• ILES DE PAQUES



    Des Dieux regardent les étoiles



    L'île de Pâques est probablement le lieu le plus isolé du monde. Elle se situe dans l'Océan Pacifique à 3700 kilomètres du Chili ( le pays dont elle dépend ) et à 4000 Kms.


    C'est une île volcanique, on trouve trois volcans sans activité. Il n'y a pas beaucoup d'arbres sur l'île, mais il semblerait que de grandes forets s'étendaient sur toute la surface de l'île il y a encore plusieurs siècles.


    Les polynésiens possédaient des doubles canots qui pouvaient contenir jusqu'à 50 personnes avec provisions et animaux domestiques et selon la légende, le premier habitant de l'île serait le roi polynésien Hotu Matua, chassé des Iles Marquises et qui arriva sur l'île en 500 après Jésus-Christ, ayant envoyé ses 7 fils en éclaireurs avant lui.


    Des spécialistes pensent que les premiers à avoir découvert l'île seraient des Indonésiens.


    Les restes des "dalles de pierre de l'île de Pâques" qui n'ont pas été détruites, révelant la genèse sur l'homo sapiens en contradiction complète avec les grandes religions, sont sous clé et gardé au Vatican.


    Le soir du dimanche de Pâques, le 5 avril 1722, l'amiral hollandais Jacob Roggeveen et ses matelots aperçoivent une terre inconnue. Il nomme cette île minuscule "Île de Pâques". Le premier contact avec les habitants se fait dès le lendemain. Les "Pascuans" réagissent diversement. Puis Roggeveen reprend son voyage. La courte visite des hollandais a permis d'apercevoir de gigantesques statues.


    Durant près d'un demi-siècle, l’île est oubliée jusqu'à ce que l'Espagne envoie reconnaître les terres proches de ses colonies d'Amérique. Le 15 décembre 1770 ils prennent possession de l'île. Les relations avec la population restent cordiales.


    Le 14 mars 1774 le capitaine Cook fait escale à l'île de Pâques. Les descriptions de Cook devaient apporter à l'île sa renommée, dont elle ne cesse de jouir encore.


    Le 9 avril 1976 une première expédition française commandée par La Pérouse atteint l'île. Une exploration de l'île est entreprise puis La Pérouse reprend la mer.


    L'histoire de l'île de Pâques entre alors dans une ère de ténèbres. Les aventuriers et baleiniers infligent de multiples sévices aux Pascuans. Les chasseurs d'esclaves péruviens déciment la population de l'île en 1862. Puis des missionnaires français arrivent sur l'île.


    Les Pascuans s'opposent tout d'abord à leur présence, mais se laissent gagner petit à petit par la bonne parole. En 1868, tous les indigènes sont convertis.


    Cette année là, un aventurier français, Jean-Baptiste Dutrou débarque en voulant introduire l'élevage sur l'île.


    Il prétend acheter les terres les plus fertiles aux Pascuans. Il met l'île à feu et à sang, de graves incidents éclatent en 1870 avec les missionnaires et les indigènes.


    Dutrou est finalement assassiné en 1877 et de nombreux navires abordèrent dans l'île par la suite.


    En 1888 le Chili annexe l'île et loue les terrains pour l'élevage des moutons, à l'exception du village d'Hanga Roa, réservé aux insulaires.


    En 1966, l’île de Pâques est rattachée définitivement au Chili.





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    LE MYSTERE DES MOAÏS


    Les Moais est le nom des fameuses statues de l'île de Pâques. Il y en a environ 300 sur l'île mais un grand nombre d'entre elles ont étés mis à terre lors des multiples guerres tribales.


    La matière première de ces gigantesques statues, qui recouvrent l'île, est avant tout le basalte qui provient du volcan Rano Raraku (dont le cratère est aujourd'hui envahit par les joncs).


    Leurs yeux étaient fais d'os (de requins ou autres vertébrés) et les pupilles étaient faites par une incrustation de corail ou d'obsidienne. Elles étaient taillées à l'aide de hache " Toki ".


    Leur taille se situe en général entre 4 et 8 mètres, certains allants jusqu'à une dizaine de mètres.


    Elles portaient toutes lors de leur édification une coiffe au sommet de leur tête, un Pu Kao (un chignon) pesant dans les 1,5 tonnes. Cette coiffe n'était pas taillée dans le même basalte, c'est une pierre rouge provenant de la face ouest de l'Ile. Elles étaient taillées sur place puis transportées.


    On ne connait pas le rôle des Moais. Peut-être des statues idoles vénérant un ou plusieurs dieux ou protectrices de l'île ou encore un rituel pour les morts... Ils sont tous tournés vers l'intérieur de l'île le dos face à la mer et leur regard se dirige toujours vers le ciel, on les surnomme régulièrement par "ceux qui regardent les étoiles".


    Il y a une exception cependant, le " Ahu Akivi ", un alignement de 7 Moais qui regardent en direction de la mer. Ils n'ont pas les caractéristiques physiques des Polynésiens. Ils ont des nez aquilins, des lèvres fines, des fronts hauts et de la barbe.


    Des scientifiques ne pensent que l'île à subit deux vagues de migrations, l'une venant de Polynésie et l'autre d'Amérique du Sud probablement du Pérou. Le transport depuis le volcan jusqu'à leur destination finale (jusqu'à 20 kilomètres), demeure un mystère encore aujourd'hui.


    Les Moais devaient être emmenée sur des " Ahu ", en pierre qui leur servaient de support. Les Ahu étaient très certainement d'anciens autel transformés, le plus vieil Ahu est daté de 857 après J.C. Ce sont des édifices religieux assez proches des Maraes que l'on trouve en Polynésie.


    Ils sont construits de blocs de pierres ordonnés et ajustés sans mortier. Le plus long de l'île de Pâques celui de Tongariki mesure qui mesure 145 mètres de long pour 4 mètres de haut.


    L’ngéniosité de la mise en place des blocs est plus développée que celle des techniques habituelles des autres îles du Pacifique.


    Il reste des dizaines de statues non achevées dans la carrière, on en trouve à tous les stades de la construction, notamment le plus grand de tous qui n'a jamais été achevé, mesurant plus de 24 mètres, elle aurait pesé entre 135 et 150 tonnes.


    Les sculpteurs travaillaient à l’étroit autour des blocs, dans des rigoles de 0.50 à 0.60 mètre de large et 1.50 mètre de profondeur. Ils travaillaient d’abord la tête, le corps puis les flancs. Le polissage et les détails étaient effectués avant que la statue ne soit définitivement détachée.


    A la fin, la statue ne reposait plus que sur une «quille» que l’on perçait de trous. Ces trous étaient remplis de gravier et le gravier remplaçait petit à petit la quille.


    Les Pascuans faisaient alors glisser la statue jusqu’au pied du volcan où on la redressait pour polir le dos.


    Ces statues non finies attestent d'un arrêt soudain de leur fabrication, lié sans aucun doute au massacre par les "Longues Oreilles", qui se seraient alors complètement désintéressés des statues, allant même jusqu'à les renverser par terre ou commencer à les détruire.


    Depuis leurs créations, les moais ont subis des dommages ou des modifications. Après la plus violente des guerres tribales où les courtes "oreilles" ont anéanties les "longues oreilles", la plupart des statues ont été mises au sol. Ils ont perdus leur yeux et ont subis les tempêtes, ainsi beaucoup n'ont plus leur coiffe le " Pu Kao ".




    L'OEUF CENTRE DU MONDE


    L'œuf est situé au Nord-est de l'île dans la baie de Hanga Hoonu (La Baie Lapérouse), à côté du plus grand moai (une douzaine de mètres de haut, mais il a été mis à terre), une petite pierre ronde. L'œuf ne se situe pas du tout au centre de l'île.


    Les scientifiques ne savent pas depuis combien de temps cette pierre est là, ni si ce sont les vents et la mer qui l'ont ainsi façonnée naturellement ou bien si cette pierre a été sculptée par l'homme.


    Pour les pascuans, cette pierre dans leur culture représente le centre du monde. Il semblerait que par le passé, les pascuans accordaient réellement une valeur très importante à cette pierre. Un culte lui était probablement dédié.




    LA LEGENDE DE L'HOMME-OISEAU


    Tous les printemps, la plus grande fête de l'année avait lieu. C'était une compétition où chaque participant doit s'emparer d'un œuf.


    Elle est précédée d'une cérémonie religieuse consacrée au culte de l'Homme-Oiseau. C'est la fête de «Tangata Manu». L'objectif de cette fête est de désigner un second roi sur l'île pour un an. Le concurrent (une personne influente) est représenté par un serviteur (le Hopu).


    Celui-ci se dirige avec les autres concurrents à la falaise d'Orongo et se rend vers l'île de l'Homme Oiseau, qui est la plus éloignée (environ à 2 Kilomètres de la côte).


    Ils doivent ramener le premier œuf de sterne (des hirondelles de mer ou Manutara dans le language local) pondu sur l'îlot de Moto Nui.


    Il faut pour cela, grimper une falaise à pic de 180 mètres et ramener l'œuf sur sa tête sans évidemment le briser. Pendant la compétition, la population observe sur la pente en face de l'îlot pour attendre le vainqueur et bien veiller au respect des règles.


    Le site d'Orongo était situé sur la partie de la crête du cratère du Rano Kao qui surplombe les hautes falaises noires où se trouve un village avec des maisons en forme de pirogue faites de pierres.

    Celui qui ramène l'œuf à son maître, prend alors le nom d'Homme-Oiseau (ou dans la langue locale le Tangata manu); il incarne sur Terre le Dieu Maké Maké : le créateur de l'univers.

    Le maître gagnait un pouvoir considérable pour une année : il devenait le second roi de l'île ou obtenait un titre de chef militaire (quand on sait que les tribus se bataillaient régulièrement, on peut mieux percevoir l'importance de cet homme).

    Cette compétition dura jusqu'à la fin du XIXème siècle, elle finira par disparaître du fait de la présence de très peu de pascuans d'origine au fil des années, les traditions se perdant.

    Après la fête, le guerrier qui rapporte l'œuf se fera raser le crâne et devra séjourner pendant un an (jusqu'à la prochaine célébration) dans une grotte. Très peu de personnes ont le droit de le voir et ses repas sont préparés par les quelques personnes habilitées à le faire (essentiellement des prêtres). Il était soumis à de sévères interdits du fait de son caractère sacré.




    L'ECRITURE RONGO-RONGO


    C'est le missionnaire Hyppolite Roussel qui découvre en 1870 l'écriture Rongo-Rongo.


    Il découvre chez des indigènes des tablettes de bois recouvertes de signes gravés que les Pascuans appellées " Ko Hau Rongo Rongo " (Bois Parlants ou encore bâton de chantre).


    Les missionnaires présents sur l'île donnèrent l'ordre de toutes les détruire en les brûlant. Il ne reste plus aujourd'hui que 21 tablettes dans le monde dispersées dans des musées et dans quelques collections privées. La plus belle collection est celle du musée de Braine-le-Comte en Belgique.


    Aucune datation ne s'est montrée concluante et leur âge reste indéterminé.


    On reconnaît nettement des représentations d'hommes, des objets quotidiens, mais aussi des poissons, des lézards, des oiseaux.


    Les spécialistes de ces tablettes ont estimés qu'il existait environ 500 caractères différents.


    L'interprétation de ces tablettes prêtes à discussion. On s'accorde évidemment à dire qu'il s'agit d'une écriture idéographique (pas d'alphabet ou de syllabe) ; à un dessin donné, on associe un mot ou une idée (les combinaisons de plusieurs pictogrammes ne sont pas à exclure, c'est à dire des associations pour donner une autre signification à tel ou tel dessin).


    L'écriture Rongo-Rongo est probablement dans l'esprit des hiéroglyphes égyptiens mais on ne la comprend pas.


    A la fin du XIXème siècle, un tahitien s'était vanté de pouvoir les lire et le Père Jaussen lui montra les tablettes. A la vue des tablettes, Meteoro se mit à chanter ce qu'il y voyait. C'est à ce jour à priori la seule personne qui ai compris ce qu'elles signifiaient.


    Le Père Jaussen, n'a réussi à comprendre que la façon dont se lisait les "textes", et qu'ils étaient chantés.


    Ils sont en effet écrits selon un schéma inédit : le texte est divisé en lignes "paires" et en lignes "impaires". Les lignes paires sont orientées de droite à gauche et les lignes impaires de gauche à droite et apparemment chaque signe est placé la tête en bas





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    RUINES DU PACIFIQUE

    Micronesie


    L'océan pacifique nous révèle aujourd'hui beaucoup de mystères


    De nombreuses ruines viennent confirmer, à travers les îles du Pacifique, la floraison passée d'une haute civilisation. Il existe des constructions de même conception sur des îles lointaines de plusieurs milliers de kilomètres. Elles pourraient précéder les pyramides d'Égypte de près de 5000 ans.


    Jusqu'à récemment, les chercheurs les plus en pointe pour ce qui est des grands bâtiments antiques dans le monde, étaient généralement d'accord sur le fait que les édifices les plus anciens ayant une taille et une complexité architecturale importantes, les pyramides d'Égypte, n'avaient pas plus de 5000 ans.


    La ceinture de feu qui entoure le Pacifique ne serait que la gigantesque cicatrice marquant les limites d'une formidable collision remontant à douze mille ans.


    Le débat demeure ouvert quant à la réalité historique d'un continent perdu. Si celle-ci est admise, on imagine le nombre de questions auxquelles il faudra alors répondre !


    Les éléments disponibles sont moins nombreux que ceux qui militent en faveur de la réalité de " l'Atlantide " ou du continent " Mu ". Mais il reste sans doute beaucoup à découvrir dans les archipels des mers du Sud...



    LES RUINES SOUS MARINES DE YOMAGUNI (MICRONESIE)


    Sa datation a révélé que l'édifice remontait à au moins 8000 ans av. jc


    La petite île de Yonaguni est une des îles de "Yaeyama" au sud-ouest d'Okinawa ; c'est le point le plus occidental du Japon, située à l'est et très proche de Taiwan.


    Yonaguni est géologiquement plus lié à Taiwan qu'au Japon (on a aussi découvert des ruines sous-marines à Taiwan dans les eaux de Penghu islands).


    Les structures de Yonaguni fut tout d'abord découverte, par 22 mètres de fond, par des plongeurs.


    Les populations de la zone pensaient que c'était une construction naturelle.


    Le professeur Masaki Kimura, un géologue de l'université Ryukyu à Okinawa, qui fut le premier scientifique à étudier le site, a conclu que la mystérieuse structure de 5 étages avait été bâtie de la main de l'homme.


    "Cet objet n'a pas été façonné par la nature. Si cela avait été le cas, on pourrait s'attendre à trouver des débris dus à l'érosion autour du site, mais il n'y a pas de fragments de roche ici. La découverte de ce qui apparaît être une route entourant la construction est une autre preuve de la nature artificielle du bâtiment. Elles pourraient précéder les pyramides d'Égypte de près de 5000 ans ".


    Le professeur a aussi déclaré lors d’une interview en septembre 1999, que l’on pouvait clairement voir qu’elles étaient des constructions faites par l’homme. Elles avaient des rues, des escaliers à angle droit avec des trous ronds dans le rocher qui semblaient prévus pour l’insertion de piliers de pierre, etc.


    La découverte d'une statue de têtes humaines (qui ressemble beaucoup aux têtes Olmèques ou aux Moas de l'île de Paques) et des hiéroglyphes était particulièrement convaincante du fait que les ruines au sud de L'île Yonaguni tirent leur origine d’une civilisation préhistorique.


    Jusqu'à récemment, les chercheurs les plus en pointe pour ce qui est des grands bâtiments antiques dans le monde étaient généralement d'accord sur le fait que les édifices les plus anciens ayant une taille et une complexité architecturale importantes, les pyramides d'Égypte, n'avaient pas plus de 5000 ans. La datation du site de Yumaguni a révélé qu'il remontait à au moins 8000 ans av. J.C.


    Une structure, qui apparaît comme étant la plus vieille construction d'envergure du monde (deux fois l'âge des pyramides d'Égypte), vient d'être découverte.

    Cette ziggourat rectangulaire en pierre, retrouvée au fond de la mer du Japon, près des côtes nippones, pourrait être le premier témoignage d'une civilisation encore inconnue de l'âge de pierre, de l'avis même des archéologues. Le monument fait environ 183 mètres de large, et 27 mètres de haut.


    D'autres structures ont été trouvées dans la région, d'une distance de 500 kilomètres entre Yonaguni et Okinawa. Elles incluent des rues pavées et des carrefours, d'énormes autels, des escaliers menant à de larges places, des pylônes, etc...


    D’importantes découvertes furent faites à l’Ouest de l’île.


    En 1990, des plongeurs ont découvert une pyramide géante faite de rochers. Cette pyramide était de 183 mètres de largeur, et de 27.43 mètres de hauteur ; elle fut construite avec des rochers rectangulaires, et avait 5 niveaux.


    Il y avait aussi plusieurs petites constructions tout prés ressemblant à la pyramide géante. De telles mini pyramides se composaient de couches de pierre, avec des largeurs de prés de 10 mètres et une hauteur de prés de 2 mètres



    LABYRINTHES DE KERAMA AU JAPON (MICRONESIE)


    Les cercles en pierre, du " labyrinthes de Kerama ", aux profondeurs de 27 et 33 mètres.


    On n’a pas encore déterminé si ce sont des phénomènes naturels ou des structures travaillés.


    Cette terre était pour la dernière fois au-dessus de niveau de la mer il y a environ 10.000 ans.


    La disposition de ces pierres fait penser aux ruines sous-marines des Bahamas de lîle de Bimini et l'île d'Andros aux Caraîbes ainsi que " L'oeuf centre du monde " sur l'île de Paques.


    Les trous circulaires synthétiques sont sur le sommet d'un petit bâti 5 et 20 mètres, sous l'eau pas loin de la côte d'Aguni.


    Il est possible que ces trous ont été des puits, quand le sommet du bâti était au-dessus de l'eau.


    Des îles ont été souvent employées comme cimetières ; il est possible que ces trous soient des tombes. Cela expliquerait pourquoi certains ont deux chambres, une verticale en bas, et une horizontale de côté ; la manière la plus simple pour un deuxième enterrement dans le même espace, sans déranger le premier.



    RUINES DE L'ILE DE PENGHU A TAIWAN (MICRONESIE)


    Dans la profondeur de l'eau entre 25 à 30 mètres, il y a des murs plats de roche s'étendant sur plus de 100 mètres, sur environ un mètre de hauteur et 50 centimètres d'épaisseur.


    Les murs sont disposés dans une direction est-ouest.


    Certaines des sections murales ont des pavés arrondis.


    La longue formation linéaire de la structure sous-marine de roche provient certainement de travaux et n'est probablement pas naturel.


    Cependant, les scientifiques ont avertis que les rêves de civilisations antiques ayant existés dans les eaux de Peng hu sont spéculations, car il y a des explications normales pour les formations de roche linéaires.


    Le professeur Tsao Nu-chung, chef de section à l'enquête géologique centrale de Taiwan, a dit que les basaltes d'inondation et d'autres types d'éruptions volcaniques de lave peuvent également créer ces formations linéaires, dues aux joints inhérents et aux structures planaires des roches plutoniques.


    Ces ruines sont peut être celles de la civilisation perdues et légendaires des eaux de Peng hu, entendues dans de vieux folklores et mythes taïwanais. Elles auraient entre 7.000 ans et 12.000 ans.


    Il pourrait y avoir eu une ville dans ces eaux, maintenant submergée sous l'océan pacifique!


    Les îles de Peng hu ont hérité de l'existence d'éruptions volcaniques, il y a environ 10 millions d'années. La lave éclatant du volcan se serait imposée dans les lits sus-jacents de roche et aurait pu se transformer en structure normale plate.



    LES COLONES DES ILES MARIANNES (MICRONESIE)


    Aux îles Mariannes, les ruines de grandes colonnes en pierre angulaire hémisphérique, ressemblent à des champignons.


    Ces pierres droites sont disposées dans de doubles rangées de 6 à 14 pierres. C'est la maison du chef Taga.


    L'île de Tinian a deux des plus grands mégalithes encore debout. Les piliers sont de 5.5 m de circonférence à la base et de 4.5 m au dessus. Ils sont hauts de 3.7 m et soutiennent des bases de 1.5 m de hauteur et 1.8 m de diamètre. Chaque monolithe de corail pèse environ 30 tonnes.


    Il y avait à l'origine 10 piliers disposés dans deux rangées parallèles. Selon la légende, quand la dernière pierre tombera, le chef reviendra sur Tinian ...



    LES RUINES DE NAN-MADOL A PONAPE (MICRONESIE)


    Les mégalithes faits de blocs basaltiques bleu-noir en forme de prismes hexagonaux et disposés en croix.


    Le site de Nan-Madol sur l’île de Ponape (Pohn-ah-pay) à 6°58 Nord et 158°13 Est.


    Sur cet archipel des Carolines, furent accumulés des mégalithes faits de blocs basaltiques bleu-noir en forme de prismes hexagonaux et disposés en croix comme les bûches d'une hutte, de plus de 12 m. de haut et de 5 m.50 d’épaisseur.


    Les constructeurs de ces enchevêtrements basaltiques surprenants de Nan Madol auraient, dit-on, utilisé de simples radeaux pour transporter ces prismes de plus de 3m de long pris dans d'autres îles à plus de 15 miles de là.).


    À l'intérieur de la muraille externe il y avait une enceinte interne. La raison d'être de cette immense double enceinte "Naudauwas" était manifestement de protéger et honorer les restes des Saudeleurs dont la tombe était recouverte des mêmes grosses poutres de basalte.


    Il ne reste plus rien aujourd'hui. Plusieurs Saudeleurs et les Nahnmwarki qui leur ont succédé furent inhumés ici.



    RUINES DE L'ILE DE LELU (MICRONESIE)


    La ville antique en pierre géante d'Insaru sur l'île de Lelu, qui se trouve à côté de Kosrae (à l'est des îles Carolines), a été construite de murs et d'énormes pyramides de basalte, avec un réseau de canaux reliant les bâtiments et les îles voisines. On y trouve également des routes pavées.


    Les ruines sont très semblables à celles de Nan Madol, mais moins étendues.


    Certains des murs font plus de 6 m de haut et les blocs mégalithiques de basalte pèsent jusqu'à 50 tonnes.


    Considérant que les ruines de Nan Madol sont légèrement enfouies, les structures de Lelu semblent elles s'être levées légèrement, puisque les canaux sont presque secs.


    D'où viennent les pierres est un mystère; la légende indique que la ville a été construite dans une nuit par deux magiciens.



    RUINES DE PALAU (MICRONESIE)


    Sur les îles de Palau (ou Belau) en Micronésie, à l'ouest des Carolines, plus de 5% de la surface de la terre est en terrasse et les collines entières ont été sculptées pour ressembler à des pyramides.


    Certaines des terrasses sont de 4.5 m ou plus de haut et souvent de 9 à 18 m de large.


    Les terrasses ne correspondent pas du tout aux traditions locales et personne ne sait qui et pourquoi on les a construites.


    Le site mégalithique de Bairulchan sur l'île de Babeldaob possède deux rangées de grands monolithes de basalte, certains ont des dispositifs faciaux.


    Il y a 37 pierres en tout, qui pèsent jusqu'à 5 tonnes, et dont la plus grande pèse plus de 3 tonnes.


    Des monolithes du même type existent sur les îles de Vao et Malekuta aux nouvelles Hebrides.



    LES TUMULIS DE L'ILE DES PINS (MELANESIE)


    Sur l'île des pins en Nouvelle Calédonie il y a tumulus ou monticules, de 9 à 50 m de diamètre, et 0.6 à 4.6 m de hauteur.


    Les matériaux les composants semblent venir des environs immédiats : débris, terre, et grains de corail d'oxyde de fer.


    Les tumulus plus grands enferment des colonnes de ciment de chaux et de coquillages, suggérant que les tumulus soient le produit de l'activité humaine.


    Les archéologues doutent car les premiers colons n'ont pas employé de ciment et théorisent que les monticules ont été construits par des oiseaux énormes, maintenant éteints et incapables de voler pour incuber leurs œufs !


    Cependant les cylindres à l'intérieur des tumulus sont d'un mortier de chaux très dur et homogène, contenant un peu de coquillages.


    La datation au Carbone 14 des coquillages ont rapporté des dates de 5120 à 10.950 AVANT JÉSUS CHRIST. La date ultérieure est environ 3000 années plus tôt que celle où les humains sont censés avoir atteint le sud-ouest Pacifique dans la zone indonésienne.



    L'ILE DE TONGATAPU DANS LES ILES TONGA (POLYNESIE)


    L'île de Tongatapu dans les îles du Tonga possède la seule voûte mégalithique du Pacifique du sud : Le trilithon de Ha'amonga.


    Chacun des piliers de corail mesure 4.9 m de haut et pèse environ 50 tonnes.


    Le linteau, qui est placé dans des cannelures de pierres droites, est de 5.8 m de long et pèse environ 9 tonnes.


    Le centre cérémonial de Mu'a (autrefois Lapaha), une ville de canaux sur Tongatapu, a beaucoup de plateformes mégalithique (connues sous le nom de langi).


    La zone centrale de Mu'a a été entourée par un canal (ou un fossé) gigantesque.


    Les roches antiques massives du côté de la lagune de Mu'a indiquent que par le passé de gros navires se sont amarrés ici, dans un port !





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    L'ILE DE MALDEN (POLYNESIE)


    L'île de Malden (une des îles de la République de Kiribati, maintenant inhabité), possède quelques 40 plateforme temples pyramidaux, de 3 à 9 m d'hauteur, 6 à 18 de large, et 27 à 60 m de long, avec des traces des routes pavées menant vers la mer.




    RAROTONGA (POLYNESIE)


    Sur l'île de Rarotonga, la plus large des îles Cook, le perçage des oreilles et prolongement des lobes étaient de vieilles coutumes, de même que sur l'île de Pâques, en Inde antique, et au Pérou. Le dialecte de Rarotonga est proche de la langue de Rapa nui.


    Il y a une route mégalithique qui a par le passé encerclé l'île entièrement et aussi plusieurs plateformes pyramidales un peu partout.


    Quelques sections de la route ont été pavées avec des pierres et galets de façon parfaitement convenables, mais sa majeure partie a été maintenant recouverte d'asphalte.


    Le bord se compose de blocs de basalte prismatique étendus étroitement ensemble et disposés d'une manière ordonnée.


    La route est bien mieux construite que celle de l'île Malden et d'autres similaires, trouvées notamment au Pérou et en Inde.



    ILES DE LA SOCIETE (POLYNESIE)


    Des plateformes tronquées et pyramidales, les marae existent dans l'ensemble des îles de la société, des pierres mégalithiques, soigneusement formées et adaptées.


    La plus grande de toutes les structures en pierre polynésiennes étant le Marae Mahaiatea à Tahiti. Aujourd'hui détruite, son aspect global était une pyramide possédant un large toit plat.


    Il a mesuré 21.6 par 81.4 m à la base, et s'est levé en 11 étapes de marches à une taille de plus de 13 m de haut. Faits de blocs de corail, et de pierres volcaniques carrées.


    Visible durant la visite du capitaine Cook's en 1769, l'édifice a été démoli après 1897.


    - Le Marae Taputapuatea de Raiatea (la plus grande des îles sous le vent) est long de 7.3 m de large, et jusqu'à 3.7 m de haut. Il a été construit au-dessus d'une plateforme plus ancienne. Il est l'une des plus grandes et meilleures plateformes préservées dans toute la Polynesie et l'un des sites les plus sacré.


    - Comme ceux de Raiatea, les marae de Huahine et Bora Bora sont construits avec de grandes galettes de corail, tandis que les structures comparables sur Tahiti et Moorea sont faites de pierres rondes de basalte.


    - Dans l'ensemble des îles de Marquises il y a les restes de grandes plateformes en pierre, de maisons murées et des terrasses, la plupart d'entre elles envahies par la végétation de la jungle, mais fournissant le témoignage silencieux d'une culture disparue. Le plus grand emplacement archéologique de Polynésie est trouvé sur Hiva Oa, et occupe la totalité de la vallée de Taaoa.




    On a partiellement reconstitué plus de 1000 paepae (plateformes sur lesquels des maisons ont été construites), grand tohua (centre cérémonieux public), et plusieurs me'ae (plateformes sacrées tabou au public).


    Certaines des plateformes sont de 120 m de long et de 30 m de large, et contiennent des blocs cyclopéens de basalte pesant plus de 10 tonnes.


    Cependant, aucune maçonnerie comparable à Ahu Vinapu sur l'île de Pâques n'a été trouvée.



    RAPA ITI (POLYNESIE)


    Sur l'île de Rapa, également connu sous le nom de Rapa Iti (petit Rapa) pour le distinguer de Rapa Nui (grand Rapa, c.-à-d. l'île de Pâques), les collines sont découpées avec des terrasses envahies de végétations et de pyramides mystérieuses.


    On ne le connaît pas qui a fabriqué ces structures.





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