore qu’un aléatoire surgissement de tours. Pas si aléatoire que cela d’ailleurs, pour peu que l’on se penche sur les projets babéliens de la Défense et de Nanterre qui attendaient leur Tête Défense, leur Royal Arch...


    L’Arche donc. S’il est des monuments, des lieux où souffle l’esprit, où soufflent les esprits, la Grande Arche de la Défense en fait assurément partie. « On y sent les vibrations », comme disent nos contemporains, et nous ne pouvons que nous interroger sur les raisons qui ont poussé un empereur architecte à concevoir et réaliser une œuvre similaire. Paris est, il est vrai, la « barque d’Isis », cité de la déesse de la connaissance secrète, de la Pistis Sophia. Elle est donc une cité dont les monuments importants sont tous signifiants. L’Arche de la Défense est située dans le prolongement du Decumanus. Les cités traditionnelles étaient construites en fonction des axes : l’axe nord-sud ou Cardo et l’axe orientoccident, Decumanus. C’est ce Decumanus parisien qui a intéressé les bâtisseurs depuis des siècles en France : Vincennes, Nation, Bastille, la place Royale, le Louvre,, les Tuileries, la Concorde, les Champs-Elysées, l’Etoile et pour finir la Défense au symbolisme très riche en dépit de son caractère récent. C’est évidemment le Decumanus qui dans un premier temps a intéressé François Mitterrand et ses Grands Travaux. La destination révolutionnaire et maçonnique de l’Arche est évidente. Révolution désigne un retour : retour à l’âge d’or, aux temps républicains, à l’origine primordiale décrite par Rousseau.


    Les grands projets ont été implantés en des sites superbes et de grande signification historique : la Tête Défense, au bout de l’axe royal qui court depuis le Carrousel et les Tuileries pour se perdre à l’ouest, bien au-delà des Champs-Élysées ; les bords de Seine qui, de Tolbiac (la bataille fondatrice de la monarchie franque et mérovingienne) au Trocadéro (lieu célébrant la victoire royaliste en 1823, et palais visité par Hitler, en même temps que l’Opéra, au cours d’une excursion sinistre), confirment leur tradition d’axe majestueux des palais et des institutions, formant à Paris une manière de grand canal ; la cour du Louvre, surtout (et c’est l’histoire des rois et des empereurs que l’on intégrait) ; enfin la place de la Bastille, seul symbole républicain dans ce Decumanus monarchiste.


    L’Arche est d’abord l’Arche de la Fraternité, qui est la devise de la République comme celle de la maçonnerie.


    Selon son architecte danois Spreckelsen (comme le roi Salomon, avait choisi pour bâtir le Temple un étranger en la personne d’Hiram, venu de Tyr, Mitterrand choisit des architectes étrangers pour accomplir ses Grands Travaux), la Grande Arche représente un cube ouvert, une fenêtre sur le monde, un arc de triomphe moderne à la gloire du triomphe de l’humanité. Spreckelsen a construit des églises au Danemark ; il ne manquait jamais, diton, de sortir de sa sacoche quelques échantillons de marbre et de bronze dont il savait le Président friand. Étrange amateur de pierres décidément... Faut-il y voir une allusion au « convive de pierre » dont Don juan, être si cher à Mitterrand, est luimême si friand ?


    Cette construction en forme d’autel est cubique comme l’autel d’Apollon, divinité suprême des pythagoriciens. L’Arche a été inaugurée le 14 juillet 1989 pour le G7, le sommet des sept pays les plus industrialisés. Comme le souligne Jules Boucher, en utilisant les références maçonniques, « c’est donc sept maîtres qui participent aux recherches. Ces sept participants sont les suivants : le vénérable correspond à Jupiter ; le premier sur-veillant à Mars ; le second surveillant à Vénus ; l’orateur au Soleil ; le secrétaire à la Lune ; l’expert à Saturne ; le maître des cérémonies à Mercure ».


    Au sud-ouest de l’arche ont été édifiées par Roland Castro des tours jumelles qui sont les pendants maçonniques des colonnes Boaz et Jakin du Temple. La réunion de ces deux « rapporteurs » de 180’ forme un zodiaque de 360°, une nouvelle voûte céleste. Au nord-ouest enfin, suite au concours organisé par la société anonyme de la Grande Arche (Saga), devrait s’élever, en écho à la tour de Babel, la tour Infinie ou tour sans fin... Au lieu-dit Triangle de la folie.


    Ajoutons qu’au-dessus du parvis de l’Arche, entrée du Temple, est érigé le nuage. Ce nuage dominé par l’arche babélienne est aussi, de par sa forme, une tente, tente protectrice dont on sait qu’elle était in principio l’occupation professionnelle de l’apôtre Paul. Il évoque et invoque la domination des vents, dont nous avons déjà étudié l’importance. Mais l’Arche en tant que tente représente aussi l’Arche d’Alliance qui fut protégée par Moïse de retour du Sinaï, par le biais d’une tente justement. Le nuage se dit ghana en sanscrit : il est appliqué à l’Embryon primordial d’où naît le nom. Et comme le dit Yahvé à Moïse : « je viendrai à toi dans l’épaisseur de la nuée »... (Exode, 19, 9). Détail étonnant, un 15 août, la grue géante placée sur les voies de l’autoroute commença à élever la plaque. À 50 mètres d’altitude, elle se mit à tournoyer sur elle-même. Le château tournoyant est fréquent dans les récits du Graal où il représente les forces démoniaques, incontrôlées, que le chevalier doit maîtriser par les épreuves qu’il affronte.


    L’Arche repose en partie sur le nombre 12. À son sommet, se trouve un zodiaque astrologique dont les douze signes sont les douze portes du ciel. Elle repose sur douze énormes piliers, chaque pilier étant naturellement associé à un signe du zodiaque. Elle mesure 110 mètres de côté. Le nombre Il est très évoqué dans la construction du Temple de Salomon, cette préfiguration architectonique et scientifique du Grand Monarque. D’autres édifices parisiens comprennent ce chiffre, sans compter les tours célèbres du World Trade Center qui à New York comptent 110 étages. L’église Saint-Sulpice mesure 110 mètres de long ; la cour Napoléon du Louvre fait 220 mètres sur 110 ; le Panthéon, toujours lui, a une longueur de 110 mètres.


    L’Arche compte quatre faces. Notons que 25 carrés rythment les faces des tours et la dalle. La cinquième case est occupée par le cratère qui permet d’accéder au centre de la terre.


    L’Arche est censée compter 36 étages ; rappelons à cet égard que le 666 est la somme des 36 premiers nombres. L’Arche est sous la protection des 36 décans de l’astrologie. 36 x 4 donne 144, soit le millième du nombre d’élus de l’Apocalypse de saint jean. Enfin, 36 est la racine de 1296 dont nous avons vu l’importance numérologique.


    L’Arche est un temple astronomique. René Guénon rappelle qu’« il y a dans l’astrologie traditionnelle tout autre chose qu’un "art divinatoire" ou une science conjecturale" comme le pensent les modernes. Il y a là, en vérité, tout ce qui se retrouve, sous des expressions diverses, dans d’autres sciences du même ordre ( ... ) et ce qui donne à ces sciences une valeur proprement initiatique, permettant de les regarder comme faisant partie intégrante de la Science sacrée ».


    Au sommet de l’Arche, sur la dalle, le sol des quatre patios montre un zodiaque de 360’ divisé en 12 signes astrologiques et en 36 décans. Il s’agit de l’œuvre de Jean-Pierre Raynaud qui s’en est expliqué dans la revue Événement média n°, 3 : « J’ai voulu mettre la Grande Arche en situation planétaire. Le XXe Siècle, trop porté sur le visible, n’est pas à l’aise avec les parties invisibles... il fallait retrouver l’Est, c’est-à-dire le degré zéro du Bélier, le premier jour du printemps. À partir de ce point, nous avons placé les douze signes du zodiaque. Il y a quatre patios, quatre endroits où les signes sont occultés. Parmi les huit signes visibles, quatre sont pleins, quatre coupés... Le signe du Lion n’apparaît pas. Mais il est présent dans la partie invisible. Tout ce qui existe n’est pas visible. »


    Le calcul de l’ère est donné par 360 (le zodiaque) x 6 (les faces du cube). La durée de la précession des équinoxes est donnée par 2 160 x 12 (les douze parties soutenant l’Arche). Le chiffre obtenu est de 25 920. 25 920 ans, c’est la durée de l’âge d’or dans la cyclologie traditionnelle. L’âge d’argent décrit par Hésiode dure 19 440 ans, l’âge de bronze 12 960 ans et le fameux âge de fer (le Kâlî-Yuga de l’hindouisme) 6 480 ans. 4, 3, 2, 1 : on retrouve l’ordre de la Tétraktys pythagoricienne.


    La dalle astrologique offre aussi une impressionnante succession de carrés magiques s’emboîtant les uns dans les autres. Les carrés magiques sont associés généralement aux « sceaux planétaires », dont la confection permet d’attirer sur soi les vertus bénéfiques des planètes ou des constellations que l’on invoque par ce moyen. Au centre de la dalle de l’Arche, on trouve le démiurge, le Temple, le carré de Saturne puis celui de la Terre, de Jupiter, de Mars, de Vénus et du Soleil. Nous avons vu que se dresse au centre du parvis, sous le nuage, un temple. Il permet d’accéder au centre de la terre, de passer des Cieux à l’Enfer, comme dans le cas de la pyramide du Louvre. Sous la protection des divinités astrales du zodiaque, l’initié entreprend la descente dans les profondeurs de la terre.


    L’Arche de la Fraternité a été inaugurée le 26 août 1989 à quelque jours de l’inauguration de cet "autre axe" , l’axe majeur de Cergy Saint-CHRISTOPHE clé de tout le projet architectural de François Mitterrand et deux cents ans après la Déclaration des droits de l’homme, dont la conception est de caractère initiatique.





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    Sub Rosa


    Les tracés des diffrérentes roses ont des points de connexion,la base d'une "machinerie" qui, utilise les forces telluriques et cosmiques


    Avec cette humilité naturelle qui leur va comme une bure, les moines prétendent que le "secret des cathédrales" a été retrouvé. Pas moins! Un français, presque par hasard, a découvert qu'un tracé géométrique relie les cathédrales. Les moines se sont empressés de la mettre sur un ordinateur, afin de vérifier cette hypothèse. En fait, ce sont les cathédrales qui ont été construites sur un tracé pré-existant qu'ils ont appelé la Rose de Nostre Dame. D'une part parce que la très grande majorité des cathédrales sont dédiées à Notre Dame. Et d'autre part, ce tracé particulier (fig 3) représente efectivement une rose coupée en 2 perpendiculairement à sa tige. La rose depuis des siècles est synonimes de mystère et de secret.


    Quand on est un tant soit peu versé dans la géométrie, en regardant une carte sur laquelle sont pointées toutes les cathédrales (près de 200 en France), on s'empresse d'avancer le hasard qui doit permettre le dessin d'une figure, les points étant nombreux. En fait, ce tracé complexe émane d'un tracé simple qui est l'étoile à 5 branches (pentalha, pentagramme).



    On trace un cercle dans lequel on construit une étoile à 5 branches, en prolongeant l'une des branches. Le centre étant Paris, plus exactement la croisée des transepts de Notre-Dame. On fait tourner l'étoile autour de son centre, dès que le prolongement rencontre une cathédrale, on constate que les 4 autre branches connectent des cathédrales (fig 1). Il est à noter qu'aucune branche ne tombe dans le vide, chacune touche une cathédrale. Etonnant! Encore plus étonnant: les grandes villes (Cannes, Roubaix, Lille, Einal) qui n'ont pas de cathédrale, ne sont pas sur le tracé.


    Cette étoile à 5 branches est en quelque sorte l'algorythme mathématique grâce auquel on construit la Rose. La Rose des cathédrales est la superposition de plusieurs tracés (voir un tracé simple en fig. 2). Nos moines aiment à dire que "c'est un cadeau de Dieu à notre temps". Pour le confondre, en quelque sorte, dans son dénuement spirituel et sa pauvreté morale. L'un engendre l'autre.


    LA ROSE PROPHETIQUE


    S'exprimant ainsi, nos religieux rappellent que Dieu parle aux hommes. Ainsi, ils expliquent à travers une multitude de nuances que les cathédrales, c'est Dieu qui les a inspirées: l'emplacement, le tracé, les volumes. Si on doute, ils s'empressent de rétorquer "mais tout est dit dans la Bible". En celà ils veulent dire que dans les plans des cathédrales on retrouve le tracé du temple de Salomon. Pourquoi Dieu aurait-il ordonné avec force détails de construire son temple à Salomon, ne l'aurait-il pas ordonné à tous ses enfants au cours des siècles? "Seul l'incrédule en la matière est celui qui est dans 'impiété", dures, dures, ces paroles de moines, mais c'est la vérité vraie, on ne peut parler qu'en connaissance de cause.


    Sans être des Cassandre, des oiseaux de malheur, ils rappellent sans cesse que l'homme court à sa perte, et qu'elle serait imminente. Et ils rajoutent avec un immense sourire emprunt de compassion "sauf si l'homme se convertit". Ils ont même des amis qui parcourent la planète pour le dire. Le plus étonnant c'est que les médias grand public n'en parlent jamais, si ce n'est pour en rire. Par contre devins et autres astrologues se disputent la vedette pour annoncer des prédictions que personne ne prend la peine de vérifier!



    AUTRES ROSES


    L'inventeur de la Rose des cathédrales s'est mis a tracer des roses comme beaucoup le font depuis peu. Ce fut tout d'abord la Rose des bâtiments religieux de Paris. La plus élémentaire est une Rose à 10 branches (2x5). Puis en partant des grands travaux il a pu tracer une Rose à 13 branches dont le centre est la Pyramide du Louvre, et sur laquelle sont implantées les loges.


    Reprenant la carte de France, il a constaté que les centrales nucléaires sont implantées selon des étoiles concentriques à 6 branches. Sans aller jusqu'à ce tracé sophistiqué, on constate que 2 et même 3 centrales sont sur des lignes droites. Et d'aucuns émettent l'hyppothèse que ceci serait la partie immergée d'un iceberg qui serait "une fantastique machinerie" qui pourrait agir sur les climats, sur le psychisme...


    "Hypoyhèse" disent-ils, et rajoutent "nous ne sommes que des pauvres moines, nous n'avons pas à vérifier." Et pourquoi de "Nostre Dame"? Encore les religieux qui ont constaté que l'on parle beaucoup des chevaliers du Moyen Age depuis peu, en donnant nombre de détails sur leur initiation. Il n'est pas inutile de préciser qu'en fait d'initiation, c'était un adoubement et que le chevalier se consacrait officiellement à la Sainte Vierge. "Notre Dame veillez que je devienne pas parjure. Pour Dieu et ma Dame" (sa dame étant la Vierge Marie). Et l'un des vieux moines d'ajouter malicieusement: "On voudrait nous faire prendre le diable pour le Bon Dieu." Ne pas confondre!



    Depuis la découverte de la Rose sur laquelle sont implantées les cathédrales, le principe a été appliqué à d'autres édifices. Ainsi, sur la Rose qui englobe les édifices qui sont les pôles de la foi catholique. Sur une carte de Paris tracer un cercle de 25 cm de rayon, le centre étant la croisée des transepts de Notre Dame. Du centre, tracer 2 droites, l'une en direction du Sacré Coeur, l'autre en direction de la chapelle de la rue du Bac (le choeur des deux édifices étant le point d'intersection des droites). A remarquer que ces 2 droites forment un angle droit. Vous pouvez facilement, en vous servant d'un compas et d'une règle tracer une étoile à 10 branches (2 fois 5 branches) dont les côtés et les axes vont connecter automatiquement différents édifices ou églises. A remarquer que s'inscrit sur la rose l'église de Sainte Geneviève et non le Panthéon. A noter le sanctuaire du Christ Roi qui a été livré aux démolisseurs en 1952, il avait été édifié juste avant guerre à la demande du Christ selon une petite religieuse, Soeur Oliva, qui avait fourni l'emplacement et les plans (elle savait à peine lire, elle fut persécutée toute sa vie).


    En reliant les grands travaux, on trace un angle isocèle, dont 2 des côtés permettent le tracé d'une étoile à 13 branches, le centre en est la pyramide du Louvre. Sur ce tracé on relève le Panthéon, des édifices des Grands Travaux... Appliquant le même principe aux centrales nucléaires on découvre une nouvelle rose composée d'étoiles à 6 branches. Le hasard ne peut pas être invoqué!


    Or les tracés des diffrérentes roses ont des points de connexion, ne pourrait-on imaginer que ceci soit la base d'une "machinerie" qui, utilisant les forces telluriques et cosmiques, entrerait en vibration à des moments déterminés. Tous ces édifices sont construits à la fois sur des points à forte rémanence et de telle façon à être orientés selon certaines évolutions astrales... ?





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    AXE MAJEUR DE LA FRANCE


    L’Axe majeur de la France débute à Cergy Saint Christophe (non loin de Gisors) et croise le méridien de Paris à hauteur de la Pyramide du Louvre. C’est à Cergy sur l’esplanade d’où l’on découvre Paris et les tours de la Défense au loin qu’une dalle a été déposée à l’occasion de la commémoration du bicentenaire de la révolution française.


    L’axe majeur consiste en un gigantesque appareillage de plus d’un km de long et semblable à la Place Saint Pierre au Vatican. Il s’agit là tout simplement du plus grand projet architectural de caractère ésotérique depuis la Grand Place de Bruxelles. Il y a un silence total sur cet axe de la part des gouvernements et il n'y a aucun documents relatifs au symbolisme de cet ensemble.



    Cergy St Christophe


    Cergy St Christophe, (non loin de Gisors et de son château) doit être considéré comme le point de départ d’une gigantesque ligne traversant la France de part en part. La Place Ronde symbolise le monde, avec ses 360 degrés formant un cercle de 360 dalles de 36 centimètres de large. La place ronde est aussi la rotule, le pivot entre la partie traversant le centre de Cergy Saint-Christophe et celle qui descend vers la vallée de l’Oise. Elle est encadrée par l’imposant dispositif des bâtiments de Ricardo Bofill, deux édifices carrés prolongés par une vaste rotonde reposant sur une colonnade interne. La tranche découpée dans l’édifice circulaire constitue la pente de visée de l’axe, une fenêtre incitant à la découverte du paysage. Lors de la conception de la Place Ronde, l’intervention de Bofill n’était pas encore prévue. Karavan avait pensé à placer en son centre, sur un socle circulaire en déclivité, un obélisque porteur d’un émetteur-laser. L’architecte catalan a été amené progressivement à modifier ses plans, à abandonner la déclivité et substituer à l’obélisque une tour carrée. Bofill a été amené à modifier un point de détail de son architecture pour mieux servir le concept de la tour penchée de Dani Karavan.


    La Tour Carrée située au centre de la place, symbolise avec ses 36 m de hauteur et 3,60 m de côté, à la fois l’équilibre et l’inflexion de l’axe, puisqu’elle est légèrement inclinée en direction du Sud-ouest. C’est la parfaite illustration sémiotique de la symbolique du Nombre : « qu’un seul des 36 hommes justes garants de la sagesse de la société vienne à manquer, l’équilibre est rompu. » De son sommet, belvédère de l’axe, on découvre le panorama sur la ville et toute la région parisienne. C’est de là que part le rayon laser, pour aboutir sur la ville et toute l’Oise et de son étang, au carrefour autoroutier de Ham, l’autre porte de la ville. Le rayon lumineux projette dans le ciel nocturne la perspective linéaire Nord-est/Sud-est de l’axe. Cette perspective rejoint au-delà du carrefour de Ham, l’axe des Champs-Elysées (Tuileries-Etoile-Défense) et le coupe sur la Seine à la hauteur de L’lle de Chatou, l’Ile des Impressionnistes, située sur la commune de Carrières-sur-Seine.


    Le Verger qui fait immédiatement suite à la Place Ronde, est un rappel du passé-agricole de Cergy. Les fenêtres externes de la Rotonde de Bofill donnent sur ses rangées d’espaliers. L’allée centrale traverse ensuite l’Esplanade, lieu de rencontre et d’animation, marquée par des éléments structurels qui évoquent la parenté analogique de l’Axe Majeur avec les grands tracés d’Ile-de-France : une colonnade, dont l’implantation et les proportions rappellent l’Arc de Triomphe du Carrousel ; un dallage de pavés du Louvre provenant du Passage de la Cour Napoléon à la Cour Carrée ; une fontaine de Vapeur, témoin de la présence d’une nappe d’eau chaude souterraine ; un rappel de rails sur le tracé de l’ancien chemin de fer qui desservait les villages des fermiers de la vallée de l’Oise jusqu’au début de ce siècle. L’esplanade débouche sur la Terrasse, belvédère panoramique situé à la rupture de la pente du plateau, amorce de la descente vers l’Oise. Les stations suivantes marquent les approches progressives du fleuve.

    Les jardins des Coteaux constituent la liaison végétale entre la partie urbanisée du plateau et la vallée de l’Oise. L’Amphithéâtre en bas du jardin, suit le rythme dégressif des courbes de niveau. Il constitue un lieu de spectacles à l’air libre et ses gradins font face à la Scène, entourée d’eau et qui donne sur un bassin relié directement à l’Oise. Conçu à la française, ce bassin crée l’illusion d’une inclinaison du niveau de l’eau. Il permet l’accès direct du fleuve à la Scène.


    L’Oise se trouve ainsi insérée dans la perspective de l’axe. Elle devient lieu théâtral. L’ensemble amphithéâtre et scène se trouve à proximité et en liaison directe avec l’ancienne maison de Gérard Philipe située au coeur d’un parc dont la vocation est éminemment culturelle.



    La cathédrale d’Evry


    La cathédrale d’Evry, dont le choeur, est dirigé Nord-Ouest et non à l’Est est la seule cathédrale construite ce siècle et avec de l'argent public. La symbolique franc maçonne se retrouve partout dans la forme générale. On peut constater entre autre, la colonne tronquée, chère aux francs-maçons. Cette symbolique ésotérique se retrouverait dans la forme générale. On peut effectivement rapprocher la forme de l'édifice de la colonne tronquée chère aux francs-maçons. Mais cette forme est récurrente chez l'architecte Botta, puisqu'on la retrouve dans un des "clones" de la cathédrale, le Musée d'Art Moderne de San Francisco. Le biseau permet simplement de donner une orientation au cylindre. Le second symbole maçonnique est le triangle (rappel de l'équerre). Le toit est effectivement triangulaire, mais le triangle est aussi un des symboles chrétiens, celui de la Trinité que l'on retrouve sur de nombreuses œuvres d'art religieuses.



    Paris


    A Paris, l'Axe croise le méridien de Paris à hauteur de la Pyramide du Louvre.



    Colline de Solutré


    Le tracé poursuit sa route pour traverser la colline de Solutré, haut lieu tellurique et ancien siège des Druides, lieu annuel d’un pèlerinage mystique. Mitterrand y fait de son pèlerinage un cheminement initiatique et chromatique: «Mes pas y tracent un chemin d’arc-en-ciel où dominent le mauve et le bleu». Au pied de la "Roche de Solutré", au lieu-dit "le Clos du Charnier" fut découvert en 1866, au-dessus d'un amas d'ossements de chevaux, un outillage lithique caractéristique. Dans le foyer, placé au milieu de la caverne, on a rencontré une pierre portant des signes inexpliqués jusqu’à ce jour qui fit donner le nom de "Solutréen" à une période culturelle du Paléolithique supérieur, entre -18.000 et -15.000 avant J.C.



    Château-Chinon


    Le château médiéval de Chinon est situé dans le département de l'Indre-et-Loire (37) entre Angers et Tours le long de la Vienne.Il domine le long de la Vienne l'ensemble du centre ville sur 500m de longueur et est positionné sur un éperon rocheux, dont les pentes sont abruptes sur 3 cotés. C’est en 1044 que Chinon, devient alors un domaine des Comtes d'Anjou. Des responsables de l'Ordre des templiers (en particulier le Grand Maître Jacques de Molay) furent emprisonnés dans son donjon par Philippe IV le Bel avant leur jugement. Les prisonniers ont gravé sur les murs des signes religieux et ésotériques encore visibles aujourd’hui. La légende veut qu'à l'instant de succomber dans les flammes, Jacques de Molay ait lancé une malédiction à l'attention du roi et du Pape : "Pape Clément ! Roi Philippe ! Avant un an, je vous cite à paraître au tribunal de Dieu pour y recevoir votre juste châtiment ! Maudits ! Maudits ! Tous maudits jusqu'à la treizième génération de vos races !" La malédiction du templier allait s'avérer exacte : Clément V meurt le 20 avril 1314 d'étouffement et Philippe le Bel décède en novembre 1314 d'un ictus cérébral ; ses trois fils mourront dans les 12 années à venir, sans laisser de descendance mâle, mettant ainsi fin à la lignée des Capétiens directs.



    Cortona


    L'Axe se termine en Italie à Cortona (ville jumelée avec Château-Chinon, le fruit du hasard certainement), où selon la légende se trouverait le tombeau du fameux Pythagore. On y trouve, là-bas aussi quelques traces templières.



    L'AFFAIRE DE GISORS


    Depuis son enfance, Roger Lhomoy, enfant du Vexin Normand, avait entendu parler de la légende d'un trésor était enfoui dans le château de Gisors. Au cours des années quarante Roger Lhomoy parvient à se faire embaucher comme gardien du Château. Là, il peut mener ses recherches en toute quiétude. La Mairie, alors propriétaire du château, met à sa disposition un logement de fonction au sein même de l’ensemble médiéval. Quelle aubaine pour notre chercheur ! A partir de ce moment ses activités de chercheur commencent. Le soir, dés que les portes du jardin sont fermées, Roger Lhomoy se met au travail et il finit par trouver.


    «Je suis dans une chapelle Romane en pierre de Louveciennes, longue de trente mètres, large de neuf, haute d’environ quatre mètres cinquante à la clef de voûte. Tout de suite à ma gauche, près du trou par lequel je suis passé, il y a un autel, en pierre, lui aussi, ainsi que son tabernacle. A ma droite tout le reste du bâtiment. Sur les murs, à mi-hauteur, soutenus par des corbeaux de pierre, les statuts du Christ et des douze apôtres, grandeur nature. Le long des murs, posés sur le sol, des sarcophages de pierre de 2 mètres de long et de 60 centimètres de larges : il y en a 19. Et dans la nef, ce qu’éclaire ma lumière est incroyable : trente coffres en métal précieux, rangés par colonnes de dix. Et le mot coffre est insuffisant : c’est plutôt d’armoires couchées qu’il faudrait parler, d’armoires dont chacune mesure 2,20 m de long, 1,80 m de haut, 1,60 m de large.»


    Une délégation de la mairie se rend sur les lieux. Personne n’ose descendre dans le puits de Lhomoy. Seul un certain Emile Beyne, ancien officier du Génie, accepte de s’introduire dans le boyau. Il ira presque au bout des excavations de Lhomoy. Mais devant le risque encouru et le manque d’air il se cantonne à envoyer des pierres dans l’orifice et constate que «cela résonne» Pour la mairie de Gisors, l’affaire en restera là ! D’autorité, et sans même tenter la moindre fouille, les excavations de Lhomoy seront rebouchées. Il tentera durant de nombreuses années à se faire entendre, tant auprès de la municipalité, qu’auprès du département. Pour beaucoup, Lhomoy ne sera plus qu’un original à l’esprit un peu dérangé.


    La place ronde à Cergy St Christophe La cathédrale d’Evry La colline de Solutré




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