• Carlotta se brossait les cheveux. À peine fut-elle allongée dans son lit que… la chose, impressionnante, énorme, se fraya un chemin jusqu'à elle. Carlotta souffrait ; la chose qui l'avait pénétrée si vite, l'éperonnait maintenant avec violence. Elle n'avait plus l'impression d'être un être humain…encore moins d'avoir affaire à un être humain.


    Cette histoire peut paraître comme de la science-fiction. En vérité ces lignes sont tirées d'un roman de Frank De Felitta dont a été tiré le film d'horreur « The Entity ». Mais attention, ce roman se base sur un récit authentique d'une jeune californienne du nom de Carlotta Moran.


    L'expérience a été vécue dans les années 70 et fut consignée dans des rapports psychiatriques des plus sérieux, confirmés aussi par des preuves physiques, comme les nombreuses contusions relevées sur son corps, sinistres témoignage des viols nocturnes à répétition. Carlotta fut victime de ce que plusieurs appellent, un incube.


    Ce n'est pas un cas isolé. En fait ces « viols » sont connus depuis des temps immémoriaux. Ce phénomène n'est pas exclusif aux femmes car incube a son pendant féminin, succube. Généralement, ils sont invisibles, mais dans le cas de Carlotta, elle voyait vraiment l'entité qui changeait de forme à chaque fois. Ça pouvait se produire autant le jour que la nuit.


    Une actrice britannique qui voulait garder l'anonymat a confessé à Stan Gooch, psychologue et médium anglais, une expérience similaire. Elle sortait tout juste d'une phase de sommeil profond, lorsqu'elle remarqua que la lumière au plafond avait pris la forme d'un œil humain la fixant avec insistance. Vint s'ajouter une curieuse sensation… elle sentait une force s'exercer sur son corps comme si un homme était sur le point de lui faire l'amour.


    «Au début, raconte l'actrice, c'était plutôt agréable. Mais par la suite la pression se fit plus forte. « Il » déployait une telle énergie que mon corps s'enfonçait dans le matelas.» Lorsque l'entité disparut, elle se précipita dans la salle de bain et, là, face au miroir, elle remarqua que sa bouche était pleine de sang noirâtre. Curieusement, les phénomènes de succubes et d'incubes sont souvent doublés de manifestations de poltergeists : déplacement inexplicable du mobilier, feux s'allumant spontanément, défaillance électrique des appareils ménagers.


    Y-aurait-il un lien entre les poltergeists et les incubes et succubes ? C'est ce que croit Guy Lyon Playfair, un vétéran de l'investigation paranormale en se basant sur des événements bizarres dont il a été témoin au Brésil. Marcia, une jeune femme très cultivée, diplômée de psychologie, découvrit sur la plage un jour une statuette en plâtre représentant Yemanja, la déesse de l'eau. Elle la rapporta à la maison et dès lors, elle vécut toute une série d'événements traumatisants, manifestations typiques d'un poltergeist. Elle se sentit bientôt si épuisée et déprimée qu'elle envisagea le suicide. La vie dans la maison devenait impossible. Une nuit, elle sentit la présence d'un incube dans son lit et elle subit plusieurs agressions sexuelles. Sur les conseils d'un occultiste, elle décida de rejeter la statuette à la mer et dès lors tout fut terminé.





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    Une des hypothèses les plus intéressantes sur l'origine des incubes et succubes avance que ces esprits violeurs seraient en fait des «doubles» de personnes vivantes. Morton Schatzman, psychiatre, le croit à cause du cas de Ruth. Cette jeune femme avait été violée par son père durant son enfance. Adulte, elle présentait de nombreux symptômes hystériques, notamment une capacité à imaginer que son père lui rendait visite pendant la nuit, alors qu'il était encore vivant, pour perpétrer à nouveau sur elle son odieux crime. Ici, l'incube représente visiblement la réincarnation d'un traumatisme enfantin : le viol incestueux.


    Plus étrange encore, Ruth s'aperçut qu'elle était capable de créer un «double» de son époux, Paul. L'image obsessionnelle était si vivante qu'elle entretenait un commerce charnel avec elle. Lors d'une visite au docteur Schatzman, elle déclara : «Il embrasse à nouveau ma bouche. Puis il commença à me faire l'amour…Nous arrivâmes à la jouissance en même temps.» Encore plus fascinant, des personnes ont témoigné avoir VU le «double» de Paul.


    Ce curieux phénomène de dédoublement pourrait faire pencher pour une interprétation psychanalytique du phénomène des incubes. Ce seraient des projections d'un moi qui rejette, refoule certaines de nos propres tendances sexuelles, qui prendrait alors la forme d'un «double» extérieur et persécuteur.


    On peut aussi associer le phénomène d'incube et succube à la paralysie du sommeil, dont les symptômes sont identiques : sensation d'une présence, d'un poids opprimant la poitrine, sensibilité sexuelle accrue, accélération du rythme cardiaque, difficultés respiratoires, incapacité à se mouvoir, comme si les muscles étaient paralysés.


    Toutes ces théories n'expliquent cependant pas la présence de phénomènes poltergeists qui joignent souvent les incubes et succubes. Simple coïncidence ces deux phénomènes ? Étant donné qu'on donne aussi une explication psychanalytique aux poltergeists, il serait plausible de relier les deux phénomènes.



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  • Définition


    En allemand, le terme Poltergeist signifie "bruit de fantôme".


    En effet, les expériences de Poltergeist sont souvent bruyantes cependant leurs sources ne sont pas des entités fantomatiques. La cause des phénomènes de Poltergeist est la plus part du temps due à une personne et quelques fois à un groupe de personnes.


    Les études depuis 1950 semblent démontrer que l’agent impliqué dans une situation de Poltergeist est souvent impliquée dans une situation psychophysiologique instable.




    Etude des cas


    Benjamin B. Wolman a recensé 116 cas de phénomènes de type Poltergeist. L’étude qu’il a faite de ces cas lui à permis d’en dégager certaines caractéristiques.




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    Le choix de ces cas repose sur quatre critères :


    - Il s’agit de cas publiés depuis 1850 dans des revues professionnelles

    - L’auteur se devait d’être présent

    - L’auteur doit être une personne crédible

    - Les cas doivent impliquer des incidences physiques.




    Principales observations dégagées par Wolman


    Les cas les plus nombreux ont été recensés aux USA (31) et 26 cas en Angleterre. Les anglo-saxons auraient-ils des pouvoirs plus élevés que la moyenne ou simplement une meilleur imagination ?


    Dans 25 de ces cas, les témoins présents étaient des membres d’organisation de recherche en place.


    Dans 19 autres cas, les policiers figurent comme principaux témoins.


    56 cas sont attribués à des femmes


    36 cas à des hommes


    La moyenne d’âge chez les femmes est de 15 ans


    La moyenne d’âge chez les hommes est de 17 ans


    32 cas impliquent des apparitions


    6 cas impliquent des voix.




    Cas de SILVIA GIARDI :


    À Sienne, en Italie, en 1928, une jeune fille de 15 ans semble provoquer des chutes de pierres près d’un monument funéraire. On avait même fait installer autour du monument un cordon de police.




    Cas de VIRGINIA CAMPBELL :


    En Ecosse, en novembre 1960, Virginia Cambell une jeune adolescente de 11 ans, devant huit témoins, semble être la cause de coups provenant de la tête de son lit.


    Les témoins assisteront même au déplacement d’une lourde commode, dans la chambre de la jeune fille.






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    Cas de JULIO


    Un jeune commis de 19 ans, dans un entrepôt de Miami (Janvier 1967) semble responsable de la chute d’objets placés sur des tablettes. Wolman sera témoin de scènes d’objets se déplaçant et qui tombaient des tablettes.




    Cas de SIGMUND ADAM en Novembre 1967 :


    Un avocat allemand à Rosenheim, témoin de nombreux phénomènes au niveau de l’éclairage : les fusibles qui sautent, les ampoules et tubes de néons qui éclatent, les conversations téléphoniques interrompues, etc...


    Les phénomènes semblent reliés à une jeune secrétaire de 18 ans, Anne Marie Schneider.


    Le professeur Hans Bender de l’université de Freibourg , enquêteur chevronné en matière de Poltergeist pris en charge la situation.


    Deux physiciens installent un voltmètre pour prendre des mesures. L’instrument enregistrera des variations d’intensité de courant au moment même de la manifestation, de bruits et d’étincelles. De plus on pouvait noter le mouvement de certains lustres et de certains tableaux accrochés aux murs.




    Caractéristiques des phénomènes


    Déplacement des objets dans des directions inattendues. Parfois, les objets peuvent traverser des cloisons, des murs, des toits sans endommager les surfaces. Le phénomène est parfois accompagné de baisse de température pouvant aller jusqu'à 10 degrés.


    Les objets peuvent dégager une certaine chaleur pouvant aller jusqu’à la brûlure. Cependant, on n’a vu que très peu de cas ou les témoins ont été victimes de blessures de la part d’objets.


    Les phénomènes peuvent durer une heure, comme dix ans. Il semble que la distance soit un facteur important au niveau du déplacement des objets. Bases psychophysiques et énergétiques. Champ psi semblable à un maelström.




    Poltergeist et santé mentale


    Sur les 116 cas répertoriés par Wolman, 49 semblent avoir des désordres importants au niveau de la personnalité. Crises d’épilepsie, désordres de personnalité, périodes dissociatives, etc…


    Il est à noté que la majorité des agents responsables n’ont pas encore atteint l’âge adulte.


    L’adolescence avec ses moments de crises rend l’individu très vulnérable et semble être un moment propice pour les phénomènes RSPK. Des événements stressants, des problèmes familiaux peuvent être à l’origine du déclenchement de la RSPK. Wolman répertorie 38 cas ou l’on retrouve des problèmes familiaux.


    Le Poltergeist serait une activation inconsciente d’une charge agressive symbolisée ; expressions extra-somatiques.



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  • En 1849, la paroisse de Cideville (Seine-Inférieure), fut mise en émoi par les vexations vraiment inouïes dont le curé fut la victime.




    Cet ecclésiastique avait deux élèves qui se destinaient au Sacerdoce.




    Un jour, à une vente publique, un berger nommé Thorel, s'approcha du plus jeune de ces enfants et le toucha.




    Le petit garçon est à peine rentré qu'un ouragan furieux s'abat sur le presbytère. La bourrasque passée des coups de marteau d'une extrême vio­lence se font entendre de tous côtés. Les plafonds, les planchers, les murs eux-mêmes en sont ébranlés.




    Ces bruits sont tels, qu'on les perçoit à une distance de deux kilomètres. Les habitants du village accourent en foule pour voir ce qui se passe. On se livre aux investigations les plus minutieuses, on visite la maison de la cave au grenier sans le moindre résultat.




    Puis, on constate qu'une intelligence préside à ce charivari. L'agent mystérieux exécute, comme l'eût fait un chef d'orchestre, battant la mesure sur un meuble, les airs qu'on lui désigne. Rompant ensuite avec les rythmes cadencés, il met en mouvement le mobilier de la cure.


    Les fauteuils, les chaises et les tables s'agitent violemment et finissent par former une sorte de barricade.




    Les chiens sont lancés au plafond, les pincettes se promènent sur le parquet, les livres, les brosses, les couteaux sortent par une fenêtre et rentrent par une autre.


    Les fers à repasser s'éloignent de la cheminée et le feu les poursuit; les marteaux voltigent dans tous les sens à la façon d'un oiseau échappé de sa cage.


    Les ustensiles d'une toilette quittent l'étagère qu'ils occupent et viennent s'y replacer d'eux-mêmes. Des pupitres très lourds s'entrechoquent et se brisent.


    L'un d'eux se précipite chargé de livres sur un des assistants, et, arrivé près de lui, retombe perpendiculairement à ses pieds.






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    Une dame qui habite dans les environs de Cideville et qui a été maintes fois témoin des faits que nous venons de relater se sent tirée par la pointe de sa mante sans qu'elle puisse voir la main du mystificateur.


    Le maire est traité avec plus de sans façon encore.


    L'agent invisible lui applique sur la cuisse un coup si violent, qu'il pousse malgré lui un cri de douleur.


    « Un autre témoin, propriétaire à quatorze lieues de distance du théâtre des événements, se transporte à Cideville, à l'improviste et sans en avoir prévenu qui que ce soit ; après une nuit passée dans la chambre des enfants, il interroge le bruit mystérieux, le fait battre à tous les coins de l'appartement et pose avec lui toutes les conditions d'un dialogue; un coup, par exemple, voudra dire oui, deux coups, voudront dire non ; puis, le nombre des coups signifiera le nombre de lettres, etc., etc. Cela bien convenu, le témoin se fait frapper toutes celles qui composent ses nom, prénoms et ceux de ses enfants, son âge et le leur, par an, mois, jours, le nom de sa commune, etc. Tout cela se frappe avec tant de justesse et de rapidité, que le témoin se voit obligé lui-même de conjurer l'agent mystérieux d'y apporter plus de lenteur, afin qu'il puisse vérifier tous ses dires, qui se trouvent enfin de la plus complète exacti­tude. Ce témoin, écrit M. de Mirville, c'était nous-même.




    Les beaux esprits qui ont la prétention de tout savoir et de tout expliquer ne manqueront pas de nous dire que le visiteur inspirait lui-même à ce qu'il appelle un agent mystérieux les ripostes qu'il en recevait. Comment l'eût-il fait, puisqu'il ne pouvait en constater l'exactitude qu'après y avoir réfléchi ?




    Un vicaire de Saint-Roch, de passage à Yvetot et absolument inconnu dans le pays, se rend à son tour à Cideville et interroge l'invisible qui répond à toutes ses questions. Or, le questionneur est obligé, de retour à Paris, de consulter les registres de l'état civil pour savoir que son interlocuteur a dit vrai.




    Le plus jeune des deux enfants qui habitent le presbytère a surtout à souffrir des obsessions du mystérieux visiteur. Tantôt il se plaint qu'un poids énorme pèse sur ses épaules, tantôt que sa poitrine est violemment comprimée.


    Il dit, à diverses re­prises, qu'il voit constamment derrière lui l'ombre d'un homme en blouse dont la figure lui est inconnue.




    De son côté, un des ecclésiastiques présents au presbytère aperçoit une colonne grisâtre qui se déplace, serpente, et s'échappe en sifflant par les fentes de la porte ou le trou de la serrure pour se soustraire aux poursuites des assistants.




    Cette persécution eut pour résultat de jeter l'en­fant dans des crises nerveuses qui ne tardèrent pas à devenir inquiétantes.




    Un jour, il voit une main noire descendre par la cheminée. A peine a-t-il signalé sa présence, qu'il reçoit un soufflet dont tout le monde entend le bruit. La joue reste longtemps rouge, tant le coup a été violent.




    Quelques jours après, plusieurs ecclésiastiques se réunissent au presbytère et prient pour obtenir de Dieu la cessation du fléau.


    Voyant que la prière était inefficace, l'un d'eux propose à ses confrères de s'armer de pointes et de poursuivre l'esprit malfaisant.




    Cet escrime d'un nouveau genre dure depuis près de vingt minutes sans que l'on ait ob­tenu le moindre résultat.


    Mais voilà qu'un coup plus rapidement et plus habilement porté fait jaillir une flamme, tandis qu'une fumée intense remplit la salle. Les combattants sont obligés d'ouvrir la fenêtre pour ne pas être asphyxiés.




    Puis, la lutte recommence. Les pointes manoeuvrent vigoureusement. Tout à coup un gémissement se fait entendre accompagné du mot pardon.




    « Pardon, reprennent les pieux duellistes, oui, certes, nous te pardonnons. Nous ferons mieux, nous passerons la nuit en prières, afin que Dieu te pardonne à son tour; mais à une condition, c'est que tu viendras demain, toi-même en personne, demander pardon à cet enfant...Nous pardonnes-tu à tous?... Vous êtes donc plusieurs? Nous sommes cinq, y compris le berger « Nous pardonnons à tous. »




    Revenons en arrière et rappelons un fait qui précéda ces manifestations, fait insignifiant en apparence, mais d'une importance capitale pour l'intelligence de ce récit.




    Un jour du mois de mars 1849, M. le curé de Cideville rencontra chez un de ses paroissiens alors alité un de ces guérisseurs au secret auxquels le peuple des campagnes attribue d'ordinaire un pouvoir mystérieux. Le prêtre qui savait qu'un autre malade s'était mal trouvé du traitement que lui avait fait suivre le docteur ès-sorcellerie, renvoya le personnage sans trop de ménagements.


    Tout se borna là. Mais le guérisseur, ayant continué son métier dans des conditions malheureuses, se vit appréhendé par dame justice et condamné à deux ans de prison. Supposant que le curé n'était pas étranger à sa mésaventure, il proféra des me­naces contre lui.




    Plus tard, le berger Thorel, dont nous avons déjà parlé, répétait à qui voulait l'entendre, que le prêtre pourrait bien se repentir de sa conduite, et qu'il serait, lui Thorel, chargé de venger le sorcier son ami.




    Cela dit, reprenons le récit des événements là où nous l'avons laissé en ouvrant cette parenthèse.


    Le lendemain du soir où l'invisible est blessé, on frappe à la porte du presbytère. Thorel se présente, la tête basse, l'attitude embarrassée. On voit qu'il cherche à dissimuler avec son chapeau un côté de sa figure. Mais il ne parvient pas à cacher entièrement les écorchures saignantes dont son visage est sillonné. En l'apercevant, l'enfant s'écrie : « Voilà l'homme qui me poursuit depuis quinze jours ! »






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    Laissons de nouveau la parole à M. de Mirville :


    « Que voulez-vous, Thorel ? lui dit M. le curé.


    Je viens... Je viens de la part de mon maître chercher le petit orgue que vous avez ici.


    Non, Thorel, non, on n'a pas pu vous donner cet ordre là; encore une fois, ce n'est pas pour cela que vous venez ici ; que voulez-vous ? Mais aupa­ravant, d'où vous viennent ces blessures, qui donc vous les a faites ? Cela ne vous regarde pas ; je ne veux pas le dire. — Dites donc ce que vous voulez faire ; soyez franc, dites que vous venez demander pardon à cet enfant; faites-le donc et mettez-vous à genoux. Eh bien, pardon, dit Thorel, en tombant à genoux. Et tout en demandant pardon, il se traîne et cherche à saisir l'en­fant par sa blouse. Il y parvient, et les témoins constatent qu'à partir de ce moment, les souffrances de l'enfant et les bruits mystérieux redoublent au presbytère de Cideville.




    Le curé engage Thorel à se rendre à la mairie. Celui-ci répond à l'invitation, et là, en présence de plusieurs personnes, il tombe de nouveau à genoux et implore son pardon ; mais, comme il l'avait fait à la cure, il se traîne sur le parquet et s'efforce de toucher l'abbé Tinel, qui lui signifie de n'en rien faire, s'il tient à ne pas être frappé. Thorel dédaigne l'avertissement et continue sa manoeuvre jusqu'au moment où le curé, acculé dans un coin de la salle, met sa menace à exé­cution et lui porte trois coups de canne sur les bras.




    Quelques jours après, le berger se rend au do­micile du maire et prie le magistrat municipal d'intervenir auprès de l'abbé Tinel.




    Priez-le, lui dit-il, d'en rester là de l'affaire.




    Dans une autre circonstance, il lui avoue que tout le mal remonte à G... le guérisseur.




    A sa sortie de prison, poursuit-il, il est venu me voir ; il en veut à M. le curé, parce qu'il l'a empéché de gagner son pain en le renvoyant de chez un ma­lade de la commune qu'il voulait guerir. M. le curé a eu tort, car G... est un homme très instruit, très savant, il peut lutter contre un prêtre. M. le curé voudrait bien qu'on l'instruisit, et s'il voulait payer un café, je le débarrasserais de tout ce qui se passe au presbytère. »




    Si on lui reprochait sa conduite, il répondait : « Je le veux ainsi, moi, cela me plait comme cela. » Quand on lui demandait pourquoi il choisissait pour victime un pauvre enfant innocent, au lieu de s'en prendre au curé ; mais parce que, disait-il, M. le curé a le moyen de vivre avec ces deux en­fants. Il faut donc qu'ils partent. Ils partiront et alors tout sera fini.


    L'aveu était formel.




    Le passé de Thorel venait d'ailleurs à l'appui de ses dires et des accusations dont il était l'objet de la part du curé et de la population.




    Un habitant de Cideville déclara devant le juge de paix que, se promenant un jour avec la soeur de l'abbé Tinel et les deux enfants, au milieu de la plaine, des cailloux lancés par une force invi­sible venaient tomber à leurs pieds sans les toucher.




    Un autre affirmait que, se trouvant aux champs avec Thorel, ce dernier lui disait : « Chaque fois que je frapperai du poing sur ma cabane, tu tomberas. Et je tombais, ajoutait le témoin, en même temps que je sentais quelque chose me serrer la gorge.




    Si lorsque les meubles de la cure dansaient une sarabande infernale, les enfants se mettaient à prier, l'auteur insaisissable de ce vacarme proférait des blasphèmes horribles accompagnés de menaces qu'il mettait souvent à exécution. Un jour, entre autres, un des élèves sentit deux mains lui prendre la tête et la retourner avec une telle violence, que les personnes présentes se hâtèrent de lui porter secours.




    L'archevêque de Rouen, voulant mettre un terme à cet état de choses, pria le curé de renvoyer les enfants à leurs familles. A partir de ce moment tout rentra dans le calme.


    Thorel intenta un procès en diffamation à l'abbé Tinel. L'affaire fut portée devant le juge de paix d'Yvetot.




    Les témoins cités à la requête du curé attestèrent sous la foi du serment la réalité des faits que nous venons de raconter et de plusieurs autres non moins étranges. Le berger fut débouté de son action et condamné aux frais.




    Extrait de "La sorcellerie " par L. Bertrand - 1899 - Source B.N.F.







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    En résumé


    Vers la fin de 1850, des coups frappés se firent entendre, et même en rythme lorsque de la musique était jouée, dans le presbytère de Cideville en Normandie.


    Ce phénomène "musical" relativement classique se distinguait néanmoins par un impressionnant arsenal de phénomènes d'accompagnement:

    pluie de pierres

    outils se déplaçant seuls

    table en lévitation

    chaises s'agitant

    couteaux volant dans les airs

    pupitres s'ouvrant et se fermant

    oreillers et couvertures arrachés des lits.




    En appliquant un code spécifique, différents témoins obtinrent des réponses à leurs questions.


    Le père Tinel, chez qui les étranges phénomènes étaient apparus, décida alors de corriger un certain Félix Thorel qui était pour lui l'incarnation du mal et qu'il tenait pour responsable des étranges manifestations.


    Thorel porta plainte contre le prêtre et l'affaire fut portée devant le tribunal.


    Les nombreux témoignages consignés dans les minutes du procès constituent de précieuses archives pour la science.


    Quelque 34 témoins furent en effet entendus.




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  • Aucune explication sérieuse explique ces abandons de navires. Avec les navires, l’absence totale de trace de violence exclut l’hypothèse d’actes de piraterie ou de mutinerie. Il est impossible de relater toutes les disparitions tant ces énigmes sont nombreuses y compris à notre époque. Des navires et autres engins modernes connaissent encore ce type d’aventure.


    LE MARY CELESTE


    Le 5 décembre 1872, le cargo anglais Dei Gratia repère un brick qui dérive dans l’Atlantique Nord à mi-chemin entre les Açores et le Portugal. Le voilier zigzague curieusement et presque toutes ses voiles sont carguées. Le capitaine du cargo, David Moorehouse, s’aperçoit avec stupeur qu’il s’agit de la Mary Celeste. Fait du hasard, il a dîné à bord du voilier avec son capitaine, Benjamin Spooner Briggs, un mois plus tôt.


    Quelques jours après, la Mary Celeste appareillait pour Gênes avec une cargaison de 1 700 tonneaux d’alcool pur. A bord, en plus des sept hommes d’équipage, se trouvaient la femme du capitaine et sa petite-fille de deux ans. Le bâtiment ne répondant à aucun signal, Morehouse se décide à monter à bord avec trois hommes. Le vaisseau se révèle désert et sans canot de sauvetage. Dans les cales, ils découvrent la cargaison d’alcool et des vivres pour au moins six mois.


    Morehouse s’étonne du désordre indescriptible qui règne dans la cabine du capitaine. Dans le carré des matelots, par contre, tout est en ordre. Le compas et les autres instruments de navigation sont cassés ou ont disparu. La dernière mention portée au journal de bord date du 25 novembre. Apparemment, le navire dérive depuis près de deux semaines et a parcouru environ 500 milles.


    Les avaries ne sont pourtant pas très importantes. Deux des écoutilles se sont rompues et un mètre d’eau environ a envahi la cale. Un tonneau d’alcool a été éventré et une entaille, faite à la hache, apparaît dans l’une des rambardes. Fait étrange, les six fenêtres des logements de l’arrière sont condamnées par de la toile et des planches. Un seul indice plaide en faveur d’un acte criminel : une épée rouillée est découverte sous une couchette.


    David Moorehouse ramène la Mary Celeste à Gibraltar pour être examinée par les autorités judiciaires. Les résultats sont décevants. Il n’y a que cette entaille longue de deux mètres juste au dessus de la ligne de flottaison qui peut faire penser à un acte criminel. Des traces rougeâtres relevées sur le bastingage sont analysées mais ce n’est que de la rouille. Malgré tout, faute d’explication suffisante, c’est l’hypothèse du crime qui est retenue. Les autorités décident que l’équipage s’est livré à une beuverie puis a assassiné le capitaine et sa famille avant de s’enfuir dans des canots. Mais les armateurs indiquent que le capitaine était très apprécié de ses hommes et que nul autoritarisme exagéré ne régnait sur son vaisseau. De plus, l’alcool contenu dans les tonneaux n’était pas buvable. Elle aurait provoqué des brûlures d’estomac et risquait même de rendre aveugle. Enfin, quand des hommes se mutinent, ils ne partent pas en laissant leur cantine et tous leurs effets personnels.


    Le mystère de la Mary Celeste fait le tour du monde. On finit par renoncer à éclaircir cette énigme et le vaisseau est vendu. La légende n’a fait que s’embellir de détails ajoutés après coup. Par exemple, c’est le cas de la prétendue découverte dans la cuisine du vaisseau d’un poulet encore chaud et de tasses de thé fumantes. La Mary Celeste s’est échoué une dernière fois en 1885 en emportant avec elle son secret.





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    LE HOLLANDAIS VOLANT


    La légende du vaisseau fantôme, commandé par un "Hollandais volant" date du XVIIème siècle mais varie selon les versions. Dans l'une d'elles, le maître du navire le Hollandais est un capitaine nommé Barent Fokke qui vit à Amsterdam vers les années 1650. Ses colères et ses orgies sont célèbres auprès des marins, et son vaisseau est le plus rapide de tous il va d'Amsterdam à Batavia en trois mois, exploit exceptionnel à l'époque, qui ne peut s'expliquer, pour beaucoup, que par l'intervention du diable. Aussi, lorsqu'il disparaît en mer, une tradition naît qui lui fait parcourir à jamais les océans, maudit pour avoir passé un pacte semblable à celui de Faust. Dans d'autres versions, le triste héros de la légende est le capitaine Van der Staten, qui subit la même punition pour avoir appareillé un vendredi saint.


    Mais la légende la plus répandue met en scène le capitaine Van der Decken. À bord de son vaisseau, celui-ci fait route depuis la Hollande vers les Indes orientales lorsqu'une violente tempête éclate au large du cap de Bonne-espérance. Follement confiant dans ses talents de navigateur, et en dépit des supplications de son équipage, Van der Decken défie alors avec arrogance le Tout-Puissant de le faire sombrer. Il échappe au naufrage, mais, en châtiment de son blasphème, il est condamné à naviguer éternellement sur les mers. Une histoire est colportée oralement pendant des siècles avant que le poète allemand Heinrich Heine, en 1830, n'en tire une oeuvre écrite ; le marin errant y est délivré de sa malédiction par l'amour d'un femme qui accepte de mourir pour lui permettre de trouver le repos. Et son navire aux voiles rouges est enfin englouti par les flots. Richard Wagner s'inspire du texte de cette histoire pour composer, en 1843, son opéra le Vaisseau fantôme.


    Quelques réapparitions du Hollandais volant :


    Le jeune duc d'York, le futur roi George V d'Angleterre, alors âgé de seize ans, navigue comme enseigne de la Royal Navy à bord de la Bacchante, qui fait le tour du monde. Dans la nuit du 11 juillet 1881, alors que le navire se trouve au large des côtes australiennes, une lueur brille brusquement dans l'obscurité et, à 200 mètres environ, surgit un brick entouré d'un sinistre halo rougeâtre, qui vient couper la route au bateau. Les mâts et les vergues du vaisseau fantôme se détachent nettement sur cette étrange lumière phosphorescente. L'enseigne de quart est envoyé immédiatement sur le gaillard d'avant, mais le navire a déjà mystérieusement disparu dans la nuit claire et il n'aperçoit rien. Le duc d'York ainsi que douze autres membres de l'équipage sont les spectateurs incrédules de ce phénomène étrange. Le futur George V est persuadé avoir vu le célèbre Hollandais volant, même si le type du navire ne correspond pas vraiment. La nuit même, dit-on, le marin qui a aperçu le premier le navire spectral tombe d'un des mâts et se tue. Quelques semaines plus tard, l'amiral de la flotte décède. Pour certains, ces événements dramatiques seraient liés à la vision étrange qu'aucune explication rationnelle n'est parvenue jusqu'à présent à éclaircir.


    La Naccante indique dans son journal de bord avoir rencontré le Hollandais volant : "A quatre heures du matin , un brick passa sur notre avant, à environ trois cents mètres, le cap vers nous. Une étrange lumière rouge éclairait le mât, le pont et les voiles. L'homme de bossoir le signala sur l'avant, ainsi que le lieutenant de quart. Un élève offtcier fut envoyé dans la vigie, Mais il ne vit cette fois aucune trace, aucune signe d'un navire réel. reize personnes ont été témoins de l'apparition. a nuit était claire et la mer calme. e Tourmaline et le Cléopâtre qui naviguaient par tribord avant nous demandèrent par signaux si nous avions vu l'étrange lumière rouge."


    - En 1887, l'équipage du navire américain Orion, faisant route de San Francisco à la Chine, remarque un trois-mâts ancien éclairé par une étrange lumière blanche. Un instant, le vaisseau se rapproche, puis il disparaît soudainement au moment où les rayons de la lune sont voilés par des nuages. Il a toute sa toile, alors que souffle un vent très violent.


    - En 1939, un bateau semblable est aperçu de la terre ferme par une centaine de personnes se trouvant sur une plage d'Afrique du Sud, au Sud-est du Cap. Le navire, qui a toujours toutes ses voiles dehors, traverse la mer à vive allure bien qu'il n'y ait pas la moindre brise. Il s'évanouit mystérieusement en un instant.


    - En 1942, à Mouille Point, aux abords du Cap, on voit une antique silhouette s'approchant de la baie de la Table. Puis, ses apparitions se raréfient. L'ère des navires modernes semble lui avoir porté un coup fatal, comme à un certain romantisme de la mer.





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    LE BOMBARDIER LANCASTER


    En 2004 un bombardier du type Lancaster de la 2ème guerre mondiale avait déjà été vu par des témoins et détecté au radar en 2004, puis à nouveau en 2006, aperçu à Bankfield (Grande Bretagne). De nombreux témoins ont vu ce bombardier de la deuxième guerre mondiale voler à basse altitude au-dessus d'une piste d'atterrissage de secours utilisée pendant la guerre. L'avion ne produisait aucun bruit (alors que le Lancaster fait un bruit infernal) et les témoins affirment qu'il ne s’agissait pas d'un avion de transport moderne.


    Le Lancaster est plus célèbre quadrimoteur de l'armée Britanique qui vola de 1941 à 1953. Parmi les témoins, un homme de 71 ans affirme bien connaître les avions et avoir reconnu le Lancaster.


    On a montré aux témoins des images d'avions modernes de RAF de type "Hercules" et ils ont confirmé que ce n'était pas ce qu'ils avaient vu, faisant bien la différence avec le double aileron arrière du Lancasters et celui de l'Hercule. De plus la RAF n'a pas "droit de survol" à basse altitude au dessus des lieux denses d'habitations comme Barnoldswick. On a suggéré que ce pouvait être un vol de Lancaster organisé pour célébrer un événement commémoratif, mais il n'y a qu'un seul Lancaster en état de navigabilité en Europe et il n'a pas bougé de sa base de Coningsby dans la région de Lincolnshire.


    Rolls-Royce a confirmé que sa compagnie possédait encore des Spitfires (avions de type "chasseurs"), mais ils sont beaucoup plus petits que le Lancaster et leurs derniers vols dans la région de Barnoldswick date d'octobre 2004. Ce que les témoins ont vu ressemblait à une scène de la deuxième Guerre mondiale et un "ancien" s'est rappelé qu'un Lancaster avait fait ici un atterrissage d'urgence pendant la dernière guerre. M.Cooper qui enquête sur le dossier semble croire que les témoins sont tous "équilibrés" et crédibles; il invite n'importe qui, pouvant apporter toute autre lumière sur le mystère à le contacter.





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    AUTRES VAISSEAUX FANTÔMES


    - En 1812 le deux-mâts carré le Yarmouth a probablement fait naufrage alors qu'il revenait des Caraïbes. Il a tout simplement «disparu». Un an plus tard, la légende veut que le navire entra au port de Yarmouth et jeta l'ancre sur le quai. Les gens de cette ville furent stupéfaits par cette apparition du deux-mâts qu'ils croyaient perdu en mer. Quelques hommes de Yarmouth allèrent à la rencontre du bateau, mais le deux-mâts disparaissait aussitôt qu'on s'en approchait trop. On dit que cette apparition fantomatique du Yarmouth avait lieu à la même période chaque année, et qu'elle devenait de plus en plus faible, jusqu'en 1872, puis elle s'arrêta complètement.


    - En 1840, le navire français, la Rosalie est retrouvé errant sur les flots, voiles hissées et cargaison intacte mais déserté par ses marins.


    - En 1850, le Seabird est découvert près du port de Newport avec seulement un chien à bord. Le café est encore chaud sur les fourneaux et les instruments de bord fonctionnent. Une odeur de tabac flotte même dans les cabines.


    - En 1883, la goélette J.C Cousins s’échoue sur la côte américaine. Il n’y a personne sur le navire. Dans la cuisine, le poêle est encore tiède et la table mise. Le journal de bord qui date du matin même ne mentionne rien de particulier.


    - En 1940, dans le golfe du Mexique, le yacht Gloria Colite est retrouvé en pleine mer alors que le temps est beau. L’équipage n’est plus là et les soutes sont pleines de vivre.


    - En 1953, le Holchu est découvert dérivant entre les îles Nicobar et Andaman. Un repas semblait être sur le point d’être servi ; la radio fonctionnait et pourtant l’équipage s’est envolé sans envoyer le moindre SOS.


    - En 2006, le 10 janvier, la Chine avait signalé que six pilotes Chinois de l'Armée de l'Air avaient été témoin d'un vol non identifié d'avions "anachroniques" volant vers eux. La collision auvait été évitée de justesse car les systèmes de radar du contrôle de trafic aérien n'avait pas pu observer et/ou enregistrer la formation en question. M.Feng et ses équipiers pilotes étaient au-dessus de la mer de Bohai vers 21h00 (21.000 pieds) quand soudain une grande formation "non identifiée" d'avions anciens avaient surgit juste sur leur gauche à seulement 30 miles. M.Feng avait appelé immédiatement le centre de commande du trafic aérien qui avait répondu qu'aucun avion ne volait dans le secteur à ce moment-là. Quelques experts Chinois ont pensé que les équipages avaient été victimes d'une illusion...



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