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  • Le vieil homme :


    Ce soir-là, comme à son habitude, Margaret Simpson regardait la télévision, attendant tranquillement le retour de son mari qui donnait un concert avec la fanfare locale.


    Sa fillette de 3 ans, Lisa, était couchée.


    Tout à coup, elle entendit une voix. Elle se retourna et aperçut sa petite fille non pas dans son lit, mais assise sur l'escalier qui mène du séjour à l'étage. Elle avait les joues rouges comme lorsqu'elle s'adressait à des adultes.


    Lisa parlait très naturellement de son père. Puis elle dit en se tournant vers sa mère avec un petit sourire coquin: "Il est là.". Mais il n'y avait personne en face d'elle; Lisa parlait dans le vide.


    Margaret éleva la voix plusieurs fois pour tenter d'attirer l'attention de Lisa, mais en vain.


    Au bout de quelques minutes, la fillette entra en transe sous le regard médusé de sa mère. Enfin, elle se retourna et dit au revoir à l'apparition avec un sourire chaleureux.


    Margaret, très perturbée, installa sa fille sur le canapé. L'enfant regardait toujours l'escalier. Elle lâcha dans un petit rire: "Il est toujours là!"


    Quelques semaines plus tard, Margaret surprit sa fille en pleine conversation, seule dans sa chambre. Elle lui demanda de décrire la personne avec qui elle discutait. L'enfant répondit très simplement qu'il s'agissait d'un vieil homme très sympathique aux cheveux blancs. Il avait interrogé Lisa sur ses parents. Il lui avait dit d'être gentille avec eux, en particulier avec sa mère, dont il disait qu'elle était "une très bonne maman".


    Margaret Simpson était très intriguée. Lisa lui expliqua encore que l'homme avait utilisé le mot "chuck" de façon très affectueuse. Ce mot attira aussitôt la curiosité de Margaret; "Chuck" était en effet un surnom qu'on lui avait donné lorsqu'elle était enfant.


    Le lendemain, Margaret montra à sa fille un album de photos. Lisa l'examina et s'exclama en désignant un portrait : "C'est lui, c'est lui qui vient me voir !"


    Il s’agissait de son arrière grand-père, décédé depuis. Margaret s'était brouillée avec lui suite à une querelle et durant les trois ans précédant son décès, elle ne l'avait plus revu. Lisa n'avait donc jamais eu l'occasion de le rencontrer de son vivant. Pourtant, elle affirmait l'avoir vu à deux reprises depuis sa mort.


    Margaret, qui avait appris son décès deux jours avant la première apparition, avait alors eu un immense sentiment de remords.


    Auto-stoppeuse :


    Source : "les lieux de l'au-delà" de Didier Audinot, collection Témoins d'au-delà aux éditions JMG (paru dans le magazine "l'inconnu" n°273.)






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    Lieu : Ardèche


    Sur la Nationale 102, les automobilistes peuvent rencontrer une auto-stoppeuse fantôme des plus tenaces. Sa particularité : elle porte un costume de motard tout en cuir.


    L'apparition se manifeste toujours en fin d'après-midi, avant le coucher du soleil, à la première pleine lune de mai.


    Si vous voulez la voir, empruntez l'itinéraire suivant : depuis l'autoroute A6, venant de Lyon, dans le sens Paris-province, sortez à Montélimar. De là, empruntez la route d'Alba-la-Romaine en direction d'Aubenas par la nationale 102. C'est avant Alba, juste à la sortie de l'autoroute que celle surnommée "la larve" par les gendarmes, apparaîtra dans un virage.


    Si vous la prenez à votre bord, vous la promènerez jusqu'à Villeneuve-de-Berg, toujours par la N.102. Là, ses premières plaintes commenceront. Vous traverserez cette ville, prenant la direction d'Aubenas. Dix km plus loin, la belle jeune fille s'évanouira...


    Esprits de la nature :


    Source : "Les lieux de l'au-delà" de Didier Audinot, collection Témoins d'au-delà aux éditions JMG (paru dans le magazine "l'inconnu" n°273.)


    Lieu : Chabestan (Hautes-Alpes)


    Les anciens habitants de Chabestan racontent que le village était jadis un repaire de fées.


    On a pu le vérifier en 1996, quand un fermier voulut creuser une fosse d'évacuation le long de ses bâtiments. L'excavation était automatiquement rebouchée la nuit avec de la terre bien tassée. Et au matin, on retrouvait sur la terre des empreintes de petits pieds féminins.


    Hantise 1 :


    Source : "les lieux de l'au-delà" de Didier Audinot, collection Témoins d'au-delà aux éditions JMG


    Lieu : Le château de Jaulny (ancien fief de Jeanne des Armoises) , Meurthe-et-Moselle, France.


    Jeanne des Armoises tenta de se faire passer pour Jeanne d'Arc, après sa mort à Rouen, sur le bûcher. Du fait de leur flagrante ressemblance ce ne fut pas très dur.


    Cette usurpation d'identité lui aurait valu la damnation éternelle. Le spectre apparaît souvent sous la forme d'une jolie silhouette blanche errant dans la nuit, entre les deux ailes de la forteresse.


    Les apparitions sont encore fréquentes, mais le doute reste sur l'identité de cette personne.


    Hantise 2 :


    Source : "les lieux de l'au-delà" de Didier Audinot, collection Témoins d'au-delà aux éditions JMG


    Lieu : Château de Thiaucourt-Regniéville, Meurthe-et-Moselle, France.


    Apparition de Jeanne des Armoises sous la forme d'une belle dame blanche, dans les ailes du bâtiment.


    Elle fut reconnue comme étant Jeanne d'Arc, par ses frères et les bourgeois, ce qui laisse le doute sur son identité. Précision : Ce château fut celui où elle termina ses jours.




    Ile tropicale :


    La peur écarte les gens d'un paradis tropical dans le détroit de Torres.


    L'île hantée, Gabba, à une centaine de kilomètres au nord du cap York, est couverte de bois et de fleurs sauvages. Ses arbres sont chargés de fruits tropicaux, l'eau de ses rivières est claire comme le cristal et ses plages sont magnifiques. Ses baies et ses criques abondent de crabes, de langoustes, de crevettes et de poissons. La température du mois d'août est idéale, environ 30°, et elle le reste la plus grande partie de l'année.


    Pourtant les habitants des îles du détroit de Torres fuient ce jardin d'Eden comme la peste. Ils sont persuadés que rester sur Gabba après le coucher du soleil, correspond à une mort certaine.


    Jimmy Levi, un indigène de l'île Thursday, nous a parlé de Gabba et de la "sorcière" qui la hante.


    Il est le mécanicien du bateau navette Melbidir et on le dit connaître le groupe d'îles du détroit de Torres mieux que personne.


    "Elle est comme le diable, déclara-t-il du ton tranquille, réservé, qui est typique des habitants du coin. Nos pères nous l'ont dit, elle tue ceux qui y restent la nuit. Elle fait tomber d'énormes pierres sur eux pour les écraser."


    Jimmy ajouta que Gabba était autrefois l'une des îles les plus peuplées du détroit de Torres. Mais, selon la légende, il y a environ 300 ans, une terrible maladie se répandit sur l'île après que quelques-uns des habitants eurent mangé des tortues venimeuses.




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    Les survivants prirent leurs canots et s'enfuirent à la rame sur une autre île. Tous, sauf une vieille femme qui, gémissant et hurlant contre les gens des canots, se traîna jusqu'en haut des rochers. Après cela, tous ceux qui allèrent à Gabba entendirent d'étranges gémissements et d'horribles cris. Dès que la nuit tombait, d'énormes pierres s'abattaient sur eux.


    Quelques-uns seulement en revinrent pour le raconter. Tremblants d'épouvante, ils dirent qu'ils avaient vu la silhouette terrifiante d'une vieille femme sur le gigantesque rocher branlant de l'île, hurlant et ricanant.


    "Tout le monde le croit, même les jeunes", dit Jimmy. Ils baissent la voix quand ils parlent de la sorcière. "C'est très malheureux parce que Gabba est une si bonne île. On y trouve certains des meilleurs poissons des îles. Mais la sorcière du rocher ne veut laisser personne y habiter."




    Le déménageur :


    St. Catharines, Ontario (C.P.). - Il semble qu'un fantôme qui lève des poids et déménage des meubles rôde ces jours-ci dans l'appartement d'une famille de St. Catharines.


    Deux médecins, un avocat, deux prêtres et un groupe de policemen de St. Catharines disent avoir vu cet esprit à l'œuvre.


    Ils assurent qu'une chaise, sur laquelle était assis un garçonnet de 11 ans, s'est élevée plusieurs fois à 15 ou 20 cm au-dessus du sol, mais un policeman, qui a essayé de la soulever dans les mêmes conditions, ne l'a pas pu.


    Des lits se sont dressés sur un bout et des commodes se sont déplacées d'un mur à l'autre.


    Un policeman de la ville qui a 23 ans de service déclara samedi : "Je connais au moins cinq de mes collègues qui ont été témoins de ces manifestations, et qui sont convaincus qu'il se passe quelque chose de surnaturel."


    La police, qui préfère ne pas révéler le nom de la famille, dit qu'elle fait venir des physiciens et d'autres experts afin d'enquêter.


    Les fonctionnaires de l'eau, du gaz et de l'électricité, des services d'incendie, et l'inspecteur du service des constructions de la ville ont tous été dans l'impossibilité de fournir une explication logique.


    La famille habite l'appartement depuis plus de dix ans mais les ennuis avec les meubles n'ont commencé que depuis les deux dernières semaines.




    En clinique :


    Cette clinique était (en 1972) dirigée par le docteur Cuénot, depuis vingt-cinq ans. Elle est spécialisée dans le traitement des tuberculoses osseuses.


    Cette histoire s'est déroulée de mai à septembre 1963.


    Les phénomènes : un bombardement de la clinique par des cailloux, des moellons, des fragments de briques, objets dont l'origine n'a pas pu être déterminée.


    Plus de trois cents de ces objets sont arrivés à toute heure du jour et à la tombée de la nuit. Les malades, allongés sur leurs voitures, semblaient particulièrement visés.


    Le phénomène était lié à la présence d'une jeune fille de 17 ans, qui sera dans ce récit appelée Jacqueline. Elle-même fut largement lapidée.


    Sur le plan psychologique et social, il faut signaler que le phénomène fut précédé par l'annonce, le 19 avril 1963, de la vente de la clinique, qui devait fermer le 30 septembre suivant. C'est cette annonce qui parait avoir déclenché des réactions chez.


    Les jets de pierre visèrent d'abord une jeune femme, que l'on appellera Angélina.


    Après son départ de la clinique, et l'arrivée le 16 juin de Jacqueline, les phénomènes s'accentuèrent. Les indications données par le docteur Cuénot dans son livre, "Les Certitudes irrationnelles" (éditions Planète) et dans des publications, notamment la Revue métapsychique, permettent de faire une analyse.


    Le plus souvent, les pierres tombaient verticalement. Les arrivées obliques furent rares. Elles traversaient le feuillage des trois platanes du parc de la clinique. Elles avaient une vitesse très faible par rapport à la vitesse qu'elles auraient dû avoir si elles tombaient de cette hauteur.


    Le maximum de projections par jour fut de 48. La police locale, après plainte le 28 août, paraît avoir considéré le docteur Cuénot comme un fou.


    L'institut métapsychique par contre envoya pour enquête le professeur Tocquet, dont la contribution fut fort intéressante. Aucune fraude ne semble devoir être retenue. Jacqueline, interrogée, se défend d'avoir eu une participation quelconque à cette histoire. L'opinion générale à la clinique fut qu'il s'agissait d'une bande de farceurs dont on n'a jamais su qui ils étaient ni comment ils arrivaient à entrer à la clinique et à en sortir.


    A partir du 1er septembre 1963, les jets de pierre cessèrent. Se sont suivis d'autres phénomènes, et notamment de coups frappés dans des portes ou contre des portes. Celles-ci se mettent à s'ouvrir spontanément.


    Le 4 septembre, on met des verrous, puis tout s'arrête. Il n'y a évidemment aucune explication définitive. Le docteur Cuénot, avec une grande bonne foi, évoque l'hypothèse rationnelle d'un maniaque armé d'une catapulte, et qui aurait tiré à distance. On n'a jamais retrouvé un tel maniaque, et aucune autre maison à Arcachon n'a reçu de pierres.


    Les divers cailloux, moellons et briques ne paraissent pas provenir des bâtiments de la clinique pourtant vétuste, mais d'une autre source. En supposant que cette source, mettons un chantier, se trouve à un kilomètre, on en arrive à l'idée de fragment de brique s'élevant dans l'espace, se promenant dans les airs à une vitesse relativement faible, puis arrivant à la clinique. Tout cela exige un travail considérable contre la gravitation, et il est difficile d'imaginer que le système nerveux d'un ou plusieurs malades ait pu fournir cette énergie sans catastrophe pour le malade.


    S'il s'agit d'un phénomène paranormal, celui-ci utilise une énergie présente dans la nature, mais dont pour le moment nous n'avons pas idée.


    Dans l'un des cas, au mois d'août, un malade, agent de police à Paris, et donc, en principe, témoin qualifié et bon observateur, a vu partir l'un des cailloux. Celui-ci sortait d'une chambre d'un bâtiment désaffecté de la clinique au 2ème étage.


    Immédiatement, on se précipita : la chambre était vide et sa porte fermée à clef. Autre incident curieux : un des malades étant abondamment arrosé se mit à hurler : "Assez, est-ce que cet imbécile va s'arrêter ?" Et le phénomène s'arrêta, pour reprendre une demi-heure après, mais plus timidement. A croire que le phénomène en question était capable d'avoir des réactions...


    Possédée :


    Une calme demeure du bord de la mer est devenue la maison de la peur, où une fillette de trois ans est apparemment prise de convulsions à la vue d'un crucifix. Une entité surnaturelle s'est emparée de la fillette et de la modeste maison en terrasse de cette petite ville de la côte du Kent.


    "La terreur a commencé il y a un an, dit Mrs. Adams, lorsque des lumières s'allumaient et s'éteignaient, des meubles se déplaçaient, des portes fermées s'ouvraient, des cendriers tombaient des tables et des pièces chauffées devenaient glaciales. Le plus effrayant de tout, pourtant, fut la transformation de Carol".


    L'enfant tenait des conversations avec une personne invisible en se servant de mots qu'une fillette de son âge ne peut pas connaître et, parfois elle se répondait à elle-même avec une autre voix de personne adulte. "Quelquefois, nous pouvions entendre quelqu'un chanter - on aurait dit une berceuse - en même temps qu'elle parlait", dit sa mère.




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    Son mari et elle mirent une croix en bois dans leur living-room pour tenter de combattre cette présence. "Lorsque Carol approchait de la croix, son visage se crispait, poursuit Mrs. Adams, 27 ans. Elle tendait les doigts comme des griffes et montrait les dents. C'était épouvantable." Une voisine, Mrs. Marjorie English, parla du jour où elle vit Carol se pencher hors d'une fenêtre de l'étage. "Je me suis précipitée pour prévenir sa mère mais celle-ci m'a dit que c'était impossible - que les fenêtres étaient fermées et clouées. Lorsque Mr. Adams est rentré chez lui, il a vérifié et les fenêtres ne pouvaient pas être ouvertes.


    Le fils de Mrs. English, Graham, 17 ans, déclara que Mrs. Graham et lui entendirent, une nuit, des bruits qui venaient de la chambre de Carol et quand ils y montèrent pour voir ce qui se passait, la petite fille était fourrée entièrement dans une taie d'oreiller. "Nous l'en avons dégagée et nous l'avons emmenée au rez-de-chaussée mais lorsque, quelques minutes plus tard, nous sommes remontés, nous trouvâmes le petit lit refait et la taie, qui avait été jetée à terre, replacée sur l'oreiller."


    "Je suis convaincue qu'une entité surnaturelle s'est emparée de la maison et se manifeste par l'intermédiaire de Carol", conclut Mrs. Adams.

    Elle appela un médium, Elizabeth Langridge, à son aide. "Nous n'avons rien vu mais nous avons vraiment senti des influences indésirables, dit celle-ci. Un esprit se servait de cet enfant."



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  • Il est recensé, en France, 297 apparitions régulières de ces spectres exclusivement féminins, qui hantent certaines de nos routes. De nombreux témoignages s'accumulent au sein de nos commissariats faisant face à un phénomène certes, pourtant pas nouveau.


    L'histoire étrange, mais bien réelle se répète encore et encore, à l'infini :


    Voici le "portrait-robot" le plus répandu de nos âmes voyageuses : il s'agit d'autostoppeuses silencieuses, le plus souvent vêtues de blanc (ce qui leur vaut leur appellation légitime et familière). Elles sont accostées aux abords d'une ville par les automobilistes-témoins : ces "Dames Blanches" comme on les nomme couramment, formulent clairement leur destination, puis se murent dans un silence inquiétant avant, au détour d'un virage dangereux, de se volatiliser du véhicule samaritain, laissant un témoin plutôt éberlué qui se rappellera durant longtemps de ce mystérieux passage.


    Certains, comme le cas de Michel P., auront toujours en mémoire le souvenir de cette rencontre énigmatique qui fait souvent froid dans le dos ! C'est en 1979 que Michel fait route vers Limoges un soir d'hiver et qu'il distingue en plein virage une forme blanche près d'une discothèque : Abordant une jeune femme d'environ une vingtaine d'années, notre témoin très naturellement lui demande où souhaite-t-elle aller à une heure si tardive : "A Limoges, chez des amis si ça ne vous ennuie pas, ne vous en faites pas je me débrouillerai là-bas..."


    Jusqu'ici, rien de bien invraisemblable pour Michel P. La jeune auto-stoppeuse prend donc place à l'avant tout naturellement. L'automobiliste témoignera du profond mutisme de la jeune fille qui semble tout droit sortir d'un film des années sixties, de par la robe qu'elle porte... La route se poursuit ainsi tranquillement jusqu'à l'approche d'un autre virage, au Pont de la révolution : c'est à ce moment précis que notre jeune passagère semble effrayée soudain, lançant plaintivement à Michel de négocier prudemment ce fameux virage, ce qu'il fait bien évidemment... Soudain, un cri déchire la nuit, faisant sursauter l'automobiliste qui en tournant la tête vers son étrange passagère, s'aperçoit que celle-ci s'est en quelque sorte "dissoute dans l'atmosphère" !


    C'est en stoppant tout net son véhicule et animé d'un sentiment de stupeur et de terreur que Michel P. constate en descendant que, décidément, il ne reste que le brouillard d'une glaciale nuit hivernale : il est tout seul...


    Pas un seul témoin ne pourra attester de sa bonne fois. Mais Michel ne se désarme pas, il compte bien témoigner de son étrange et sinistre aventure. Arrivé à Limoges il fait sa déposition à la gendarmerie où on lui confirme qu'il n'est pas le seul à avoir fait la rencontre nocturne d'une auto-stoppeuse fantôme !


    Plusieurs cas ont en effet été déjà signalés de nombreuses fois au fameux Pont de la révolution, qui fut témoin de la mort d'une jeune femme, accidentée en voiture 20 ans plus tôt... Michel P. ressent sans doute à ce moment-là un profond soulagement : ainsi, d'autres automobilistes ont vécu comme lui cet étrange épisode fantomatique, ce qui ne l'empêche pas d'être bouleversé, on le comprend, par cette rencontre fort singulière.






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    Témoignage d'une errance...


    Des hypothèses ne manquent pas de jaillir au cœur des esprits : quel rôle semble être rejoué incessamment par ces fameuses "Dames Blanches" ? Est-ce un rôle protecteur et bienveillant afin d'anticiper et éviter les accidents de la route ? Où bien incarnent-elles des âmes vengeresses errant sur terre pour au contraire entraîner dans la mort de pauvres automobilistes serviables n'ayant apparemment rien à voir avec leur destin funeste ?


    Tous les témoins semblent se rejoindre pour confirmer l'attitude au demeurant sympathique de ces jeunes âmes errantes sur les routes de France. Avouons qu'il est plutôt difficile de contredire tous ces témoignages plus solides les uns que les autres !


    Les psychologues réagissent aux faits en avançant la thèse des visions épileptiques, ou même d'hallucinations collectives quand les témoins sont nombreux. En ce cas, comment expliquer d'éventuelles "preuves matérielles" constatées en certains cas ?


    Quant aux sociologues, il serait tout juste question de légendes urbaines pour attester du phénomène au sein de nos ères contemporaines. Mais qui dit "légendes" révèle un mythe de source populaire intégré aux traditions : ce qui fait de lui en l'occurrence, une croyance non constatée par le biais d'un témoignage où tout paraît concorder ! Ce qui réfute alors cette dernière hypothèse, décidément moins fondée, surtout au regard des nombreux témoins du phénomène...




    Un scénario récurrent :


    Toujours ou presque le scénario similaire : une jeune femme accidentée quelques années auparavant se plante au beau milieu d'un virage qui a fait sa perte, ou bien près d'un carrefour non moins dangereux, pousse un cri puis disparaît de leur siège passager.


    Certaines de ces âmes en détresse s'agitent et semblent incontrôlables quand le lieu funeste apparaît : c'est ainsi le cas d'une auto-stoppeuse fantôme régulière du Calvados, décédée au croisement près de la forêt de Cerisy.


    Cette âme en peine semble très persuasive et se manifeste toujours par temps pluvieux ce qui rappelle immanquablement un décor de film d'horreur !


    Plusieurs habitants du village confirment de cette apparition insistante. Il s'agit apparemment d'une jeune fille de moins de 20 ans, qui éternellement rejoue la scène de son propre drame depuis 1960 ! Celle-ci compte bien se faire "entendre" afin que la signalisation soit respectée, puis comme les autres elle disparaît sa mission accomplie...


    On pourrait ainsi se dire que les mystérieuses "Dames Blanches" sont bénéfiques en cas d'automobilistes imprudents : leur seule apparition serait sans doute un électrochoc pour bon nombre d'insouciants de la route.






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    Preuves matérielles et tactiles :


    D'autres cas d'apparitions encore plus troublants, cette fois marquées par la disparition d'objets. Il s'agit ici d'une matérialisation de dame blanche prise en stop dans le département de l'Isère, par un médecin grenoblois :


    C'est donc en 1977, par une pluie battante que notre témoin pris en charge une jeune femme vêtue de blanc et peu volubile apparaissant régulièrement sur la N90 à Chapareillan. La jeune apparition désirait aller tout simplement chez ses parents. Arrivée à la hauteur du Pont aux furets, elle démontra des signes d'agitation non dissimulés s'estompant passé le danger, ce qui veut dire que notre "heureux" témoin eut le privilège, si l'on peut dire, d'une apparition plus longue. Un peu plus loin, nos compagnons de route arrivent alors devant une maison que l'inconnue déclare être celle de ses parents. Comme la pluie se fait plus battante, notre charmant médecin prête son parapluie toujours sans savoir ce qu'il va se produire. La jeune femme prend l'objet puis, s'éloigne sous les yeux de l'automobiliste, entre bien dans la maison en question pour ne jamais plus en ressortir. Croyant à un oubli de sa part, notre témoin rejoint la fameuse demeure pensant ainsi récupérer son bien. Mais ce n'est pas une jeune femme qui lui ouvrit tardivement cette nuit-là :


    Stupéfait, notre homme découvre qu'il s'agit d'un couple de quinquagénaires ayant perdu leur fille unique dans un accident de moto, devinez où... au Pont du furet, bien entendu ! Effectivement les pauvres gens dont on imagine l'émotion, confirment dès la description du médecin qu'il s'agit bien de leur fille disparue...


    Certains témoins automobilistes pris d'ardeurs soudaines pour leur "apparition " déclarent que le contact avec la peau de l'inconnue semblait incroyablement glacial, mais bien palpable malgré le manque réactif de la passagère fantôme qui n'oublie jamais sa mission préventive (ou vengeresse ?).


    En effet, ces êtres spectraux semblent se matérialiser tout comme nous autres humains. D'apparence humaine, ils sont dotés de parole, mais non loquaces pour autant, vêtus le plus fréquemment de blanc bien qu'il existe également certaines apparitions dotées de ce qui semble être du cuir (pour les accidentées de moto surtout).


    Le mystère reste hélas entier bien que les témoignages sont légion sur une bonne partie de la France.


    Pas d' "hommes blancs" recensés ?


    Et l'on peut aussi s'interroger quant aux hommes morts accidentellement. Que sont devenues leurs âmes, pour quelle raison ne s'investissent-elles pas, elles aussi de cette mission auprès des automobilistes ? Peut-être est-ce tout simplement parce que les auto-stoppeurs masculins sont moins nombreux que les auto-stoppeuses, qui sait ?

    Cela ferait figure d'hypothèse...




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    On parle en effet souvent des "Dames Blanches" car ce sont elles qui sont recensées à sillonner certaines zones routières de notre pays.


    Rencontres plus fréquentes dans certaines régions françaises :


    Tout ce que l'on sait c'est que le phénomène est récurrent, surtout dans certaines régions comme la Bretagne, et en Poitou. Peut-être avez-vous déjà trouvé sur votre chemin ces fameuses "Dames Blanches", peut-être même avez-vous également fait votre déposition dans un commissariat proche de cet incident, mais il est certain en tout cas que vous ne sortirez pas indemne de cette étrange rencontre du 3e type.



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  • La Possession diabolique


    Dans notre monde occidental, il s'agit de Satan, d'un Démon ou du Diable qui est censé s'être emparé de certaines des ressources physiques et /ou mentales d'un individu pour le contraindre à des actes auxquels il n'adhère généralement pas, dont il ne se souviendra pas et qu'il réprouve dans son état normal. On ajoute que la nature du phénomène exige pour se départager de la pathologie la production de phénomènes d'ordre parapsychiques.




    Les états du possédé


    On distingue un état de calme et un état de crise. L'état de crise se traduit par des contorsions, des éclats de rage, des paroles impies et blasphématoires. Pendant la période de calme, tout est généralement oublié et le comportement redevient bien adapté, voire très pieux.


    Mis à part sa signification théologique particulière et les éventuels phénomènes parapsychiques qui lui seraient associés, la crise de possession ne se distingue pas d'une crise d'hystérie.


    Pour les théologiens, le diagnostic différentiel entre maladie mentale et possession diabolique, ne se fait que sur l'existence de phénomènes paranormaux. Ce qui, auparavant était considéré comme le signe certain de l'authenticité d'une possession ne peut plus aujourd'hui passer pour tel sans plus ample examen.






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    Les symptômes de la possession


    Selon les théologiens, il existe des signes permettant de porter le diagnostic de possession. Le Rituel Romain énonce trois symptômes essentiels parmi d'autres qui auraient une valeur analogue:


    - Parler ou comprendre une langue inconnue (glossolalie).

    - Découvrir les choses éloignées et secrètes (voyance).

    - Faire montre d'une force inexplicable par l'habitus physique de la personne considérée (psychokinèse).


    Les gestes pieux mettent le possédé dans une rage folle et le conduisent à blasphémer horriblement. L'amnésie de la possession est fréquente, et souvent constante.


    Les marques du diable, pour l'Eglise du Moyen Age, ne se limitaient pas aux trois signes, aujourd'hui mentionnés par le Rituel Romain; on donnait même la préséance à d'autres symptômes tels que la lévitation et surtout des zones d'anesthésie, des points du corps anormalement insensibles (il s'agit, pour le neurologue moderne, d'un symptôme de lèpre à son début, de certaines maladies neurologiques ou d'un phénomène de nature hystérique.




    Remèdes


    Il est utile de considérer les "remèdes" proposés par l'Eglise. Les Catholiques proposent pour venir à bout de la possession :


    - La confession générale (relative à l'ensemble de la vie passée)

    - Le jeûne

    - La prière

    - La communion

    - Les objets bénis et surtout l'eau bénite (dont le rituel dit qu'elle "chasse le démon" mieux à son aise dans les flammes de l'enfer)

    - L'exorcisme qui consiste, au nom du Christ, à intimer au démon l'ordre d'avouer son nom, puis de quitter le possédé.




    Position de la psychiatrie


    On définit le trouble "personnalité multiple par la coexistence, chez un même individu de deux ou plusieurs états de personnalités distincts qu'ils aient une mémoire propre, des modalités comportementales spécifiques et leurs propres styles de relation sociale ou qu'ils partagent une partie de ces différents items. Les deux esprits se combattent dans un même champ qui est le corps, et l'âme est comme partagée; selon une partie de soi, elle est le sujet des impressions diaboliques, et, selon l'autre, des mouvements qui lui sont propres et que Dieu lui donne". Ce type de trouble commence à s'installer dès l'enfance mais n'est, le plus souvent, remarqué par les cliniciens que beaucoup plus tard; il s'agit presque toujours de filles (60 à 90 %).


    Le passage d'une personnalité à une autre est généralement brusque (quelques minutes). La transition est sous la dépendance du contexte relationnel. Les transitions peuvent survenir également lorsqu'il y a conflit entre les différentes personnalités ou lorsque ces dernières ont mis au point un plan commun. Les personnalités peuvent être diamétralement opposées dans leurs caractéristiques et différer même quant aux tests psychologiques et physiologiques: elles peuvent nécessiter par exemple des verres correcteurs différents, répondre de manière différente au même traitement et avoir des QI différents. On décrit l'existence de complications éventuelles, telles que suicide, automutilation, agression, viol, toxicomanie, etc...


    La Schizophrénie peut aboutir elle aussi au sentiment d'être possédé. Dans ce cas l'entourage discerne plus facilement qu'il s'agit d'un trouble de la personnalité et non d'un phénomène mystique.




    Le Vatican invite les exorcistes à s'adresser à des psychiatres


    Depuis que la psychanalyse existe, on sait que le diable n'est plus forcément à l'origine des troubles psychiques qui peuvent affecter l'homme. Aux yeux de l'Eglise, celui qui se dit possédé ne l'est pas forcément, et a souvent plus besoin de l'aide d'un psychiatre que de celle d'un exorciste. Or, les prêtres-exorcistes n'avaient jusqu'à ce jour qu'un rituel vieux de près de quatre cents ans pour pratiquer leur ministère. Ils peuvent maintenant compter sur un nouveau rituel, qui intègre l'évolution de la médecine et de la psychiatrie. Ce document de 70 pages, entièrement en latin et conforme aux décrets du Concile Vatican II, remplace les formules et les prières du chapitre XII du Rituel Romain.


    Le texte met en garde contre l'imagination des hommes qui peut les porter à croire qu'ils sont la proie du démon. Dans tous les cas, il faut vérifier que celui qui se dit possédé par le démon le soit vraiment. Le texte recommande de distinguer entre une véritable intervention diabolique et la crédulité de certains fidèles qui pensent être l'objet de maléfices ou de malédictions. "Il ne faut pas leur refuser une aide spirituelle, mais il ne faut pas à tout prix pratiquer un exorcisme."


    Le document poursuit: "L'exorciste décidera avec prudence de la nécessité d'utiliser le rite d'exorcisme après avoir procédé à une enquête diligente - dans le respect du secret confessionnel - et après avoir consulté, selon les possibilités, des experts en matière spirituelle, et, s'il est jugé opportun, des spécialistes en science médicale et psychiatrique, qui ont le sens des réalités spirituelles." Tout en manifestant une grande prudence, l'Eglise n'exclut donc pas l'emprise du démon sur certaines personnes.


    Elle distingue entre l'exorcisme mineur, fait de prières, et le grand exorcisme, qui consiste en une célébration liturgique. C'est le plus impressionnant, celui dont s'inspirent généralement les films d'épouvante. Le nouveau rituel l'a quelque peu simplifié. Ainsi, les prières de dédain et d'injures au démon ont disparu. Le rite comprend entre autres une aspersion d'eau bénite, diverses prières, l'imposition des mains, la présentation d'un crucifix au possédé, et une formule impérative qui s'adresse directement au diable et lui ordonne de s'en aller. Ce rite spectaculaire s'avère rarement utilisé. "Dans plus de 90% des cas dits de possession, les problèmes sont de nature psychologique". Les autorités ecclésiastiques préfèrent créer des structures d'écoute et offrir un soutien psychologique aux personnes en difficulté.


    Les cas réels de possession sont très, très rares, mais les gens pensent parfois que l'exorcisme est la solution à tous leurs problèmes. Ils ne cherchent pas toujours à les comprendre et veulent un soulagement rapide. Mais l'exorcisme, s'il est utilisé à tort, peut contribuer à enfoncer les gens dans leurs problèmes psychologiques.






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    Réaction d'un sujet "possédé" :


    "Un psychiatre m'adressa Serge, dix neuf ans. Prostré sur sa chaise, il regardait fixement le ciel en émettant des grognements. Je commençai mon exorcisme. Soudain les grognements s'accentuent, Serge tourne sa tête vers moi et me "fusille" d'un regard meurtrier, les yeux exorbités striés de filets de sang, l'écume aux lèvres. Il se lève et les mains en avant, se précipite sur moi en criant avec rage, cherchant à m'étrangler. Je saisis ma fiole d'eau bénite et je l'asperge. Il s'arrête net et se roule par terre en écumant de rage. Il se redresse brutalement, me fixe dans les yeux. Il se précipite vers moi pour me mordre. Deuxième aspersion d'eau bénite, il s'écroule à terre comme foudroyé. Je ne lui laisse pas le temps de se relever. Crucifix en main gauche, je saisis de la main droite mon épée d'exorcisme et je commence le rituel d'exorcisme. Au bout d'une heure de ce combat, l'entité du mal qui possède Serge est plus excitée que jamais. Je concentre toute mon énergie sur les mots du rituel et je trace sur son front l'esquisse d'un signe de croix avec le crucifix. Il hurle, empoigne avec ses deux mains mon avant-bras. Je lâche le crucifix, mais de l'épée que je tiens de la main droite, je touche son poignet. Il lâche mon bras et se recule, stupéfait. Je prononce les paroles du rituel. Mon épée tient momentanément en respect le possédé. Une paix s'installe en moi, ma voix s'affermit. Tout devient plus facile, comme si une force supérieure se manifestait à travers moi. Après huit heures de combat éreintant, je le laisse, rejoignant mon domicile pour dormir. Le lendemain, je ressens des douleurs dans tout le corps, et j'ai l'impression qu'une partie de mon énergie vitale me manque. Nous arrivons alors aux tests ultimes. Il est capable d'accepter une hostie consacrée sans la vomir ou la recracher. Il supporte l'eau bénite, il accepte les onctions d'huile et récite en même temps que moi les prières usuelles. Je trouve dans son regard une expression amicale, sans aucune lueur provenant d'une autre présence en lui."




    Méthode en onze parties établie par le pape Paul V


    - Récitation par le prêtre en étole violette, dont un bout entoure le cou du possédé, d'une litanie accompagnée d'une aspersion d'eau bénite ;

    - Récitation du Psaume LIV ;

    - Adjuration à la divinité et interrogation faite au démon (ou à plusieurs) de son nom et d'où il provient [Le prêtre exorciste doit avant toute chose s'informer du nom et du cercle d'où provient le ou les démon(s)] ;

    - Récitation de certains passages des Evangiles (Jean I ; Luc X-XI ; Marc XVI) ;

    - Prononciation du premier exorcisme contre le Démon, par le prêtre posant la main droite sur la tête du possédé ;

    - Prière préparatoire ;

    - Prière accompagnée de divers signes de croix sur la personne de l'énergumène (comprendre ici personne possédée) ;

    - Second exorcisme prononcé avec une certaine violence contre l' "Antique Serpent" ;

    - Nouvelle prière ;

    - Troisième et dernier exorcisme ;

    - Récitation de cantiques, de psaumes et de prière finales.






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    Conclusions


    Les personnes qui anciennement étaient considérées comme possédées par le diable, sont le plus souvent actuellement remises entre les mains des psychiatres. Alors, ne voit-on plus assez le démon où il se trouve, lui laissant les mains libres ? Le malin, "roi des menteurs" a-t-il réussi à duper les hommes une foi de plus en dissimulant ses possessions sous la maladie apparente ? Afin d'obtenir une réponse, il faudrait être plus rusé que le diable.



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  • La tour de Londres, fut construite au XIe siècle par Guillaume le conquérant, près de vestiges de murailles romaines. N'étant qu'un simple camp militaire au tout début, sa construction prit de l'expansion avec les siècles.


    Elle est bien plus qu'une simple tour puisqu'on y trouve plusieurs bâtiments, murs, cours et bien sûr, des tours. Ayant été une forteresse, un château, un dépôt d'arme, son rôle de prison et de lieu d'exécution reste néanmoins ce dont l'histoire se souvient le plus.


    La tour de Londres traîne un lourd passé sanglant derrière elle. De nombreux membres de la famille royale y furent exécutés. On dit qu'entre ses murs, leurs âmes ne pourraient trouver de repos et que leur présence serait souvent observée par les yeux des vivants. La tour de Londres serait selon certains l'un des endroits les plus hanté au monde.




    Thomas Becket


    La tour de Londres comporte plusieurs tours et ces lieux seraient hantés par différents esprits aperçus à de nombreuses reprises. On reconnaît souvent des membres de la famille royale, mais parfois, les mystérieuses apparitions ne peuvent être associées à aucune histoire du passé.


    L'un des premiers témoignages à avoir été consigné fut noté en 1241 et l'on reconnu le chancelier Thomas Becket.


    Assassiné sur ordre du roi Henri II en 1170, Thomas Becket fut aperçut 71 ans après son meurtre.


    On apercevait parfois son spectre dans la tour portant son nom, la tour de saint Thomas, surtout lorsqu'on y effectuait des modifications.


    Les constructions furent souvent retardées par des accidents inexplicables ou par les éléments se déchaînant. Un prêtre prétendit avoir aperçut la forme fantomatique de Thomas, frappant une construction de sa croix jusqu'à ce que celle-ci cède.





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    Anne Boleyn


    De tous les tours s'élevant sur le site de la tour de Londres, il y en a une qui porte bien son nom... La "tour sanglante".


    Une de ses histoires les plus célèbres est celle d’Anne Boleyn, décapité en 1536 pour adultère. C'était un spectacle inconnu puisque c'était la première exécution publique d'une reine anglaise.


    N'ayant aucun cercueil pour elle, Anne Boleyn fut enfermée dans une vielle boite trop petite alors que son corps était enterré à la hâte sous la chapelle saint Peter Ad Vincula.


    Elle fut aperçut à de nombreuses reprises, errant autour de la chapelle, à l'anniversaire de son exécution, suivit par un cortège de seigneurs et de dames, vêtus des costumes de l'époque.


    En 1864, une sentinelle l'aperçut dans une forme blanche voilée par un étrange brouillard.


    Sa dernière apparition remonte en 1936 alors qu'un garde vit une femme sans tête flotter vers lui dans la tour sanglante. La sentinelle mis le mystérieux inconnu en garde mais ne recevant aucune réponse, il chargea. Le garde fut paralysé par la peur quand il vit sa baïonnette traverser la silhouette.




    Margaret Pole


    Margaret Pole, âgé de 70 ans et dernière héritière des Plantagenet, fut décapitée par vengeance, sous ordre du roi Henri VII.


    Le jour de son exécution, elle refusa de poser sa tête sur le billot et le bourreau dû la poursuivre jusqu'à la tour verte. Il abattit sa hache à de nombreuses reprises sur elle avant qu'elle ne rende l'âme dans d'atroces souffrances.


    Cette horrible exécution se répéterait chaque année au pied de la tour verte, à la date d'anniversaire de sa mort.




    Lady Jane Grey


    Promise au jeune Edward VI, Lady Jane Grey avait l'honneur de recevoir l'héritage royal. Par contre, le jeune roi mourut et la laissa seule au trône qu'elle ne désirait pas vraiment.


    Elle fut mariée de force à Guildford Dudley et, grâce à la machination de ses parents, les espoirs de son beau-père furent comblés et elle devint reine. Ce n'était pas son choix mais celui de ses parents.


    Néanmoins, les deux mariés tombèrent rapidement amoureux l'un de l'autre mais leur paix fut de courte duré, tout comme leur vie. Ils ne furent sur le trône que quinze jours avant d'être jeté en prison.


    Agé de seulement 15 ans, Lady Jane Grey fut décapité quelques heures après son amoureux.


    On raconte que les amants maudits furent tout les deux aperçus dans les corridors de la tour de Londres. Le fantôme de Guilford Dudley viendrait, dit-on, s'asseoir près d'une fenêtre de Beauchamp Tower pour pleurer sa bien-aimée, comme il le fit avant son exécution.


    Lady Jane Grey fut aussi aperçue plusieurs fois après sa mort. Sa dernière apparition remonte en 1957, où deux sentinelles aperçurent son fantôme sur le toit de la tour de sel.




    Henri VI


    21 Mai 1471, alors qu'il priait à sa chapelle privée dans la tour Wakefield, le roi de 39 ans, Henri VI, fut poignardé.


    Il était un homme très religieux mais faisait un mauvais monarque.


    500 ans après sa mort, le roi Henri VI fut revue mainte fois, les mains liées, priant dans cette même chapelle qui l'avait vu mourir.




    Les petits princes


    Douze ans après la mort d'Henri VI, Edouard IV (le présumé assassin de Henri VI) mourut, laissant le trône à son fils aîné de douze ans.


    Le régent Richard, duc de Gloucester, déclara les deux enfants d'Edouard IV illégitime, accédant ainsi au trône.


    Les deux enfants furent enfermés dans la tour et ont ne les revit jamais.


    La légende raconte que le régent Richard (maintenant devenue Richard III) les fit exécuter dans la tour sanglante. Leurs fantômes erreraient, se tenant la main, dans cette même tour et auraient été aperçus à de nombreuses reprises.





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    Sir Walter Raleigh


    Aventurier et grand savant, Sir Walter Raleigh était très populaire en 1603.


    C'est pour cette raison qu'il ne fut pas exécuté lorsque le roi Jaques 1er soupçonneux, l'accusa de comploter contre lui.


    Plutôt que de recevoir un châtiment mortel, il fut fait simple prisonnier. Néanmoins, il gardait une certaine liberté, pouvant vivre avec sa famille et continuer ses expériences scientifiques.


    Libéré en 1616, il fut à nouveau accusé de trahison en 1618 et cette fois, il n'échappa à la décapitation. On l'aurait vu souvent baigné dans la lumière de la lune sur des remparts, proche de ses anciens appartements et ils furent nommé : "La promenade de Raleigh",




    L'ours Fantôme


    On raconte avoir aperçut en ces lieux, plusieurs autres personnages inconnus, des victimes des bourreaux. Des cortèges transportant les corps décapités des suppliés semble chose courante en ces lieux.


    Parmi ces fantômes inconnus, on a cru reconnaître Le Duc de Monmouth, vu sur le chemin reliant Bell et Beauchamp Tower mais les apparitions ne sont pas toutes celle d'êtres humains, des animaux fantômes furent également observés.


    Pouvant sembler déplacé, ces apparitions n'ont pourtant rien de surprenantes, puisqu'on trouvait une ménagerie à la cour de la tour de Londres et ce, pendant des siècles.


    La plus populaire est sans doute celle de l'ours Fantôme.


    Durant l'hiver de 1815, une sentinelle fut surprise par un ours sortant de nul part. En tentant de se défendre, le garde constata que son arme traversait l'animal comme dans l'air, et épouvanté, il perdit conscience.


    Il eut le temps de raconter ce qu'il avait aperçut cette nuit là avant de rendre l'âme le jour suivant.


    Un fantôme surprenant


    De toutes les apparitions relatées à la tour de Londres, l'une d'elle est toujours sans explication aujourd'hui vu son étrangeté.


    Un soir de 1817, Edmund Lenthal Swifte, gardien des joyaux de la couronne, dînait avec sa famille dans Martin Tower.


    La femme de Swifte leva soudainement les yeux pour apercevoir ce qui semblait être une fiole de quelques centimètres de diamètre contenant un liquide blanc et bleu. La fiole flotta au dessus de la table pour passer derrière elle. Craignant pour la sécurité de sa femme, Swifte lança une chaise sur l'apparition qui disparût aussitôt. Ce fut la seule et unique observation de ce genre.


    Dans cette même tour également, on raconte apercevoir le fantôme de Henry Percy, duc de Northumberland. En 1605, il fut envoyer à la tour de Londres pour avoir prit part à un complot visant à faire exploser le parlement, et par la même occasion, le roi James 1er. Il y fut retenu prisonnier durant 16 années mais réussit néanmoins à acheter sa liberté. Il quitta la tour bien en vie et mourut loin d'elle mais on raconte pourtant que son fantôme hante les sous-sols de la tour où il marchait souvent de son vivant.




    La tour de Londres de nos jours


    La tour de Londres fut longtemps synonyme de terreur, d'angoisse et de souffrance. Heureusement aujourd'hui, elle est devenue un endroit plaisant. Un des châteaux médiévaux les mieux préservé et des plus impressionnant, il recèle les joyaux de la couronne.


    Si vous en faites un jour la visite guidée, vous entendrez très certainement plusieurs des légendes racontées ci-dessus et sans doute bien d'autre. Vous y verrez peut-être aussi des corbeaux. Les corbeaux de la tour de Londres portent aussi une légende avec eux.


    Cette légende commence avec l'astrologue de Charles II, John Flamsteed.


    Celui-ci se plaignant auprès du roi de la présence incommodante de ces oiseaux, le roi décida de les abattre mais il s'en retint après ce qu'on lui dit. On lui dit que sans ces oiseaux dans la tour, la tour de Londres s'effondrerait avec son royaume.


    Pour éviter cette catastrophe, on tailla les ailes de quelques corbeaux pour les empêcher de fuir.


    Aujourd'hui encore, ces oiseaux demeurent dans la tour et leurs appartements sont adjacents à la tour Wakefield.


    Un homme nommé "Ravenmaster" (maître des corbeaux.) en prend soin et ils ne sont approchables que par lui.





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    Conclusion


    Si vous visitez ce site, vous aurez sans aucun doute la chance d'apercevoir le "Ravenmaster" ainsi que ses petits protégés. Vous vous baladerez librement en cet endroit ancien qui fut autrefois le dernier endroit que plusieurs hommes, femmes et enfants, auront vu de leur vivant.


    La tour de Londres est un endroit magnifique qui garde jalousement de nombreux secrets entre ses mûrs. Elle est toujours imprégnée par l'époque médiévale et parfois, un de ses nombreux corridors obscur nous dévoilent peut-être une fugitive apparition nous rappelant la peur qui y plana longtemps.


    Selon certains, vu son histoire accablante, la tour de Londres pourrait fort bien abriter les âmes torturées de ceux qui s'y firent jadis prendre la vie.





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