• ACAMBARO


    En 1923, Waldemar Julsrud, commerçant d'origine allemande, et le "padre" Fray José Marie Martinez découvrirent le site archéologique de Chupicuaro datant de l'époque pré-classique et contenant des vases, des bols et des figurines de la plus ancienne culture indienne connue, nommée d'après le site et datant jusqu'à 1000 ans avant J.C., (antérieure aux indiens Tarascans, la plus vieille culture indiennne connue à cette époque). Quelques unes de ces figurines sont maintenant visibles par tous dans le musée d'Acambaro.


    En 1972, les datations par thermoluminescence constatées par

    l'Université de Pennsylvanie sur deux figurines furent de 2500 ans av. J.C.!


    Cette découverte "classique" ne souleva d'autre polémique que sa paternité contestée par un collectionneur rival. Quelques années plus tard, en juillet 1944, Waldemar Julsrud, alors âgé de 69 ans fit une découverte retentissante à Acambaro, petite ville mexicaine située à moins de 300 km au nord-ouest de Mexico, dans la province de Guanajuato.


    Alors qu'il se promenait à cheval le long d'un fossé près de la colline du taureau, en compagnie d'un de ses employés, un fermier nommé Odilon Tinajero, son attention fut attirée par un morceau de céramique émergeant du sol. C'était une figurine en terre cuite d'un style qui lui était inconnu. Il demanda à son employé de creuser et de lui ramener toutes les pièces similaires qu'il pourrait trouver. Tinajero se présenta quelques jours plus tard avec une brouette remplie de ces artefacts. Julsrud était stupéfait par le style et la diversité des figurines. Il passa un marché avec son employé : il lui payerait 1 peso pour toutes les figurines entières rapportées mais rien pour celles abîmées, qu'il devait quand même lui remettre ( et qu'il a conservées ).


    Son but visait non pas à encourager son fermier à en fabriquer ( il n'en aurait de toute façon eu, ni le temps, ni l'art et le prix était trop bas pour une éventuelle fabrication ) mais à le contraindre à fouiller avec la plus extrême précaution. Les figurines furent découvertes par groupes de 20 à 40 à l'intérieur de puits à une profondeur allant d'environ 1m 20 à 1m 80. Ce n'étaient pas des puits funéraires, on a seulement retrouvé 6 crânes lors des fouilles. Il semble, c'est tout au moins l'hypothèse émise par M. Julsrud, qu'elles aient été ensevelies à la hâte pour les protéger du pillage des premiers colons espagnols.


    Ce sont plus de 33 500 (!!!) objets en céramique ( dans une très grosse majorité ), pierre, jade et obsidienne qui ont été retrouvés. Ils sont tous uniques, aucun n'est dupliqué. Ils sont de taille variable, de quelques centimètres à moins d'un mètre. Différents types d'argile ont été utilisés ( leur étude serait une précieuse indication de leur provenance ), mais tous ont été fabriqués par la méthode du "feu ouvert" ( la fabrication de faux ne serait donc pas passée inaperçue par la fumée dégagée et les grandes quantités de bois -rare et cher dans cette région- nécessaires ). En dépit de leur grande diversité, on peut les regrouper, par leur design, par centaines voire par milliers, comme issus de différentes cultures.


    Tout comme le Dr Cabrera ( décédé en décembre 2001 ), conservateur des Pierres d'Ica, M. Julsrud n'a jamais fait commerce de sa découverte. Leur but était scientifique et leur volonté de protéger un patrimoine qu'ils estimaient unique pour l'humanité n'a jamais été prise en défaut. C'est toujours avec plaisir qu'ils ont montré leurs pièces à ceux qui le désiraient et ils n'ont cessé de se battre pour que les scientifiques s'intéressent à leur découverte et viennent juger sur place... Peine perdue... Mais pourquoi ?


    L'une des principales raisons du rejet de cette découverte tient aux représentations de ces figurines. Elles représentent entre autre, des dinosaures, des animaux inconnus, des reptiles, certains aux traits aviaires ; certaines semblent indiquer une forme de domestication de petits reptiles et de petits dinosaures, des grands singes, d'autres montrent clairement des actes zoophiles avec des reptiles, enfin, beaucoup représentent des divinités inconnues, la vie courante et ses objets usuels ( pipes, instruments de musique, etc.. ).


    Mais des hommes avec des dinosaures, c'est impossible ! Charles Hapgood, professeur d'histoire et d'anthropologie à l'Université du New Hampshire ( qui a aussi travaillé sur les cartes antiques ) a été sur place pour enquêter, rencontrer et interroger les protagonistes de cette histoire. De son voyage, il a ramené quelques échantillons afin de les analyser selon les méthodes les plus modernes de l'époque (fin des années 60). Les mesures ( au carbone 14 ) données en 1968 par le Laboratoire d'Isotopes Inc. du New Jersey s'échelonnent de 1 110 av. J.C. à 4 530 années av. J.C.! En 1972, les datations par thermoluminescence constatées par l'Université de Pennsylvanie sur 2 figurines furent de 2 500 ans av. J.C.!





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    LES CRANES DE CRISTAL


    Les crânes de cristal apparus sur le marché européen à la fin du 19e siècle ont suscité bien des spéculations. Un crâne de cristal appartient au British Museum, un autre crâne à la Smithsonian Institution de Washington. De nombreux particuliers sont également détenteurs de crânes en cristal. Ce mystère a surtout fait l’objet d’une enquête passionnante par deux journalistes de la BBC voici quelques années. Preuves scientifiques et témoignages des descendants des peuples amérindiens nous amènent à nous interroger sur le passé de l’humanité et son avenir. Cette étrange affaire nous ramène au calendrier Maya et à cette fameuse date du 21 décembre 2012 mais également à la mythique cité de l’Atlantide.


    Selon une prophétie Maya, les crânes leur ont été transmis par les Atlantes qui les tenaient des Initiateurs

    venus du ciel. Lorsque les treize crânes seront réunis, ils révèleront le secret de la vie, en 2012 de notre ère.


    Selon la légende, ils détiennent des pouvoirs de divination, de guérison et médiumnique. Les Mayas pensent que ces crânes contiennent de grandes informations sur l’histoire des humains et des anciennes civilisations. Ces cinq crânes ont été étudiés (entre autre) en 1996 par le British Muséum qui en possède un.


    En 1924, Anna Le Guillon Mitchell-Hedges agée alors de 17 et son père adoptif, l'explorateur anglais Frederick Albert Mitchell-Hedges, découvrent un crâne en cristal de roche dans les ruines d'un temple de la cité Maya " des pierres tombées " à Lubaantùn, au Belize.


    En dehors de l'absence des sutures crâniennes, c'est une reproduction quasi parfaite d'un crâne humain féminin, pèse 5 kg et est composé de deux morceaux, la mâchoire inférieure s'ajustant exactement à la partie supérieure.


    Le crâne possède des propriétés optiques étonnantes : Eclairé par le dessous, la lumière jaillit par les orbites. Frappé à l'arrière par les rayons du soleil, un faisceau lumineux intense ( susceptible de mettre le feu ) jaillit des orbites, du nez et de la bouche.


    L’énigme posée par ces crânes tient au fait que, selon les experts, seuls des outils du 20e siècle, notamment des mèches recouvertes de diamant, ont pu attaquer un matériau aussi dur que le cristal de quartz. Or, les crânes authentifiés datent d’une période très antérieure à la conquête espagnole. On sait que les peuples amérindiens n’utilisaient pas d’outils pour façonner leurs objets. C’est tout le problème qui se pose aux scientifiques. Une équipe de scientifiques de la société Hewlet-Packard spécialisés dans la cristallographie ont examinés le crâne et en voici les conclusions après examens :


    Il est constitué d'un quartz naturel extrêmement pur, du dioxyde de silicium "piézo-électrique" anisotrope lui procurant une grande stabilité physique, chimique et thermique. Il possède une polarité, réagit à la lumière et à l'électricité, directe ou par pression physique, son axe piézo-électrique est vertical et ses propriétés sont différentes dans chaque direction ; matériau utilisé comme oscillateur ou résonateur, en électronique et en informatique.


    Les deux morceaux sont taillés dans le même bloc de cristal de roche. Selon son axe de symétrie moléculaire, ce qui lui confère ces étonnantes propriétés optiques.


    Aucune trace d'instrument, ni marque microscopique quelconque. Si les sculpteurs ont lentement et méticuleusement poli l'objet à la main avec un mélange de sable et d'eau, il aurait fallu plusieurs générations d'ouvriers et 300 années pour arriver à ce résultat !


    Sans trace d'usinage, il est impossible de dater sa fabrication (il ne vieillit pas).


    Avec une technologie moderne au diamant il faudrait un an de travail pour obtenir l'aspect extérieur ( mais avec des traces d'usinage), quant aux effets prismatiques, leur reproductibilité est encore plus difficile.


    Les crânes de cristal détiendraient des pouvoirs magiques qui permettraient l’élévation spirituelle des humains, la production spontanée d’images holographiques et des bruits sonores étranges. Il paraît que les crânes de cristal peuvent parler ou chanter et certains auraient des propriétés de guérison et de clairvoyance.


    Il existe dans le monde d'autres crânes de cristal, dont la découverte ou l'acquisition ne sont également jamais clairement établies :


    Nick Nocerino, propriétaire d'un crâne de cristal baptisé "Sha-Na-Ra" a fondé un institut de recherche parapsychologique afin d'étudier leurs propriétés psy. Jo Ann Parks est détentrice du crâne baptisé "Max" et Norma Redo est la propriétaire du crâne "à la croix du reliquaire" (les espagnols ont percé le crâne afin d'y inserer une croix). Le Smithonian Institute et le British Muséeum possèdent également un crâne de cristal.


    Ces cinq crânes ont été étudiés en 1996 pa le British Muséum dont voci les conclusions : Le crâne du British Muséum et celui du Smithonian Institute portent des traces d'usinage. Pour le crâne à la croix reliquaire, les dents ont été retouchées ainsi qu'évidemment le trou que les espagnols ont percé pour y introduire la croix. Pour les deux autres crânes le British Muséum refuse obstinément de livrer ses conclusions mais également de dire exactement pourquoi! Cependant, il y eu des résultats transmis oralement aux journalistes et aux propriétaires des crânes testés:


    - Le crâne du British Muséum comporte des traces de meules. Il est donc considéré comme "post-colombien".


    - Le crâne Sha-Na-Ra de la Smithsonian Institution porte lui aussi des traces de meules.




    Ces deux crânes exposés ne sont donc pas si anciens et peuvent être considérés comme des "faux ".


    Par contre, le crâne dit "à la croix reliquaire" a bien été fait à la main. Il a du être taillé quelques temps avant ou peu après la conquête espagnole. RIen ne prouve que le crâne de Anna Mitchell-Hedges soit un faux. Concernant les deux derniers crânes, le porte parole du British Muséum a déclaré : "j’ai peur que nous ne soyons pas en mesure de faire des commentaires sur les deux autres crânes" et l’équipe a reçu pour consigne de ne pas faire de commentaires, le British Muséum nie même avoir réalisé ces analyses!




    LES POUVOIRS DU CRISTAL DE QUARTZ


    La meule de joaillier n’a été introduite aux Amériques qu’après l’arrivée de Christophe Colomb en 1492. Le cristal de quartz est, après le diamant, la matière la plus dure au monde. Il est impossible de sculpter cette matière à la main. Selon les spécialistes de Hewlett Packard, il aurait fallu un an avec des outils modernes pour sculpter le crâne de Anna Mitchell-Hedges. De plus, même avec nos outils, une pièce aussi précise et fragile se serait brisée sous les effets des vibrations et de la chaleur.


    Le cristal de quartz fait aujourd’hui parti de notre vie. Le cœur de nos ordinateurs, où toute l’information est stockée, est une petite puce en cristal de silicium. Cette puce utilise les propriétés uniques du cristal pour stocker les informations. Selon les mayas, les crânes de cristal seraient d’antiques ordinateurs. Ils contiendraient d’importantes informations sur les origines de l’humanité et son destin.


    Le cristal de quartz est depuis peu à la pointe du progrès scientifique : instrumentation de mesure, télécommunications, système radar et sonar … Pourquoi les crânes ont-ils été précisément façonnés dans ce type de quartz? Les civilisations considérées comme « primitives » avaient-elles des connaissances que nous ne possédons que depuis moins de 100 ans?




    MAYAS, AZTEQUES ET ATLANTES


    Selon la légende Maya, les Itzas, venus de l’Atlantide, ont apporté les crânes avec eux. Atlantide se dit "Atlantiha" en langue maya. L’Atlantide a toujours fait parti de la tradition orale des peuples amérindiens. A Tula, une métropole des Toltèques, vieille de plus de 1 000 ans, il y a un temple appelé "Temple des Atlantes". Derrière ce temple, il y a le mur de coatepantliau ou mur serpent, qui est orné de bas-reliefs. Ils représentent une série de serpents avec un crâne humain à la place de la tête. Les archéologues sont toujours perplexes, cette construction est dédiée aux "Atlantes".


    Ce temple établi un rapport entre un mystérieux groupe d’êtres désignés sous le nom d’Atlantes et l’image du crâne humain. Les prêtres mayas utilisaient les crânes lors de cérémonies dont la signification nous échappe. Cependant, les crânes de cristal "authentifiés" sont anatomiquement parfaits. Celui de Mitchell possède une mâchoire articulée d’où leur surnom par les peuples amérindiens de "crânes qui parlent" et "crânes qui chantent". Selon eux, les prêtres mayas utilisaient les crânes pour prévoir l’avenir en les faisant parler.




    LE MESSAGE DES CRANES


    Au commencement, il existait 12 mondes où une vie humaine était présente. La Terre était appelée "la planète des enfants". Les onze autres mondes ont rassemblé leurs connaissances dans une sorte d’ordinateur holographique, les crânes de cristal. Ces "Anciens" ont amené ces crânes sur Terre et ont fait don de la connaissance aux hommes. Ils aidèrent les hommes à construire quatre grandes civilisations : Lémurie, Mu, Mieyhun et l’Atlantide.


    Les 13 crânes étaient conservés dans une pyramide appelée "l’Arche". Plusieurs civilisations ont été les gardiennes de l’Arche : les Olmèques puis les Mayas et enfin les Aztèques. Ces derniers en auraient fait un mauvais usage.


    Les crânes furent dispersés par les prêtres Aztèques après la conquête espagnole. Ils devaient rester séparés car leur pouvoir collectif était trop puissant pour être utilisé avec sagesse par l’homme. Le message des crânes est tout à fait d’actualité. Si l’homme continue a prendre à la Terre sans rien lui rendre en échange, le quatrième monde ou cinquième soleil, qui doit prendre fin le 21 décembre 2012, sera le dernier...




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    LA BAGUE ATLANTE


    Un modèle fut rapporté par un égyptologue renommé (le marquis d'Agrain), lors de ses fouilles dans la Vallée des Rois vers 1860.


    Cette bague, en gés d'Assouan vieux de plusieurs milliers d'années, permet de lire nettement les figurines géométriques dont elle est ornée.


    Fabriquée et sculptée par les Atlantes, dont les Egyptiens étaient les héritiers, elle nous a permis de rentrer dans le mystère de l'inexplicable immunité qui découle des "ondes" émises par certaines formes privilégiées, contre toutes agressions invisibles.


    Elle assure un barrage infranchissable, en neutralisant toutes les forces susceptibles de perturber l'ambiance vibratoire ou équilibre de l'individu.


    Elle protège contre les dangers, contre les influences et les maléfices de toutes natures dues à une perturbation quelconque de l'ambiance vibratoire.


    Nous avons constaté que tout porteur de cette bague ne pouvait être victime d'un accident d'automobile à moins qu'il veuille se suicider.


    - Elle procure une immunité contre toute agression invisible.

    - Elle protège contre les influences et les dangers de toute nature.

    - Elle forme un mur vibratoire neutralisant toutes vibrations maléfiques, sortilèges et même les envoûtements.

    - Elle améliore l'état général de santé.

    - Elle favorise les contacts métaphysiques.

    - Elle est un outil personnel car elle s'harmonise au magnétisme de la personne qui la porte. Basée sur le principe Yi-King, elle fonctionne par micro-vibrations imperceptibles. (O.D.F.).


    Une autre propriété de la Bague est d'apporter une amélioration de l'état de santé et de rétablir certaines fonctions accidentellement perturbées.


    Une dernière propriété de cette bague est de favoriser la communication télépathique.


    Nous pouvons affirmer que la bague ne tire son efficacité, ni de la matière dont elle est composée ni d'une quelconque charge magnétique ou psychique, religieuse ou magique. Elle n'est ni un pentacle personnalisé, ni un talisman aimanté, ni un fétiche. Elle n'a rien de commun avec ces "gadgets" plus ou moins prometteurs ou ces porte-bonheurs inventés par la superstition populaire.


    Enfin, la bague est absolument personnelle, elle s'imprègne des ondes propres de son possesseur. Sa fabrication est faite suivant des normes qui ne peuvent être modifiées en aucun cas. Elle est la formule d'un des miracles des plus étonnantes de la physique micro-vibratoire, celui dont les "ondes de forme" sont les agents invisibles.


    La bague Atlante est un objet de protection remarquable. Les pouvoirs de "Ondes de Formes" qui s'en dégagent étaient connus et utilisés en Egypte, il y plus de 5000 ans. L'original est détenu par la famille A. de Belizal.


    Au Québec, la seule bague qui respecte la qualité de reproduction et de bijouterie n'est disponible que dans les librairies ésotériques. Elle porte le poinçon "Le Phénix" (oiseau dans le soleil), marque sous laquelle on a introduit et fait connaître la bague Atlante en Amérique du Nord.


    Il est nécessaire de la porter toujours sur soi, vu le rayonnement qui s'en dégage et qui correspond à des objectifs précis:


    - En tant que protection (main gauche), vous pouvez la porter lors de toutes démarches importantes (main droite), de visites précises ou bien lorsque vous êtes confronté avec des personnes dont les intentions sont parfois peu bienveillantes à votre égard.Elle favorise les contacts psychiques.

    - Lors de déplacements, de voyages, et tout particulièrement lorsque l'on conduit une auto soi-même. Il a été mainte fois prouvé qu'elle protège de manière spectaculaire, évitant ainsi les accidents ou les minimisant de façon curieuse!

    - Lors de moments de détente, en relaxation ou pendant le sommeil, la bague peut être portée car elle aiguise certaines qualités métaphysiques dont l'intuition en particulier. La bague imprègne des radiations personnelles de son propriétaire et par conséquent, elle ne peut être prêtée, ni cédée.


    La bague est à utiliser aux divers doigts de la main ( à droite pour le jour et à gauche la nuit)


    Elle aura une influence prédominante sur telle ou telle partie du corps selon le doigt dans lequel elle sera portée (Principe des Méridiens).


    - POUCE: Squelette et tête.

    - INDEX: Système respiratoire, système nerveux, vitalité-action.

    - MAJEUR: Influence sur toutes les fonctions du corps, système digestif.

    - ANNULAIRE: Système uro-génital, action sur le sympathique et le parasympathique.

    - AURICULAIRE: Circulation-cœur


    Avant de la porter, il est nécessaire de la nettoyer selon le processus suivant: faire brûler de l'encens et tracer une croix avec la bague sur la fumée. Ensuite faire neuf (9) cercles, dans le sens contraire des aiguilles d'une montre, et terminer en traçant une deuxième croix.


    Ce petit rituel est à réaliser tous les six mois afin d'éviter les imprégnations. La bague doit être enlevée tous les jours, quelques secondes, en la déposant de côté.





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    LES PIERRES DE DROPA


    Dans les montagnes de Baian-Kara-Ula, sur la frontière qui divise la Chine et le Tibet, une expédition archéologique, menée par Chi Pu Tei, a marché sur des chemins à peine accessibles de cette montagne, et s'est arrêtée sur quelques cavernes qui, évidemment, avaient été occupées par un peuple primitif, il y a bien longtemps. Mais ce que lui et son équipe cherchaient dans ces cavernes, était quelque chose de peu commun et, si vérifié, pourrait changer toutes nos croyances et notre savoir sur notre passé.


    En 1962, un autre scientifique chinois décode finalement le message sur les disques.


    Tous les faits ne sont pas clairs et difficiles à vérifier.
    Certains des détails sont contradictoires, brouillés, ou ont pu avoir été modifiés par les auteurs imaginatifs. Mais même si une infime partie de cette histoire est vraie, cela représente une des plus grandes découvertes de notre âge.


    Tei, professeur d'archéologie à l'université de Beijing, menait quelques étudiants sur une expédition pour examiner une série de cavernes dans les montagnes de l'Himalaya.


    Les cavernes ont pu avoir été artificiellement découpées, et étaient plus comme un système complexe des tunnels et de salles de stockage souterrains. Les murs ont été vitrifiés, comme coupés dans la montagne avec une source de chaleur extrême.


    À l'intérieur des cavernes ce trouvait des tombeaux antiques, disposés d'une manière ordonnée, et dans ceux-ci, les restes squelettiques de drôles de gens. Les squelettes, mesurant un peu plus de quatre pieds, ils étaient frêles et les crânes étaient disproportionnément grands.


    Tout d'abords il a été suggéré par un membre de l'équipe, que ceux-ci pourraient être les restes d'une espèce inconnue de gorille de montagne. Chi Pu Tei a répondu, "qu’il n’a jamais entendu parler de singes en enterrant d’autres ?"


    Cependant, quel genre d'humain était-ce ?


    Plus de découvertes ont été faites plus loin dans les cavernes. Sur les murs, des pictogrammes : le soleil, la lune, les étoiles, et la terre avec des lignes et des points les reliant.


    Puis l'équipe a fait la découverte la plus incroyable de toutes.


    A moitié enterré dans le sol de la caverne, un disque en pierre, évidemment façonné par la main d'une créature intelligente. Le disque faisait approximativement neuf pouces de diamètre et trois quarts de pouce d’épaisseur. Au centre exact du rond, un trou, et une cannelure fine se développant en spirales du centre jusqu’au bord, comme un genre de disque primitif de phonographe.


    Le disque, est datés entre 10.000 et 12.000 ans, de loin plus vieux que les grandes pyramides d’Egypte. En tout, 716 disques ont été trouvés. Chacun d’entre eux a tenu un secret incroyable. La cannelure, lors davantage d'inspection, n'était pas une cannelure du tout, mais une ligne continue de hiéroglyphes !


    Les caractères minuscules et presque microscopiques étaient dans une langue jamais vue avant.


    Ce n'ait qu'en 1962 qu'un autre scientifique chinois a pu décoder le message des disques en pierre. Un message si incroyable que le département de préhistoire de l'académie de Beijing a interdit d’éditer sa traduction.


    Le message a finalement été édité et transmis au public.




    Le message


    Le Dr Tsum a touché la face lisse du disque avec la paume de sa main. Il a su son histoire récente; comment il a été découvert en 1938, par un archéologue chinois, dans une caverne dans l’Himalaya, avec 715 autres disques semblables ; comment ils étaient enterrés, tout près des squelettes d'une tribu étrange de personnes faisant en moyenne seulement plus de quatre pieds de haut. La manière dont on a constaté que chaque disque a été inscrit avec une cannelure minuscule qui s'est développée en spirales autour de sa face et, que la cannelure s'est avérée être un hiéroglyphe inconnu.


    Il a également su que les disques, aussi remarquables qu'ils soient, avaient étés simplement stockés à l'université de Beijing pendant 20 années. Pendant ce temps, d'autres avaient essayé de déchiffrer les inscriptions étranges, mais sans succès.


    Le professeur a soigneusement retranscrit les caractères à partir du disque. L'écriture était si petite qu’il a dû utiliser une loupe pour la voir clairement.


    Pendant qu'il travaillait, beaucoup de questions ont harcelé le professeur.


    - Comment ces personnes primitives gravaient ces pierres avec autant de précision ?

    - Comment ont-ils contrôlé l'écriture presque microscopique ?

    - Qui étaient-ils et qu'était le but de ces centaines de pierres ?


    Une fois que les caractères eurent étés retranscrits, le Dr. Tsum Um Nui a commencé la tâche laborieuse d'essayer de décoder le message.


    Par la suite, il a commencé à accomplir le progrès. Un mot a émergé. Puis d’autres. Une expression est devenue compréhensible, puis une phrase entière. Il avait déchiffré le code.


    Il a apprit que les messages sur les pierres ont été écrits par un peuple qui s'est appelé les Dropa.


    Mais ce que disait le message avait 12.000 ans. Ce que le Dropa avait écrit doit avoir été l'un de leurs mythes culturels, ou faisait partie d'une certaine cérémonie religieuse préhistorique.


    Quand il eu fini la traduction, le professeur prépara un papier sur ses résultats et le présenta à l'université pour la publication. Les réactions furent rapides et emphatiques : le papier ne serait pas édité. L'académie de la préhistoire l'a expressément interdit d'éditer ou même de parler de ses résultats. Le monde, ne devrait rien savoir sur les Dropa.


    Les disques de Dropa indiquent l'histoire d'une sonde spatiale, d'une planète éloignée, qui endommagée, a atterri dans les montagnes de Baian-Kara-Ula de l'Himalaya.


    Les occupants du vaisseau spatial, les Dropas, ont trouvés refuge dans les cavernes des montagnes.


    En dépit de leurs intentions paisibles, les Dropas ont étés mal compris par les membres de la tribu qui occupaient les cavernes voisines et ils se sont fait chasser et également tuer par les indigènes.


    Une traduction d'un des passages indique : "le Dropa est descendu des nuages dans leur avion. Nos hommes, femmes, et enfants se sont cachés dans les cavernes dix fois avant lever de soleil. Quand enfin ils ont compris la langue de signe du Dropa, ils se sont rendus compte que les nouveaux venus ont eu des intentions paisibles."


    Les pierres continuent pour indiquer comment les Dropa ne pouvaient pas réparer leur vaisseau spatial endommagé et ne pourraient pas retourner sur leur planète, et ainsi ont échouées sur terre.


    Aujourd'hui, le secteur est habité par deux tribus qui, en fait, s'appellent les Dropa et les Han. Ont ne pu classer l'une ou l'autre tribu dans n'importe quelle autre race connue ; ils ne sont ni des Chinois ni le Tibétain. Les deux tribus sont de stature pygméenne, les adultes mesurant entre 3,6 et 4,7 pieds avec une taille moyenne de 4,2 pieds, et de poids entre 38 à 52 livres.


    Ils sont jaunes avec le corps minces et les têtes d'une façon disproportionnément grandes, correspondant aux restes squelettiques trouvés dans les cavernes en 1938.


    Ils ont les cheveux clairsemés et ont de grands yeux qui ne sont pas asiatiques dans l'aspect, mais ont les iris bleu clair.


    Il y a également un conte chinois antique qui pourrait soutenir la thèse des Dropas. Cela raconte l'histoire d'un peuple, petit, mince, jaune qui est descendu à la terre des nuages, et qui ont été évités par chacun en raison de leur maigreur.


    Propriétés étranges


    En 1968, les pierres de Dropa sont venues à l'attention de W. Saitsew, un scientifique russe qui a republié les résultats d’Um Nui Tsum et a effectué des essais sur les disques qui ont indiqués quelques propriétés très particulières.


    Physiquement, les pierres de granit contiennent des concentrations élevées de cobalt et d'autres métaux - une pierre très dure en effet qui aurait rendu difficile pour que les personnes primitives découpent le lettrage, particulièrement avec de tels caractères minutieux.


    En examinant un disque avec un oscillographe, un rythme étonnant d'oscillation a été enregistré comme si, par le passé, ils avaient été électriquement chargés ou avaient fonctionné comme conducteurs électriques. Les pierres des Dropa ressembles à un puzzle intrigant pour des archéologues et des anthropologues.


    Est-ce que les visiteurs de Dropa viennent vraiment d'une certaine planète éloignée, ou leur histoire est simplement un mythe de la création qui aurait été imaginé par une culture primitive ? Si c’est le cas, il additionne un tel " mythe " au grand nombre d'histoires de cultures antiques qui réclament que leurs descendants sont venus des cieux. Si non, les pierres de Dropa pourraient représenter la première visite enregistrée d'une civilisation étrangère à notre planète. Pour l’instant, les pierres de Dropa restent non expliquées.



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