• Extraterrestres

    HISTOIRE OFFICIELLE


    L'histoire officielle des OVNI commence en 1947, avec Kenneth Arnold qui déclare avoir vu une formation de 9 "Soucoupes volantes" le 24 juin.


    Plus que l'observation elle-même, c'est l'expression médiatique des "flying saucers", les "soucoupes volantes" qui va faire le tour du monde.


    Pourtant, cette observation n'est qu'une des milliers rapportés en 1947, au-dessus des Etats-Unis, qui connait alors sa première grande vague d'observations.


    En fait, après la vague "d'Airships" du début du siècle, les autorités militaires se préoccupent des OVNI, dès 1933.




    Voici quelques-uns des faits les plus marquants de la jeune histoire de l'ufologie :


    • En 1933, en Suède, l'Etat-major confirme à la presse la présence d'avions fantômes, des aéronefs gris sans marques, silencieux et volant par tous les temps, même en pleine tempête et équipés d'un puissant projecteur. Les suédois seront les premiers à créer un bureau d'enquête sur ces "avions fantômes". Cette vague durera de 1932 à 1937.


    • Durant la seconde guerre mondiale, les pilotes observent des "Foo Fighters" pour les alliés, des "Kraut Bolids" pour les allemands. Les uns et les autres pensent être confrontés à une arme secrète des ennemis. Les "chasseurs fous", des boules de lumière de diverses couleurs, furent observés en Europe et en Asie, particulièrement entre 1943 et 1945.


    • Le 25 février 1942, les batteries anti-aériennes des environs de Los Angeles ouvrent le feu pendant 2 heures sur des Objets Volants Non Identifiés de deux types différents en provenance du Pacifique. De petits objets rouges ou métalliques volent en formations et zigzaguent pour éviter les salves de tirs et les projecteurs, leur vitesse allant jusqu'à plus de 20 000 km/h. L'autre type est un grand objet qui reste un moment stationnaire et qui s'échappe lorsqu'il est pris dans le faisceau des projecteurs et les tirs d'obus, qui semblent l'atteindre sans l'affecter, sa vitesse reste constante à 100 km/h.


    • En juillet 1946, après la seconde guerre mondiale, les objets volants les plus exceptionnels sont les fusées V2 allemandes qui ont impressionné le monde entier.




    On appelle donc "Fusées Fantômes" les aéronefs inconnus, sans ailes, vus (Le Figaro du 5 septembre annonce plus de 2 000 observations) et détectés par les radars militaires de l'époque, en Suède, en Finlande, puis en septembre, en Belgique, en France, au Portugal et finalement en Grèce et en Turquie.


    Ces "Fusées Fantômes" ont la capacité surprenante pour une fusée de voler longtemps à l'horizontale et d'effectuer des manœuvres brutales, des piqués puis des montées en chandelle.


    Elles sont également capables de voler très lentement et leur vitesse maximale mesurée au radar est de 800 km/h.


    Un général américain, James Doolittle, et un général britannique, David Sarhnoff, sont dépêchés sur place pour enquêter. Dans leur rapport du 23 août, ils rejettent l'hypothèse d'une origine soviétique.


    A cette occasion, les suédois, craignant pour la sécurité nationale, forment un "Comité Fusées Fantômes" qui publie ses conclusions après la fin de la "vague", le premier décembre :


    "...Même si le corps principal des témoignages peut se rattacher à l'observation de phénomènes célestes, le comité ne peut pas considérer que certains des faits exposés relèvent seulement de l'imagination populaire".




    • En 1947, les Etats-Unis connaissent une grande vague d'observations d'OVNI du mois de juin au mois d'août.


    • Le 27 juin, Kenneth Arnold, un homme d'affaires de 32 ans, survole les montagnes Rocheuses, près du mont Rainier, dans son avion privé à la recherche d'une épave.


    • Vers 15 heures, il aperçoit une formation de 9 disques à l'apparence métallique, d'une quinzaine de mètres de diamètre. Ils se déplacent comme par ricochets et leur vitesse sera estimée à environ 2 000 km/h, impossible pour les avions de l'époque.


    • Le 2 juillet, il y aurait eu un ou 2) crash, près de Roswell (Nouveau Mexique).




    Sur l'un des sites, il ne reste que des débris, sur l'autre (?), un vaisseau et des corps d'extraterrestres auraient été récupérés.


    • Le 8 juillet, le "Roswell Herald" publie le communiqué de presse émanant du commandement de la base confirmant la récupération d'un OVNI. Ce communiqué sera démenti quelques heures plus tard par l'Etat-Major au Texas.


    • Le 23 septembre, l'Air Material Command, sous les ordres du Général Twining, conclut à la réalité des "Disques volants" dans son rapport sur leurs performances.




    Il recommande la mise en place d'une commission permanente pour les étudier.


    • Le 30 décembre, l'U.S. Air Force prend cette décision qui aboutira à la création du Projet SIGN le 22 janvier 1948.


    • En 1948, le 7 janvier, le capitaine Thomas Mantell périt aux commandes de son F-51 Mustang alors qu'il poursuivait un énorme disque d'aspect métallique, observé et signalé par les contrôleurs de la tour de Goldman Field dans le Kentucky.


    • Le 12 février, le Général C.P. Cabell transmet un mémorandum au quartier général de l'U.S. Air Force demandant la mise en alerte de tous les appareils en vue de collecter des données exploitables sur les OVNI.


    • Le 25 mars, un crash aurait eu lieu près d'Aztec dans le nord-ouest du Nouveau-Mexique.


    • Le 25 juillet, le premier airprox officiel est déposé par un équipage d'Eastern Airlines suite au risque de collision avec un OVNI en forme de cigare, d'une trentaine de mètres de long, près de Montgomery en Alabama.


    • Le 5 août, le rapport de l'Air Technical Intelligence Center, "l'Estimate of the Situation" qui conclut à l'existence réelle des "soucoupes volantes" dont l'origine est probablement extraterrestre, est rejeté sans explication par le général Vandenberg qui ordonne la destruction de tous les exemplaires existants.


    • Le 1er octobre, le lieutenant pilote George Gorman, aux commandes de son F-51 Mustang, fait un combat tournoyant avec un OVNI près de Fargo dans le Dakota du nord.


    • De juin 1948 à février 1949, de nombreux témoins, parmi lesquels plusieurs pilotes, purent observer des boules de feu vert-fluo au-dessus du Nouveau-Mexique.




    L'US Air Force fit appel à plusieurs scientifiques pour élucider le problème dont les Dr Lincoln La Paz, spécialiste des météorites, Joseph Kaplan, expert en physique atmosphérique, Edward Teller, l'un des pères de la bombe H.


    Mais le Projet Twinkle fut un échec, car les experts ne purent aboutir à une conclusion certaine, à cause du manque de personnel et du refus de l'armée de fournir les matériels demandés pour cette étude, dont 3 caméras qui auraient pu fournir des données intéressantes par triangulation.


    • En 1949, le 31 janvier, Edgar Hoover, directeur du F.B.I., reçoit un mémo de l'un de ses agents dans lequel on peut lire :




    "Au cours d'une récente conférence hebdomadaire sur le contre-espionnage rassemblant des officiers du G-2, ( Service de renseignements de l'US Army ), de l'O.N.I., ( Office of Naval Intelligence ), de l'O.S.I., ( Office of Scientifique Intelligence, C.I.A. ), le sujet des aéronefs non-identifiés, connus sous le nom de "soucoupes volantes", a été abordé. Le sujet est considéré comme TOP SECRET par les officiers de renseignements de l'Armée et de l'Air Force."


    • Le 20 août, le célèbre astronome Clyde Tombaugh, découvreur de Pluton, observe lui-même plusieurs OVNI près de la base de White Sands.


    • En 1950, le Projet SIGN est transformé en Projet GRUDGE.


    • En 1951, le Projet Grudge devient le Project Bluebook dirigé par le capitaine Edward Ruppelt.



    • En 1952, le monde entier observe la plus grande vague d'OVNI à ce jour. Le point culminant de cette vague se produit en juillet avec l'observation d'OVNI au-dessus de Washington D.C. également repérés par les radars. La chasse sera envoyée plusieurs fois mais aucun appareil ne sera intercepté et on expliquera que les échos radar étaient dus à des inversions de température.


    • En 1953, l'US Air Force promulgue :


    - Une réglementation qui régit le traitement de toute information concernant les OVNI et sa transmission jusqu'au Pentagone, l'USAF 200-5.

    - Une réglementation toujours en vigueur qui condamne la divulgation publique de renseignements sur les OVNI à une peine de 10 ans d'emprisonnement et 10 000 dollars d'amende, la "JANAP 146", qui est une extension de la loi "US Communication Act" sur la divulgation non autorisée d'informations relatives à la défense.




    • Le 23 novembre, un F-89C Scorpion piloté par le Lt Felix Moncla Jr et son opérateur radar R. Wilson disparaît lors de la poursuite d'un OVNI au-dessus du lac Supérieur. Aucun débris, aucune trace ne sera retrouvée malgré les intenses recherches après que les deux échos radar se soient confondus puis aient disparu des écrans.


    • En 1954, le monde connaît une nouvelle vague d'observations en France, avec en particulier le cas de Valensole, et aux Etats-Unis (en juin l'US Air Force recevra plus de 700 rapports par semaine).


    • En mars, le Projet Bluebook est réorganisé par le Capitaine Charles Hardin.


    • En 1955, peu d'observations sont rapportées mais en août, les radars du Strategic Air Command suivent le "combat de chien" entre un OVNI et 3 avions de chasse.


    • En 1956, création du National Investigation Committee on Aerial Phenomenon, le NICAP qui restera longtemps la plus importante organisation privée de recherche sur les OVNI.


    • En 1957, grande vague d'observations en Amérique du sud, notamment au Brésil où, à Ubatuba, un engin aurait explosé et de nombreux débris auraient été retrouvés, puis au Fort d'Itaipu des soldats souffriront de brûlures après l'observation de près d'un OVNI stationnaire.


    • Le 17 juillet, un avion de reconnaissance bardé d'équipements électroniques de contre-mesures, un RB-47H avec un équipage de 6 hommes, sera suivi par un OVNI du Golfe du Mexique jusqu'en Oklahoma.


    • En 1958, un vaisseau de la Marine Brésilienne prendra des photos d'un OVNI près de l'île de Trinidad.


    • En 1959, nouvelle vague en Nouvelle Guinée.


    • Le 17 août, à Uberlandia, au Brésil, de nombreux témoins constatent une panne électrique générale avec le passage d'un OVNI. Le courant est rétabli après le départ de l'engin.


    • En 1960, l'astronome Franck Drake lance le Projet OZMA de recherche d'intelligence extraterrestre, (l'ancêtre du Projet SETI).


    • En 1961, premier cas troublant d'abduction présumée du couple Barney et Betty Hill dans le New Hampshire.


    • En 1962, vague d'observations en Argentine de mai à août.


    • En 1963, vague d'observations au Portugal, au Brésil, en Argentine et en Afrique du Sud de septembre à décembre.


    • En 1964, le 24 avril, à Socorro (Nouveau Mexique) plusieurs policiers observent un OVNI posé dans un ravin et leurs occupants de petite taille.


    • En 1965, plusieurs vagues d'observations de l'Antarctique en juin au Chili début juillet, et entre le Dakota du sud et le Mexique en août. Cette année-là, il y aura également de nombreuses pannes électriques en Amérique du Nord, souvent accompagnées d'observations d'OVNI de septembre à décembre. Ces pannes seront attribuées à des éruptions solaires particulièrement importantes.


    • En 1966, le 5 avril, l'université du Colorado se voit confier la responsabilité du "COLORADO PROJECT" sous la responsabilité du Pr Edward Condon. De nombreuses critiques, au sein même des enquêteurs, mettront en doute l'intégrité de cette étude.


    • En 1967, plusieurs bases U.S. de missiles stratégiques sont survolées par des OVNI.


    • En 1968, le rapport CONDON est remis au secrétaire de l'U.S. Air Force, Harold Brown. James Mc Donald et Carl Sagan, membres du "House Committee on Science and Astronautics" émettent des réserves sur ce rapport.


    • En 1969, parution publique du rapport CONDON qui conclut qu'il n'y a pas assez de preuves scientifiques pour justifier l'étude des OVNI, ceci clôt le Projet BLUEBOOK.


    • En 1971, le 4 septembre, au cours d'une mission de cartographie aérienne, un avion photographie par hasard un OVNI qui émerge de la surface du lac de Cote au Costa Rica.


    • En 1973, grande vague mondiale d'observations en août, puis particulièrement en France en décembre.


    • En 1974, début de la médiatisation des mutilations inexpliquées de bovins dans les états du sud-ouest des Etats-Unis. Conséquences du "Watergate", deux lois, la "Freedom of Information Act" et la "Privacy Act" sont amendées et permettent l'obtention de documents déclassifiés sur les OVNI.


    • En 1975, plusieurs bases U.S. de missiles stratégiques sont survolées par des OVNI à partir du mois d'août.


    • En 1976 :


    - Le 19 septembre, à Téhéran, des chasseurs F-4 Phantôme sont victimes de pannes instrumentales momentanées lorsqu'ils tentent d'intercepter des OVNI.


    - Le 20 octobre, le gouvernement espagnol remet un dossier de 12 observations militaires à l'ufologue Juan José Benitez.




    • En 1977, à partir de novembre et jusqu'au mois de février 1978, le "Naval Research Laboratory" enquête sur des explosions aériennes inexpliquées. En France, création du Groupe d'Etude des Phénomènes Aérospatiaux Non-identifiés au sein du CNES.


    • En 1978, le 21 octobre, disparition au large de Melbourne (Australie) de Frederick Valentich aux commandes de son Cessna 182 après avoir signalé au contrôle aérien l'approche d'un OVNI d'aspect métallique. Les recherches sont restées infructueuses.


    • En 1979, des pannes générales électriques se produisent en Chine, avec la présence simultanée d'OVNI émettant des "nappes lumineuses".


    • En 1980, nouvelle vague d'observations en Chine et, en fin d'année en Angleterre, notamment les 28 et 29 décembre, près de la base américaine de Bentwaters dans la forêt de Rendlesham.


    • En 1981, le Ministère de la défense de Grande-Bretagne reconnaît avoir reçu plus de 600 observations d'OVNI. Le 8 janvier, à Trans-En-Provence, dans le Var, M. Renato Nicolai aperçoit un OVNI qui laisse une trace au sol. Les prélèvements effectués mettront en évidence d'importantes perturbations biochimiques sur la végétation.


    • En 1982, de nombreuses observations ont lieu dans les états de New-York et du Connecticut.


    • En 1983, en mars, de nombreux témoins aperçoivent des OVNI gigantesques dans le nord-est des Etats-Unis, ils seront vus de temps à autre jusqu'en 1987.


    • En 1984, début des "apparitions" de documents relatifs au MJ-12.


    • En 1986, le 17 novembre, le vol 1628 de la "Japan Airlines" est suivi par un OVNI au-dessus de l'Alaska.


    • En 1987, vague d'observations à Gulf Breeze en Floride.


    • En 1989, début de la vague belge, la Gendarmerie Royale et l'Armée de l'Air collaboreront avec la SOBEPS.


    • En 1990, la vague belge se poursuit avec, dans la nuit du 30 mars, l'intervention de 2 F-16 Falcon. En avril sera prise l'une des meilleures photos de la vague belge, celle dite du "Petit Rechain".


    • En 1991, en juillet, le Mexique connaît une vague très importante d'observations. Des OVNI seront filmés de différents endroits par de nombreux témoins.


    • En 1992 jusqu'en 1994, des OVNI triangulaires seront aperçus au Japon, à Porto-Rico et en Russie


    • En 1994 :



    - Il y aura plus de 124 observations en Argentine.


    - La vague belge se déplace en Grande-Bretagne.


    - En février, le représentant du Nouveau Mexique au Congrès, Steven Shiff relance l'affaire du crash de Roswell, le GAO commence son enquête.


    - En juillet, l'U.S. Air Force déclare que les débris récupérés à Roswell étaient ceux d'un train de ballons MOGUL.




    • En 1995, d'autres OVNI géants sont aperçus dans le Montana, quelquefois accompagnés par des disques.


    - En juillet le GAO publie son rapport sur Roswell.
    - Le 31 juillet, un boeing 727 de la compagnie Aérolineas Argentinas est contraint de remettre les gaz à cause d'un OVNI qui, par ailleurs, a provoqué une coupure générale d'électricité à Bariloche, en Argentine.




    • En 1996, des extraterrestres auraient été capturés à Varghina au Brésil au mois de janvier.


    • En 1997, vague d'observations près de Phoenix en Arizona et dans le Norfolk en Angleterre. Le colonel Corso, qui a passé toute sa vie dans les services secrets, publie son livre "The day after Roswell" dans lequel il explique comment la technologie extraterrestre récupérée lors du crash de Roswell a été transférée dans l'industrie militaire nord-américaine dans les années 60.


    • En 1998, en juin, se tient la conférence de Pocantico qui concluera à la validité de l'étude des OVNI.


    • En 1999, en décembre, la Chine connaît sa plus grande vague d'observations qui amènera les autorités à autoriser la formation de groupes d'ufologues.


    • En juillet, en France, une association d'anciens hauts fonctionnaires et militaires publie le rapport COMETA





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    GUIDE DES OVNI


    QUE SONT LES OVNI ?


    Les OVNI sont des Objets Volants Non Identifiés, mais personne ne sait ce qu'ils sont vraiment. De nombreux chercheurs (appelés Ufologues), ont des théories sur ce que peuvent être les OVNI, mais comme personne ne peut examiner un OVNI dans un laboratoire, toutes ces idées ne sont sue des devinettes intellectuelles. Nous pouvons cependant tenter une définition des OVNI que vous pouvez trouver utiles pour étudier le sujet : Un OVNI est l'observation rapportée d'un objet ou d'une lumière observée dans le ciel ou au sol, dont l'aspect, la trajectoire, les actions, les mouvements, les lumières et les couleurs n'ont pas d'explication logique, conventionnelle ou naturelle, et qui ne peuvent pas être expliqués, non seulement par le témoin originel, mais aussi par les scientifiques ou les experts techniques qui essaient de faire une identification rationnelle après avoir examiné les preuves.


    A QUOI RESSEMBLENT LES OVNI ?


    Les OVNI sont de toutes tailles et formes. Certains d'entre eux ne sont que de petites tâches de lumière qui bougent la nuit, dans le ciel, de manière étrange. Ils sont appelés Lumières Nocturnes (LN) et constituent le groupe d'OVNI le plus couramment observé. Les Lumières Nocturnes ne sont pas très intéressantes, car le témoin ne voit que peu de détails, et sans détails, les ufologues ne peuvent rien apprendre de nouveau. Les objets éloignés, souvent en forme de disque ou de soucoupe, constituent les Lumières Diurnes (LD). Quand les OVNI s'approchent beaucoup plus près des témoins (dans une zone de 50 m), les observations sont appelées Rencontres Rapprochées. Il y a 3 types de Rencontres Rapprochées, appelées RR1, RR2, et RR3 (les enlèvements sont parfois appelées RR4). Au cours des Rencontres Rapprochées, les témoins disent avoir vu des OVNI en sorme de soucoupes, de boomerang, de sphères, de diamants, de cigares, de triangles, ou d'autres formes étranges. Ils ont des lumières vives, parfois rouges ou blanches, ou d'autre fois de multiples couleurs.


    A QUELLE VITESSE SE DEPLACENT-ILS ?


    La vitesse des OVNI varie énormément selon les observations. Des OVNI peuvent planer silencieusement très longtemps, puis s'éloigner instantanément à grande vitesse (certainement beaucoup plus vite que n'importe quel avion conventionnel). Il s peuvent se déplacer lentement dans le ciel, ou exécuter des man¦uvres incroyables, comme des virages à angle droit, à des vitesses ahurissantes. Nous ne connaissons pas le mode de propulsion des OVNI, ou qu'est-ce qui leur confère une telle man¦uvrabilité.


    PUIS-JE LES PHOTOGRAPHIER ?


    Il y a peu de photos d'OVNI indubitablement authentiques. De nombreuses soi-disant photos d'OVNI sont en fait des phénomènes naturels (comme des nuages de formes étranges), ou sont dues à des fuites de lumière dans les appareils photo, ou encore des défauts apparus lors du développement du film. Certaines photos ne sont que des tromperies délibérées perpétrées par des gens qui veulent vous faire croire qu'ils ont vu des OVNI pour toutes sortes de raisons, telles que la célébrité, l'argent, ou la propagation d'idées philosophiques ou religieuses. Quelques unes des meilleures photographies d'OVNI ont été prises à McMinville, dans l'Oregon, en 1950, à Rouen, en France, en 1954, au large des côtes du Brésil, en 1958, et à Lubbock, au Texas, en 1951. Il existe également des enregistrements vidéo d'OVNI prises dans la vallée de l'Hudson à New York, et en Belgique. Ces images peuvent être vues dans de nombreux livres sur les OVNI disponibles dans votre bibliothèque locale. Les photographies ne constituent pas une preuve suffisante de l'existence des OVNI, car elles peuvent être facilement truquées.


    COMMENT RECONNAÎTRE UN FAUX EN MATIERE D'OVNI ?


    Bien qu'il y ait eu, ces dernières 40 ans, des dizaines de milliers de rapport OVNI, moins de 1% ont été établis comme étant des faux. Pour la plupart, des enquêteurs compétents ont su reconnaître les faux presque immédiatement. Le type de mystification le plus commun est celui qui consiste à attacher une bougie ou une fusée éclairante à un ballon gonflé à l'hélium. En de rares occasions, des mystification plus élaborées ont eu lieu, nécessitant des enquêtes plus approfondies.


    Pour éliminer les possibilités de mystification, on doit examiner la crédibilité des témoins, les détails du rapport, et toute preuve physique, surtout les photos. La validité et la fiabilité de ces éléments doit être certifiée avant qu'un enquêteur puisse avoir confiance dans les faits. La fiabilité d'un témoin peut se vérifier en interrogeant les voisins, les amis, les parents, les collègues de travail et autres associés. En particulier, un enquêteur cherche à déterminer si la personne a la réputation d'être responsable et sincère, ou celle d'être un farceur, blagueur ou mystificateur.


    Les enquêteurs examinent aussi le rapport OVNI pour déterminer s'il existe des affirmations incroyables, ou de patentes incohérences. Par exemple, existe t il dans le rapport des éléments propre à la science-fiction ou si inhabituels qu'ils n'apparaissent pas dans d'autres rapports OVNI . Le témoin affirme t il avoir vu l'OVNI plusieurs fois, bien qu'on ne puisse pas trouver d'autres témoins ? Le témoin affirme t il que d'importantes preuves ont mystérieusement disparu ou ont été prises par des " agents du gouvernement ". Bien que de tels faits ne puissent pas prouver qu'il y ait eu mystification, ils peuvent semer le doute sue le rapport et doivent être pris en compte durant l'enquête. Finalement, l'enquêteur doit examiner les preuves pour voir si elles ont été trafiquées, altérées ou falsifiées. Si elles paraissent fausses, ou si on peut les expliquer par des causes plus prosaïques, un doute plane sur leur validité. Souvent un ufologue expérimenté peut déterminer si une photo d'OVNI est un faux au premier coup d'¦il. Des indices, tels qu'une importante différence de netteté entre l'image de l'OVNI et les objets au premier plan ou à l'arrière plan, peut indiquer une mystification. Les mystifications peuvent aussi être traquées par analyse informatique. Les techniques d'analyse peuvent révéler des fils de soutien, ou des ficelles, et peuvent fournir des informations quant à la forme, la densité et la matière réelle de l'objet.


    Souvenez vous, lors de toute enquête, vous devez examiner les preuves à fond et de manière critique. Plus on trouve de preuves non-fiables, et plus il existe de doute sur la validité du témoignage. Une règle à appliquer est que chaque fois que dans une enquête il apparaît quelque chose qui semble trop beau pour être vrai, c'est certainement trop beau pour être vrai (c'est aussi vrai dans la vie, et non pas seulement en ufologie). Aussi n'abandonnez jamais votre esprit critique.


    A QUOI RESSEMBLENT LES EXTRATERRESTRES ET D'OU VIENNENT-ILS ?


    Parce que nous ne sommes pas sûrs que les OVNI soient des vaisseaux spatiaux, nous ne pouvons pas être sûrs que des extraterrestres nous rendent visite depuis d'autres planètes. La plupart des ufologues débattent du fait qu'il n'y ait pas assez de preuves pour démontrer que les OVNI sont vraiment des vaisseaux spatiaux pilotés par des extraterrestres intelligents. Parmi les rapports de rencontres avec des extraterrestres (rencontres du 3ème type, ou RR 3), il y a une grande diversité de descriptions. Certains décrivent des êtres qui ressemblent beaucoup aux humains. En fait, ils disent que ces extraterrestres pourraient facilement se fondre dans la foule de n'importe quelle rie de n'importe quelle ville du monde. Ces types d'extraterrestres sont parfois appelés nordiques, car ils ressemblent beaucoup aux personnes habitant l'Europe du nord. D'autres rapports parlent de petits êtres gris aux grands yeux en forme d'amande, et à la tête large et disproportionnée. Ces extraterrestres ont été appelés " Gris ". Les Gris sont parfois divisés en sous-groupes dépendant de leurs autres caractéristiques physiques, telles la taille. En quelques occasions, les témoins racontent avoir rencontré des créatures ressemblant à des robots ou à des androïdes. Il n'y a que dans les cas les moins coûtants que les témoins racontent avoir vu des créatures monstrueuses, souvent décrites dans les films populaires sur les extraterrestres (les êtres dans l'illustration sont ceux décrits dans le livre " Rencontre à Buff Ledge " de Walter Webb).


    Il y a de nombreuses théories concernant le lieu d'origine des extraterrestres, mais il n'y a pas de preuve absolue. Certaines personnes spéculent que les extraterrestres viennent d'autres planètes, alors que d'autres disent qu'ils viennent d'une autre dimension L'idée que les occupants des OVNI sont des voyageurs du temps venant de notre propre futur est aussi une possibilité. L'indice le plus intrigant à propos de l'origine des extraterrestres provient du récit de l'enlèvement en OVNI de Betty et Barney Hill, en 1961. Lors de leur enlèvement dans un OVNI, On a montré à Betty Hill une carte en trois dimensions d'un groupe d'étoiles. Elle redessina cette carte plus tard, sous hypnose. Des années après, une institutrice de l'Ohio, Marjorie Fish, fit de nombreuses maquettes de groupes d'étoiles de notre partie de la galaxie et les compara à la carte de Betty Hill. Elle trouva enfin une correspondance et conclut que les deux principales étoiles montrées dans cette carte étaient les étoiles jumelles Zeta Reticuli I et II. Il est intéressant de noter que ces étoiles sont identiques au soleil et pourraient très bien avoir des planètes du type de la Terre orbitant autour d'elles. Dés planètes qui pourraient héberger de la vie intelligente.


    QUELS SONT LES CAS LES PLUS INTERESSANTS ?


    Les cas les plus intéressants pour apprendre davantage sur les OVNI sont ceux qui impliquent plusieurs témoins et ceux où les OVNI laissent quelques traces ou quelques effets physiques. Les cas de traces physiques comprennent des traces au sol ou des effets électromagnétiques et ils sont appelés Rencontre Rapprochées du Second type (RR-2). Quand un OVNI est observé et enregistré sur le radar en même temps, alors on parle d'un cas de observation Radar-Visual Signition (R-V).


    Un des plus célèbre cas de RR-2 est arrivé en 1971 à Delphos, Kansas, où un jeune homme, Ronald Johnson, vit un objet lumineux qui bougeait au sol. Tout à coup l'objet prit son vol et s'éloigna à grande vitesse en laissant sur place un anneau de feu . Les analyses démontrèrent qu'il y avait eu des changements dans la structure physique et chimique du sol, des altérations qui ont duré plusieurs mois.


    Le cas le plus discuté de R-V s'est produit en 1952 dans le ciel de Washington, D.C., où des contrôleurs de vol suivirent sur les radars le tracé d'un OVNI et un pilote de l'USAF repéra des lumières bizarres qui entourèrent son avion. L'aéronautique militaire expliqua que aussi bien les images radar que les lumières bizarres étaient en réalité les conséquences d'inversions thermiques: c'est une explication très improbable, d'après plusieurs savants.


    Un autre cas de R-V est arrivé le 17 juillet 1957. Un bombardier de l'Air Force, un RB-47 suivit un OVNI pour 700 milles à travers quatre états, du Mississippi en Oklahoma. Pour une heure et demi l'objet fut toujours sous le repérage de l'équipage et repéré aussi par l'appareillage électronique de l'avion et par le radar de bord qui en enregistra le tracé. Puisque nombre de témoins confirmèrent l'observation, et puisque il y avait les tracés des radars et l'observation a eu une très longue durée, beaucoup de chercheurs OVNI ont interdit l'hypothèse de l'illusion d'optique et du mauvais fonctionnement du radar. Le cas du RB-47 est encore irrésolu.


    Récemment, les cas les plus intéressants de Radar-Visual sont parvenus de la Belgique, où des OVNI de forme triangulaires ont été vus par le personnel civil et militaire et enregistrés sur les radars. L'armée de l'air belge en a divulgué les traces radar qui montrent des objets sur le point de exécuter des man¦uvres incroyables, certainement beaucoup plus vite que n'importe quel avion conventionnel.




    QUELLES SONT LES THEORIES DES CHERCHEURS ?


    Il y a trois théories évoquées par les chercheurs pour expliquer les observations d'OVNI. Ils peuvent etre:


    1. le produit d'êtres intelligents

    2. des phénomènes bizarres mais naturels

    3. le résultat du besoin des gens de croire en quelque chose de réconfortant ou d'excitant.




    1. le produit d'êtres intelligents


    La théorie la plus célèbre (particulièrement en Amérique) est que les OVNI sont des vaisseaux spatiaux conduits par des Extra-terrestres (ET) venant d'autres endroits de l'espace lointain. De certaines chercheurs refusent l'idée des véhicules spatiaux et disent qu'il s'agit de autres types de véhicules produits quelque part sur la terre. Ces véhicules seraient en mesure de produire une images holographique que les gens voient et perçoivent comme quelque chose d'inexplicable.Ils pourraient également stimuler le cerveau et créer des hallucinations que le témoin voit comme un véritable OVNI.

    Une outre possibilité est que ce que les gens voient comme un OVNI sont des portes ou des trous temporels qui relient entre eux différents points de notre continuum espace-temps et qui sont utilisés par des être intelligents pour se déplacer dans l'espace-temps. Même si elle est la plus populaire, la théorie des êtres intelligents dit que l'intelligence qui se cache derrière les OVNI vient de l'espace lointain. D'autres croient qu'elle naît dans une autre dimension, mais sur la terre. Des chercheurs croient qu'il s'agit de technologies développées par des groupes secrets de savants , qui dépasse de beaucoup les capacités réelles de la science connue.


    Toutes ces idées, y comprise la théorie des ET venant de l'espace lointain, manquent encore de preuves certaines. Ceux qui sont sceptiques sur l'existence des OVNI concentrent leur esprit critique davantage contre la première théorie. Ils disent que les distances énormes qui existent entre les étoiles rendent impossible les voyages interstellaires. Ces sceptiques croient que les diverses descriptions des OVNI et de leurs occupants signifient que des groupes d'ETs sont en train de visiter la terre: c'est une théorie qu'ils considèrent impossible. En plus, ils croient aussi que les ETs ne garderaient pas le secret sur leur activités et annonceraient leur présence de quelques façons. Enfin, les sceptiques mettent en évidence le fait qu'il n'y a pas de preuves absolues, telles que de véritables photos ou des morceaux de métal venant d'un OVNI, ce qui prouverait leur existence.




    2. des phénomènes bizarres mais naturels


    La deuxième théorie dit que les OVNI sont des phénomènes naturels. La foudre en boule est un exemple de phénomène rare et complètement inconnu. Les partisans de la lumière réfléchie de la terre disent que la pression géologique sur la croûte terrestre produit de la foudre en boule, c'est à dire des sphères lumineuses de gaz atmosphériques ionisé. Ils croient que les propriétés de ces gaz (appelé plasma) ont des effets étranges sur les gens qui s'approchent d'eux: le plasma peut stimuler des zones du cerveau et produire des hallucinations vives qui pourraient être à la base des cas d'enlèvements.Le opposants disent que la théorie de la foudre en boule ne prend pas en considération toutes les données.

    Ils ne croient pas que la pression géologique puisse créer un plasma avec les dimensions, la forme et la durée des cas d'OVNI rapportés. On discute même sur le fait qu'une hallucination, provoquée par l'électromagnétisme, puisse créer les souvenirs des enlevés.




    3. le résultat du besoin des gens de croire en quelque chose de réconfortant ou d'excitant.


    La troisième théorie dit que les OVNI sont le résultat de facteurs psychologiques ou sociologiques. Nombre de savants, en particulier ceux qui sont sceptiques sur l'existence des OVNI, sont d'accord en affirmant que tous les observations sont en realité des perceptions erronées de phénomènes naturels ou avions conventionnels. Ces illusions, affirment-ils, résultent de l'ignorance du témoin, de son témperament émotif, de sa santé psychologique, voire ils résultent de conditions du milieu hostiles qui influencent les mechanismes perceptifs de l'individu.

    D'autres chercheurs croient que le stress et les bouleversements de la société moderne ont crée le besoin pour beaucoup de personnes de créer un contact avec les OVNI ou ETs. Ils disent que ce besoin existe parce que la société moderne a refusé les valeurs et les croyances traditionnelles, en laissant les individus seuls sans aucun espoir ou instruction. Par leur croyance dans les OVNI en dans des ETs technologiquement avancés, les personnes peuvent avoir leur foi dans quelqu'un ou quelques choses, quelqu'un ou quelques choses qui peuvent aider l'humanité à résoudre ses problèmes et donner un nouveau but à l'existence même du monde .


    Les arguments contre cette théorie disent que les témoins décrivent souvent les observations avec exactitude et consistance. Les rapports OVNI qui viennent de personnes dérangées sont rares et facile à découvrir. Toutefois, il y a des personnes qui disent avoir reçu des messages d'ETs et ils ont souvent révèlé ces messages en tombant en transe. Ceci provient sans aucun doute du système de croyance du "contacté" au lieu d'une source objective telle que le phénomène OVNI.


    Chacune de ces théories a ses points forts et ses points faibles. A cause de la complexité du phénomène OVNI, les trois théories peuvent expliquer une partie du mystère. L'énigme OVNI ne pourra être expliquée que par d'autres recherches et de nouvelles données.


    Y A T'IL DE LA VIE AILLEUR ?


    Même si le Centre CUFOS (Center for UFO Studies) n'est pas engagé à la découverte de la vie intelligente sur d'autres planètes, l'idée que des OVNI soient des vaisseaux spatiaux rend le sujet relatif à l'ufologie. A part les rapports sur la vie dans d'autres planètes, beaucoup de savants sont activement engagés dans la recherche de la vie intelligente à l'aide de radiotélescopes puissants syntonisés et programmés pour recevoir les émissions d'autres civilisations technologiquement avancées. Les projets pour la recherche de vie intelligente extra-terrestre sont nommés par l'acronyme SETI (Search for Extra-Terrestrial Intelligence - Recherche d'Intelligence Extra-Terrestre) Un des premier essais pour découvrir de la vie extra-terrestre a été fait par le Projet Ozma (nommé d'après la reine d'Oz) commencé par le radio astronome américain Franck Drake. Le projet a braqué les télescopes pour la capture d'émissions radio venant des étoiles proches et semblables au soleil, telles que Tau Ceti et Epsilon Eridani. Même si des signaux réels qui prouvent l'existence de la vie extra-terrestre n'ont jamais été enregistrés, beaucoup de choses ont été découvertes sur l'univers qui nous entoure. Il y a eu de nombreuses autres tentatives de découverte de signaux extraterrestres, à part le projet Ozma. Ceux d'entre eux qui a la plus longue durée de vie est celui entamé par l'Université d'état de l'Ohio.


    Malgré le manque de succès dans la recherche de signaux extra-terrestres, d'après beaucoup d'astronomes il y a beaucoup de probabilités qu'il y ait de la vie extra-terrestre. Cet affirmation se base sur l'équation Drake, nommé d'après Frank Drake, qui l'a conçue pour stimuler le débat sur la recherche de la vie intelligente extra-terrestre. Dans l'équation il y a sept facteurs utilisés pour établir le nombre probable de civilisations technologiquement capables et désireuses de transmettre et de recevoir des signaux radio. Ces facteurs impliquent le taux de naissance de nouvelles étoiles, le nombre de planètes autour d'une étoile, les planètes en mesure d'accueillir la vie, les milieux favorables à la vie intelligente, les sociétés communicantes et le laps de temps nécessaire au cycle vital d'une civilisation.


    Plusieurs savants ont même commencé à spéculer sur la possibilité que les civilisations extra-terrestres soient déjà en contact entre eux, en particulier dans des zones de la galaxie où les étoiles sont très proches les unes des autres. Les activités de ces sociétés cosmiques hautement avancées pourraient être détectées de la terre, et elles pourraient être les preuves que le projets SETI sont en train de chercher si assidûment.


    Quelques savants ont refusé l'idée qu'il y ait de la vie extra-terrestre. La théorie qui explique le mieux cet avis est celle d'Enrico Fermi (connue avec le nom de paradoxe-Fermi) selon laquelle s'il y avait vraiment dela vie extra-terrestre dans l'univers, ils (les extra-terrestres) seraient déjà sur terre. Donc, où sont-ils? En bref, elle dit que s'il y avait de la vie extra-terrestre on aurait déjà eu les preuves de son existence, parce que l'âge même de la terre aurait donné aux extra-terrestres tout le temps nécessaire pour nous joindre. Évidemment, s'il y a des extra-terrestres quelque part, ils auraient en réalité beaucoup de raisons de ne pas nous contacter. Ou, très simplement, ils auraient pu décider de ne pas le faire. Et encore, il y a la possibilité que les extra-terrestres soient déjà arrivés sur la terre. Beaucoup de savants engagés dans les projets SETI, toutefois, n'ont pas démontré assez d'intérêt en examinant les données OVNI de façon à tester cette hypothèse




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    BASES EXTRATERRESTRES

    LES SOUTERRAINS ET LES GRIS


    Un rapport spécial du Crystal Ball Newsletter (P.O. Box 4080, Torrance, CA 90510) intitulé "Le Mystère du Barbier" (The Shaver Mystery) relate un incident tragique intervenu dans le Canada du sud. L'incident impliqua un groupe d'explorateurs qui se rendit dans une caverne où ils découvrirent, tout au fond, une chose étrange. Ils trouvèrent dans l'une des chambres de la caverne un conduit parfaitement cylindrique ayant apparemment été foré directement dans la roche, vers le bas. Le conduit était bien trop parfait pour avoir été le résultat d'un phénomène géologique naturel (des conduits semblables, d'ailleurs, ont été rencontrés dans de nombreuses autres cavernes de par le monde). Alors qu'ils étaient en train d'étudier le "forage", ils furent soudain et sans avertissement attaqués par des créatures d'environ 1,20 m ou peut-être un peu plus. Ces attaquants utilisèrent une sorte de rayon calorifique contre les explorateurs innattendus. Les créatures étaient semblables à la description faite de beaucoup des occupants liés aux rencontres d'ovnis, ou les "gris" comme de nombreux ufologue les désignent aujourd'hui. L'un des témoins déclare que, lorsque l'attaque intervint, il fut assommé dans une niche isolée. Lorsqu'il "revient à lui", les autres explorateurs étaient soit morts soit manquants. Il souffrait lui-même de méchantes brûlures; celles-ci étaient en fait si graves qu'il en mourut quelques jours plus tard, mais fut auparavant capable de rejoindre péniblement un village proche et d'avertir les autres de se qui s'était passé. L'entrée de la caverne fut alors détruite à l'aide de dynamite afin d'empêcher quiconque d'y entrer à nouveau.


    Une phrase du Lama Turgut dit: "Le palais du Roi du Monde est entouré par ceux des Gourous qui contrôlent les forces visibles et invisibles de la Terre, depuis son intérieur jusqu'au ciel, et qui sont maîtres de la vie et de la mort. Si, dans sa folie, notre humanité venait à poursuivre ses guerres, ils pourraient venir sur la surface pour la transformer en un désert. lis pourraient dessécher les océans, remplacer les continents par des étendues d'eau et faire disparaître les montagnes. A bord de véhicules extraordinaires, inconnus de nous, ils voyagent à une vitesse incroyable à l'intérieur des tunnels de la Terre".


    L'écrivain Ossendowski parle de tunnels souterrains qui rejoignent l'Agharta, où glissent des astronefs "avancées". Un certain nombre de très vieilles légendes tibétaines, chinoises, indiennes, parlent de l'existence d'un fantastique royaume souterrain situé aux confins de l'Himalaya, là où réside le 'Roi du Monde', en charge de guider l'évolution spirituelle de l'humanité".


    Les satellites américains en mission pour la découverte des richesses minières de la Planète, confirment l'existence d'un immense réseau de galeries souterraines sous tout le territoire de la Chine. En 1961, un archéologue de l'Université de Pékin a découvert l'entrée de l'un de ces souterrains, sous le massif d'Homan. La galerie qu'il avait pu visiter présentait des parois étonnamment lisses et vernissées, décorées de fresques. Sur l'une d'elles, on voyait une sorte de bouclier volant véhiculant des hommes qui, depuis les hauteurs, enseignaient un troupeau de bêtes sauvages. En 1969, des souterrains identiques ont été découverts en Equateur, qui remonteraient au moins à 12.000 ans, également avec de possibles représentations de machines extraterrestres. La perplexité des archéologues est totale.



    LES SOUTERRAINS DE L'ÎLE DE MALTE

    Hypogeum de Hal Saflienti


    Juste en-dessous de la pointe sud de l'Italie, dans la partie la plus occidentale de la mer Méditerranéenne, se trouve l'île de Malte. Malte fut dans le passé la possession de nombreuses nationalités, et fut considérée comme l'un des points les plus stratégiques de toute la terre, port et point d'intersection entre l'Europe, l'Asie, le Moyen Orient, l'Afrique, etc. Cette île de 15 km de long fut l'ancien centre de la civilisation à l'époque où les Phéniciens de Carthage l'envahirent et commençèrent à la diriger.


    Lorsqu'un groupe d'anciens prêtres adorant le "dieu" Moloch (un autre nom pour Baal, Osiris, ou Nimrod - considéré par les ancient comme étant le "dieu soleil") visita l'île à l'époque de l'Ancien Testament, les insulaires acceptèrent promptement leurs enseignements, y compris ceux consistant à offrir des sacrifices humains afin d'apaiser leur "dieu" Moloch, parce que les anciens Maltais eux-mêmes pratiquaient le sacrifice du sang humain en offrande aux "dieux" du monde souterrain dont ils pensaient qu'ils existaient sous l'île-même et ailleurs, divinités ainsi appelées qui furent souvent identifiées aux "serpents".


    L'apôtre Paul, lorsqu'il visita l'île (comme cela est relaté dans le chapitre 28 du livre des acts), pris connaissance des croyances superstitieuses à propos des serpents après avoir été mordu par l'une des bêtes de l'île (appelée Melita à l'époque) et survecu grâce au pouvoir de Jésus ressucité, dont les Maltais ne connaissaient rien avant la visite prophétique de Paul.


    Depuis l'époque des Carthaginois, Malta a connu de nombreux dirigeants Romains, Arabes, Normands, Argoniens, Castillans, les (Hospitalers) ou l'Ordre de St. Jean de Jérusalem, connus plus tard sous le nom de Chevaliers de Rhodes, et encore plus tard comme les Chevaliers de Malte, qui y sont toujours aujourd'hui, possédant un autre siège à Rome.

    A quelques kilomètres de la ville de Valleta, à Malte, se trouve le petit village de Casal Paula. En l'an 1902, des ouvriers qui creusaient un puit tombèrent littéralement dans la terre. Ce qu'ils découvrirent (ou plutôt re-découvrirent) était une série d'anciennes caves, dont la plupart étaient taillées directement dans la roche, qui descendait dans la terre et sur trois niveaux inférieurs. Ces catacombes sur plusieurs niveaux dévinrent connues sous le nom de "Hypogeum de Hal Saflienti", nom de la rue sous laquelle il les découvrirent. Hypogeum est le nom Latin désignant une structure souterraine.


    Près du sol de la dernière chambre, au 3ème et dernier (officiellement reconnu) niveau de ces anciennes catacombes, se trouvent certaines "chambres mortuaires" comme on les appelle. Elle n'offrent qu'une surface de quelques mètres carrés à peine, sont situées à même le sol, et l'on doit se mettre à genoux, voir même à terre, ne serait-ce que pour regarder à l'intérieur.


    Ces "chambres mortuaires" sont juste assez larges pour que quelqu'un puisse y ramper. Il circule depuis des années des rumeurs suggérant que l'une de ces "chambres mortuaires" ne finit pas, mais continue bien au-delà, vers d'autres cavernes plus profondes et inexplorées.


    Ceci, d'après certaines sources, fut le passage souterrain et la chambre qui furent décrits il y a des années dans un article paru dans le numéro d'Août 1940 du magazine National Geographic. L'article en question indiquait ce qui suit à propos de diverses personnes ayant disparu dans ces catacombes sans laisser de traces :


    "De nombreux passages souterrains, y compris d'anciennes catacombes, font aujourd'hui partie des fortifications et du système de défense de l'île. Des vivres sont conservées dans de nombreux tunnels; d'autres sont des abris contre les bombes. Certaines des zones souterraines situées sous Valletta servirent de résidence pour les pauvres. Des hommes préhistoriques construisirent des temples et des chambres dans ces souterrains. Dans une fosse située près d'un autel reposent des milliers de squelettes humains. Il y a des années, il était possible d'aller d'un bout à l'autre de Malte par ces souterrains. Le gouvernement ferma les entrées de ces tunnels après que des écoliers et leurs enseignants en voyage d'étude se perdent dans le labyrinthe et ne reviennent jamais."


    L'histoire est en fait plus "importante" que le National Geographic ne l'indique. D'autres sources indiquent que près de 30 enfants disparurent dans ces catacombes lors de ce voyage d'étude, et que lors de la découverte initiale de l'"Hypogeum" furent également découverts près de 30000 squelettes d'hommes, de femmes et d'enfants (victimes de l'ancien sacrifice aux "dieux du monde souterrain" perpétré par un ancienne race néolithique).


    Un article écrit par Miss Lois Jessup, à l'époque employée de l'ambassade Britannique et plus tard secrétaire du NYSIB, paru dans un vieux numéro du magazine Science Frontière (Borderland Science) de Riley Crabb's, publié par la BSRF et plus tard repris dans son intégralité dans le livre du Dr. Allen "Enigma Fantastique".


    Miss Jessup déclara avoir visité Malte et l'Hypogeum, une première fois avant la tragique disparition des enfants, et une autre fois peu après. Elle décrivit comment, lors de sa première visite des catacombes, elle convainquit le guide de la laisser examiner l'une des fameuses "chambres mortuaires" près du sol de la dernière chambre dans le troisième soubassement, la "fin" supposée de la visite de l'Hypogeum.


    Il semblait savoir quelque chose qu'elle ignorait, mais consentit finalement à lui dire qu'elle pouvait entrer "à ses propres risques"...


    Ce fut ce qu'elle fit, bougie à la main et sa ceinture défaite utilisée comme corde de guide pour ses amis qui la suivaient, rampant dans le mince passage pour finalement déboucher dans une grande carverne, où elle se trouvait sur une plate-forme surplombant un abîme très profond, semblant sans fin. Plus bas et de l'autre côté de l'abîme se trouvait une autre plate-forme semblant donner sur une porte ou un tunnel s'enfonçant dans le mur opposé. Nous réalisons que ce qui survint ensuite pourrait sembler incroyable à beaucoup de lecteurs, mais nous leur demandons de se faire leur propre idée de sa véracité. Miss Jessup jure que ce qui suit s'est réellement passé.


    De ce tunnel inférieur situé de l'autre côté de l'abîme, déclare-t-elle, surgirent en file indienne quelques très grandes créatures de forme humanoïde, mais totalement recouverte de poils de la tête aux pieds. L'apercevant, elles levèrent leurs armes en sa direction, à tel point qu'un "vent" violent se mit à souffler dans la caverne, soufflant sa bougie.


    Une "chose" humide et rampante (apparemment une créature de différente sorte) la frôla alors.


    Tout ceci se passa au moment où la personne qui la suivait commençait à émerger depuis le passage dans la caverne. Ils ne purent comprendre ses tentatives paniquées pour rejoindre le passage et regagner la chambre de l"Hypogeum", mais y consentirent après son insistance. Lorsqu'ils se retrouvèrent tous dans la chambre de l'Hypogeum, le guide vit son expression et la regarda d'un air "entendu".


    Environ une semaine après la disparition des enfants et de leur(s) enseignant(s), elle vit lors de sa seconde visite un tout nouveau guide qui nia que l'autre guide ait jamais travaillé ici, bien qu'elle su que ce guide-ci cachait quelque chose. Elle apprit d'autres sources plus coopératives cependant, que ceci était le tunnel que les enfants, leur(s) enseignant(s) et probablement l'ancien guide, avaient emprunté. Elle apprit également qu'après que le dernier enfant y ait pénétré, les murs du petit tunnel se refermèrent ou s'effondrèrent. Bien que la version officielle établit que les murs s'étaient écroulés sur les étudiants, les équipes de recherche ne furent jamais capable de trouver la moindre trace de l'(ou des) enseignant(s) ou des enfants, bien que la corde qu'ils avaient utilisé pour s'attacher à la plus basse des chambres de l'Hypogeum fut retrouvée nettement coupée, comme par quelque chose de tranchant (pas un roc tombant).


    Il fut prétendu que, durant les semaines qui suivirent, les gémissements et cris des enfants furent entendus sous terre en différents endroits de l'île, sans que personne ne parvienne à localiser l'origine de ces cris. Comme pour les catacombes sous Malte, il existe d'anciens récits stipulant que de profondes cavernes sous l'île se prolongent sous terre au-delà des rivages, et d'après une source, qu'une partie de ce labyrinthe s'étend sur des centaines de kilomètres au nord et possède des intersections avec les catacombes de Rome (la colline Vaticanus ?) ou que cela fut du moins le cas à une certaine époque.


    Il y a tellement de récits documentés suggérant l'existence de telles vastes régions carverneuses se déploient dans les régions infernales de cette planète, ou du moins que la question doive être considérée.


    Si une telle région existe, on peut alors se demander : Pourquoi son existence a-t-elle échappé à ceux de la surface durant si longtemps ? Une réponse possible à cette question pourrait être que, si une telle région existe, et qu'elle est au moins habitée en partie par des créatures physiques en intelligence et en communication avec des anges déchus ou des entités démoniaques, ces êtres non-physiques auraient alors beaucoup à perdre si l'existence de ces cavernes venait à être largement connue, ainsi que pour leurs alliés reptiliens.


    Il existe de nombreux cas où ceux qui ont essayé de découvrir ce qui se passait sous le sol (ou qui ont effectué certaines rencontres, ou ont acquis certaines connaissances sur ces régions infernales, ou ont tenté de rechercher des récits hors de la protection ou de la gouverne divine de Dieu Tout-Puissant) ont eut à souffrir d'attaques spirituelles ou psychiques et d'oppression, parfois au point d'être conduit à la folie, ou d'adopter un attitude absente de manière irrversible. Certains sont également apparemment morts en de mystérieuses circonstances, ou furent poussés au suicide. Quelque chose se trame réellement "sous nos pieds" avec certaines entités particulièment malveillantes qui ne veulent pas que nous en prenions connaissance.


    Nous sommes convaincus cependant que, si l'on ne souhaite pas laisser à Dieu, par le Christ, guider et diriger nos recherches dans cette zone, alors nous ferions mieux de laisser tout cela de côté. Nous connaissons trop de gens ayant essayé de fouiller ce sujet hors de la grâce de Dieu et ayant été détruits aussi bien mentalement que physiquement pour tout résultat. De plus, plus nous pourrons travailler ensemble dans un seul et même effort pour nous défendre contre cette menace "extra-terrestre", mieux nous serons individuellement.


    Il existe, à côté de l'incident de Malte, de nombreux autres récits suggérant que des centaines, si ce n'est des milliers de personnes ont disparu sans laisser de traces à l'intérieur ou aux alentours de cavernes inexplorées en différents endroits du monde. Comme nous l'avons dit, ces régions "infernales" représentent l'origine la plus probable de la majorité du phénomène connu comme celui des "ovnis". Nombreux de ces appareils ont été observés entrant et sortant de cavernes ou d'ouvertures dans des montagnes éloignées, canyons, etc. Il existe des cas repertoriés où des être "extra-terrestres" à l'apparence de reptiles tels que ceux décrits par les témoins de rencontres avec des ovnis ont été observés dans des cavernes et des renfoncements souterrains naturels ou artificiels. Ces rapports sont relativement peu nombreux, mais ils existent. Il est concevable que le peu de gens ayant jamais fait de telles rencontres n'aient jamais eu l'occasion d'en revenir pour en parler. Ces créatures sont souvent décrites comme étant semblables aux "occupants d'ovnis"!




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    MAJESTIC-12

    L'existence du document relatif au Majestic-12 a été révélée par William Moore lors du Symposium de Mufon Ufo Network, en juin 1987 à Washington D.C. A l'origine, cette pièce de huit pages était parvenue sous la forme d'une pellicule photographique dans une enveloppe de papier d'emballage au domicile de Jaime Shandera, producteur d'une station de télévision de Los Angeles, en décembre 1984. Deux ans plus tôt, Jaime Shandera s'était joint à William Moore et au physicien nucléaire Stanton Friedman pour effectuer un travail en équipe basé sur la recherche de documents officiels prouvant l'implication du gouvernement américain dans la dissimulation de la vérité en matière d'Ovnis.



    Le document "Majectic-12", bien que très controversée, pourrait être

    authentique car personne n'a réussi à établir qu'il s'agissait d'un faux.


    Les documents du MJ12 (Majestic 12) ont séduit de nombreux chercheurs et ufologues, avant d'apparaître comme des faux habiles dépassant les limites du canular ou de l'action individuelle. Ainsi, sur un prétendu mémo adressé par le président Truman au général Twining est reproduite la signature du président, empruntée à un vrai document. Un tel détail ne saute pas immédiatement aux yeux, mais est voué à être découvert tôt ou tard... Le doute est donc jeté. Puisqu'un cachet officiel, un en-tête administratif ou la signature d'un président de l'Etat était devenu une preuve de l'implication des autorités américaines dans le dossier OVNI, il fallait déconsidérer ceux-ci et jeter le trouble en répandant le FAUX.


    Ce document se compose de deux éléments totalement différents. Sept pages relatives au "Majestic-12" et un mémorandum d'une page signée par le président Harry Truman adressé à James Forrestal, en date du 24 septembre 1947, relatif à une opération du "Majestic-12". Si la signature du président Truman est authentique, les sept page sont l'oeuvre d'un habile faussaire. Cette fraude visait deux buts, discréditer les affaires de crashes d'Ovnis et ridiculiser l'équipe Moore - Friedman - Shandera.


    La présence du Dr Donald Menzel dans la liste des douze membres du "Majestic-12" sur le document pourrait constituer un élément probant pour indiquer que la fabrication vient d'une agence de sécurité. Le Dr Donald Menzel était un astrophysicien de haut niveau, qui eut l'occasion de travailler pour plusieurs agences de sécurités et l'USAF, il travailla pour l'US Navy durant la Deuxième Guerre mondiale en comme cryptographe. Il publia son premier livre "Flying Saucers" en 1953 où il expliquait que les soucoupes volantes était un phénomène optique associé à des mirages. Il fit de fréquent déplacements à Washington D.C. et au Nouveau-Mexique entre 1947 et 1949 pour des missions gouvernementales. Des traces de ses voyages sont dans ses notes de frais, disponibles à la bibliothèque de Harvard College Observatory. Dans les archives nous trouvons des correspondances de Menzel avec des hommes puissants, tel que John Fitzgerald Kennedy. Le Dr Donald Menzel était sans aucun doute un agent au service du gouvernement et il fut impliqué au niveau le plus élevé des secrets d'Etat! Sa présence dans un éventuel groupe secret dévolu aux problèmes des OVNI n'est absolument pas fantaisite et nous comprenons mieux pourquoi le Dr Menzel publia trois livres destinés à banaliser les OVNI.


    Lorsque Jaime Shandera prit connaissance du contenu de la pellicule, en décembre 1984, il contacta ses deux associés. Ils décidèrent de commencer une recherche auprès des Archives Nationales à Washington, où sont centralisés les dossiers périmés de l'administraion américaine. En 1985, Bill Moore mit la main sur le mémo Curler datant du 14 juillet 1954, un mémorandum de sécurité limitée d"estiné au général Twining dont le sujet est "Projet d'études spéciales NCS/MJ-12". Dans ce mémo, le président décide d'avancer une réunion du MJ-12. A l'époque, le général Twining était devenu le chef de l'USAF. En 1947, au moment du crash de Roswell (Nouveau-Mexique), il était déjà le patron de l'Air Materiel Command, l'organisme qui dirige tous les services de renseignements de l'USAF. L'authenticité de ce mémo est irrefutable!


    Dès la première chute d'une soucoupe volante, le 2 juillet 1947 à Rosewell, plusieurs organisations secrètes furent créées. Elles s'occupaient de tout ce qui concernait les Ovnis. La plus importante fut l'opération "Majestic-12" , également connu sous les noms de "MJ-12" ou "Majic-12", fondée le 12 septembre 1947 par le président Truman et dont dépendaient tous les autres projets (MAJESTY est le nom de code pour le président, MAJIC (MAJI-Controlled) serait la classification de secret associée aux opérations de ce groupe). Parmi les membres, il y avait le Dr Vannevar Bush, conseiller scientifique du président ; le ministre de la Défense Forrestal et aussi, plus tard, Nelson Rockefeller, Allen Dulles, chef de la CIA et J. Edgar Hoover, chef du FBI. Les autres faisaient partie du CFR. Tous les douze étaient aussi membres de la "Jason Society", de l'élite de l'ordre "Skull & Bones". Le siège du groupe situé à Maryland, accessible seulement par les airs, est connu sous le nom de "Country Club" par les cercles d'initiés. Les Delta Forces (opérations spéciales) sont des unités de combat spécialement formées pour les projets du Majestic-12.



    Le PROJET MAJI (Majority Agency for Joint Intelligence) réunit toutes les informations concernant les services secrets. MAJIC (à ne pas confondre avec la classification Magic, associée en 1940 aux messages japonais décryptés), signifie contrôlé par MAJI. Toutes les informations et désinformations à propos des OVNIs et des extra-terrestres sont exploitées par MAJI, en collaboration avec la CIA, la NSA, le DIA (service de renseignements de la défense du pays) et le Naval Intelligence (service secret de la marine). Les projets conçus sous la direction du Majestic 12 étaient, entre autres, les suivants :


    LE PROJET GRUDGE / PROJET SIGN


    Ce projet est une refonte du PROJET SIGN. Il concerne l'étude des phénomènes Ovnis. Gratifiée d'une priorité inférieure. Parfois référencé comme la Commission "Soucoupe", ce projet était centralisé à la base de Wright-Patterson (Ohio). Le but du projet est de collecter confidentiellement un maximum de véritables informations sur le sujet, mais de systématiquement trouver des explications "rationnelles" à diffuser au public et aux militaires, ainsi que de déclarer publiquement que les ovnis n'existaient pas réellement. Le 27 Décembre 1949, le projet présente un rapport officiel sur 244 observations, dont les 23 % de cas inexpliqués sont attribués à une cause d'ordre psychologique.




    LE PROJET TWINKLE


    Sous-commission du PROJET GRUDGE, instaurée fin Mars 1950, le projet Twinkle ("scintillement") vise à enquêter sur le phénomène des "boules lumineuses vertes" (green fireballs) au Nouveau Mexique.




    LE PROJET BLUE BOOK / PROJET UFO


    Se rapporte au sauvetage et à la récupération d'objets volants tombés à terre, et, de concert avec le projet ROBERTSON-PANEL, il vise à désinformer intentionnellement le public. Le projet a but officiel de trouver une explication pour l'ensemble des témoignages d'observations d'ovnis, déterminer si les ovnis représentent une menace pour la sécurité des Etats-Unis et déterminer si les ovnis présentent une technologie avancée que les Etats-Unis pourraient exploiter.




    LE PROJET MOON DUST


    Apparement créé le 25 avril 1961, conçu à l'origine pour récuperer les débris d'objets spatiaux lancés par les soviétiques qui pouvaient rompre leur orbite et s'écraser. Un document du Q.G. de l'USAF en date du 3 novembre 1961 fait état de ce projet sur la récupération de débris mais aussi un soutien aux projets MOON DUST, BLUE FLY et UFO (ancien projet BLUE BOOK ). Il existait déjà au moins un projet de ce type avant le lancement de Spoutnik 1 (4 octobre 1957), par les soviétiques. Mais pour récuperer quoi?




    LE PROJET BLUE FLY


    Projet étroitement lié au projet MOON DUST, il semble avoir été crée avant celui-ci, en février 1960 puis intégré dans le PROJET MOON DUST.




    Le PROJET SIGMA


    Concerne la communication avec la race des EBE (Extraterrestrial Biological Entity), les Short Grey (petits Gris).




    LE PROJET SNOWBIRD


    Se rapporte à la technologie d'objets volants extra-terrestres pour tenter de piloter un de ces objets.




    LE PROJET AOUARIUS


    Sert de couverture pour coordonner les programmes de recherche et de contacts avec les extra-terrestres.




    LE PROJET GARNET


    Etudie l'influence des extra-terrestres sur l'évolution humaine.




    LE PROJET POUNCE


    Concerne le dépouillement des vaisseaux spatiaux qui ont chuté et les examens biologiques faits sur les corps des passagers.




    LE PROJET REDLIGHT


    Décide des essais à faire en vol avec des vaiseaux spatiaux qui ont été trouvés ou été mis à disposition par des extra-terrestres. Ce projet est mené, en ce moment, dans le domaine de AREA 51 / GROOM LAKE, au Nevada.




    LE PROJET LUNA


    Nom de code pour la base extra-terrestre sur la lune qui fut observée et filmée par les astronautes d'Apollo. On y exploite une mine, et on y gare tes grands astronefs en forme de cigare.




    LE PROJET REVELATION


    Le Projet met à la disposition des membres du Congrès et des médias près de 500 pages de témoignages officiels et plus de 4 heures de vidéo. Une multitudes d’informations y sont présentées, notamment l’existence de 57 espèces ou races extra-terrestres humanoïdes répertoriées et classées depuis 1989 par les scientifiques militaires et la révélation que certains de ces extra-terrestres sont à ce point semblables aux humains, qu’ils se trouvent parmi nous depuis longtemps sans que nous en ayons conscience.




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    RAPPORT COMETA

    Un rapport confidentiel sur les OVNI a été remis au Président de la République et au Premier Ministre.

    D'après le rapport " COMETA ", l'hypothèse d'une origine extraterrestre ne peut plus être écartée.

    Par ce rapport un premier pas en France concernant la vérité sur les OVNI vient d'être franchi.


    La France est en matière d'OVNI le pays des paradoxes. La question des OVNI n'y possède pas de légitimité scientifique ou intellectuelle reconnue, alors qu'il existe, depuis 1977 une structure officielle d'enquête scientifique. Elle y est moins bien admise que dans d'autres pays, alors que nous disposons d'un ensemble de données de qualité souvent supérieure, validant la réalité d'un phénomène physique et inexpliquable. La publication des enquêtes du GEPAN sous form de notes techniques, et les prises de position ouvertes, et néanmoins prudentes, du responsable du Service d'expertise des rentrées atmosphériques (SEPRA), Jean-Jacques Vélasco, sur la réalité physique des OVNI et leur supériorité technologique, représentent une avancée qui, curieusement, n'atteint pas l'opinion publique française, ni les médias. AUtrefois précurseur, la France a régressé dans la prise en charge de la question des OVNI. Le GEPAN a été transformé en SEPRA, et ses moyens ont été réduit de manière drastique. Alors que l'Assemblée Nationale abordait timidement la question des Ovni en 1954 (J.O. 27/01/1954), elle la réduit aujourd'hui à une phénomène de croyance.


    La COMETA est une association composée de spécialistes des sciences physiques, des sciences de la vie, des sciences humaines, ainsi que d'officiers supérieurs de l'armée et d'ingénieurs. En juillet 1999 le COMETA publie un rapport très complet sur le phénomène ovni qui fut transmis au président de la république ainsi qu'au premier ministre. Le rapport de 90 pages sera publié ensuite par le magazine VSD à destination du grand public. Le rapport, qualifié par VSD de "rapport confidentiel remis au Présent de la République et au Premier Ministre", émane essentiellement des sphères militaires. Il est d'ailleurs possible que ce texte ne constitue qu'une partie d'un rapport plus étayé, et que ce serait ce rapport-là qui ait été déposé sur le bureau du Premier Ministre et du Président de la République. Un rapport qui contiendrait assez d'éléments pour les convaincre de la réalité matérielle des ovnis et de la très forte présomption de leur origine extraterrestre.


    De façon sobre et rigoureuse, le COMETA met en évidence la réalité physique des OVNI, et attire l'attention sur l'insuffisance des moyens consacrés à leur prise en charge.


    Il n'est pas possible de reproduire intégralement le texte du rapport Cometa qui est protégé par les droits de ses auteurs.


    Dans sa conclusion, le COMETA affirme que la réalité physique des OVNIS, sous le contrôle d'êtres intelligents, est "quasi-certaine." Seule une hypothèse tient compte des données disponibles: l'hypothèse des visiteurs extraterrestres. Cette hypothèse est naturellement improuvée, mais a des conséquences de grande envergure. Les buts de ces visiteurs allégués demeurent inconnus mais doivent être le sujet de nos préoccupations.


    La préface du rapport est signée par le Général Bernard Norlain de l'Armée de l'Air, ancien directeur de l'IHEDN, et il commence par un préambule par André Lebeau, ancien président du centre national pour les études de l'espace , le CNES, l'équivalent français de la NASA. Le groupe lui-même, auteur collectif du rapport, est une association d'experts, dont beaucoup sont ou ont été des auditeurs de l'IHEDN, et ils sont de plus présidés par le Général Denis Letty de l'Armée de l'Air, l'ancien auditeur à l'IHEDN. Le sigle "COMETA" se veut signifier "COMité pour des ETudes Approfondies."


    Une liste non-exhaustive de ses membres est donnée au début, elle inclut: Le Général Bruno Lemoine, de l'Armée de l'Air (FA de l'IHEDN), L'Amiral Marc Merlo, (FA de l'IHEDN), Michel Algrin, Docteur en Sciences Politiques, Avocat à la Cour (FA de l'IHEDN), Le Général Pierre Bescond, ingénieur en armements (FA de l'IHEDN), Denis Blancher, Chef de la Police Nationale au Ministère de l'Intérieur, Christian Marchal, ingénieur en Chef au Corps des Mines et Directeur de Recherche à l'Office National de la Recherche Aéronautique (ONERA), le Général Alain Orszag, Ph.D. en physique, ingénieur en armements.


    Le comité exprime également sa gratitude aux contribuants extérieurs comprenant Jean-Jacques Vélasco, dirigeant le SEPRA du CNES, François Louange, président de Fleximage, spécialiste en analyse de photo, et Général Joseph Domange, de l'Armée de l'Air, délégué général de l'association des auditeurs à IHEDN.


    LE RAPPORT COMETA


    Le Général Letty, en tant que président de COMETA, met en exergue le principal thème du rapport, qui est que l'accumulation des observations bien documentées nous contraint maintenant à considérer toutes les hypothèses quant à l'origine des OVNIS, particulièrement les hypothèses extraterrestres. Le comité présente alors le contenu de l'étude. La première partie comprend la présentation de quelques cas remarquables de France et d'autres pays.


    Dans une deuxième partie, ils décrivent l'organisation actuelle de la recherche, en France et à l'étranger, et des études effectuées par les scientifiques mondiaux qui peuvent fournir des explications partielles du phénomène des OVNIS, selon des lois connues de la physique. Les explications globales principales sont alors passées en revue, des avions secrets jusqu'aux manifestations extraterrestres.


    Dans une troisième partie, on considère des mesures à prendre concernant la Défense, basées sur l'information des pilotes civils et militaires. Des conséquences stratégiques, politiques et religieuses, si l'hypothèse extraterrestre est confirmée, sont alors discutées.


    CHAPITRE I

    Faits et témoignages


    Plusieurs des cas choisis sont bien connues par la plupart des chercheurs, et doivent seulement être mentionnées ici. (Quand des liens sont fournis, ils pointent vers la pages de mon site concernant l'observation.) Ce sont:


    - Des témoignages des pilotes français puis étrangers: M. Giraud, Pilote de Mirage IV (1977), Colonel Bosc, Pilote de Chasse (1976), Vol Air France AF 3532 (Janvier 1994) ainsi que plusieurs cas aéronautiques dans le monde.


    - Des témoignages étrangers: Lakenheath (U.K., 1956), RB-47 (U.S., 1957), Teheran (1976), Russie (1990), San Carlos de Bariloche (Argentine, 1995).


    - Des observations au sol: Tanarive (1954) Observation d'une soucoupe volante près du sol par un pilote français, J.-P. Fartek (1979), Observation rapprochée au dessus d'un site de missiles Russes par plusieurs témoins (1989).


    - Des rencontres du troisième type en France: Valensole (Maurice Masse, 1965), Cussac, Cantal (1967), Trans-en-Provence (1981), Nancy (le cas dit de "l'Amarante", 1982).


    - Des contre exemples de phénomènes qui ont été expliqués: Bien que le choix soit limité, il semble être suffisant pour convaincre un lecteur non informé mais d'esprit ouvert de la réalité des OVNIS.


    CHAPITRE II

    L'état des connaissances


    La deuxième partie commence par un aperçu de l'organisation de la recherche officielle sur les OVNIS en France, des premières instructions fournies à la Gendarmerie en 1974 pour l'enregistrement des rapports, à la création du GEPAN en 1977, de son organisation et de ses résultats, y compris la collection de plus de 3.000 rapports de la Gendarmerie, des études de cas, et des analyses statistiques. Il examine alors des accords passés par le GEPAN et, plus tard, le SEPRA, avec l'Armée de l'Air et l'Armée de Terre, l'aviation civile et d'autres organismes, tels que les laboratoires civils et militaires, pour l'analyse des échantillons et des photographies.


    Concernant les méthodes et les résultats de SEPRA, on nous rappelle quelques cas célèbres (Trans-en-Provence, l’Amarante), et l'accent est mis sur des catalogues des cas, notamment des pilotes (le catalogue de Weinstein), et les observations conjointes radar/visuelles rapportées dans le monde entier.


    Une note historique apparaît ici avec une citation de la lettre célèbre du Général Twining, de Septembre 1947, qui avait alors déjà affirmé la réalité des OVNIS.


    Le chapitre suivant, titré "OVNIS: Hypothèses et essais de modélisation") discute de quelques modèles et hypothèses qui sont à l'étude dans plusieurs pays. Des simulations partielles ont été déjà faites pour la propulsion des OVNIS, basées sur des observations d'aspects tels que vitesse, mouvements et accélérations, pannes de moteur des véhicules voisins, et paralysie des témoins. Un modèle est la propulsion magnétohydrodynamique, déjà examinée avec succès dans l'eau, et qui pourrait être réalisé dans l'atmosphère avec les circuits supraconducteurs, dans quelques décennies. D'autres études sont brièvement mentionnées concernant la propulsion atmosphérique et spatiale, telle que des faisceaux de particules, l'anti-gravité, ou l'utilisation des impulsions gravitationelles planétaires et stellaires.


    On suggère que les pannes de moteurs de véhicule puissent être expliqués par rayonnement micro-onde. En fait, des générateurs d'hyperfréquences de forte puissance sont à l'étude en France et d'autres pays. Une application en est les armes à micro-ondes. Les faisceaux de particules, tels que les faisceaux de protons, qui ionisent l'air et deviennent donc visibles, pourraient expliquer l'observation des faisceaux lumineux tronqués. Les micro-ondes pourraient expliquer la paralysie des témoins.


    Dans le même chapitre les hypothèses explicatives globales sont ensuite étudiées. Les canulars sont rares et facilement détectés. Quelques théories non scientifiques sont rejetées, comme la conspiration et manipulation par des groupes occultes puissants. Également rejetés, les phénomènes parapsychologiques, et les hallucinations collectives. L'hypothèse des armes secrètes est également considérée comme très improbable, de même que "l'intoxication" ou l'hystérie à l'heure de la guerre froide, ainsi que les phénomènes naturels.


    Nous sommes alors laissés avec diverses hypothèses extraterrestres. Une version a été développée en France par les astronomes Jean-Claude Ribes et Guy Monnet, basé sur le concept des "îles de l'espace" du physicien américain O’Neill, et elle est compatible avec la physique actuelle.


    L'organisation de la recherche OVNIS aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne et en Russie est rapidement examinée. Aux Etats-Unis, les médias et les sondages montrent un intérêt et un souci marqués du public, mais la position officielle, particulièrement de l'Armée de l'Air, est toujours celle du démenti, plus précisément l'affirmation qu'il n'y a aucune menace à la sécurité nationale. En fait, des documents déclassifiés, publiée sous le coup de la loi de la liberté de l'information FOIA, exposent une toute autre histoire, celle de la surveillance des installations nucléaires par des OVNIS, et celle de l'étude continue des OVNIS par les militaires et les agences de renseignement.


    Le rapport souligne l'importance, aux Etats-Unis, des associations indépendantes privées. Il mentionne les preuves rendues disponible dans le document "Best Available Evidence" du CUFOS, introduit en 1995 à un milliers de personnalités dans le monde entier, et le groupe de travail du Professeur Sturrock en 1997, tous les deux commandités par Laurent Rockefeller. "Best Available Evidence" a été évidemment bien accueillie par les auteurs du rapport COMETA.


    Le comité note également l'apparition publique d'officiels "initiés" allégués tels que colonel Philip Corso, et conclut que son témoignage pourrait partiellement donner des indications quant à la vraie situation aux États-Unis, en dépit de ses nombreux critiques.


    Le rapport décrit brièvement la situation en Grande-Bretagne, avec une mention spéciale à Nick Pope, et pose la question de l'existence possible des études secrètes poursuivies en commun avec les services américains. Il mentionne aussi bien la recherche en Russie, et la publication de l'information, notamment par le KGB en 1991.


    CHAPITRE III

    Les OVNI et la défense


    Dans la troisième partie le rapport déclare que s'il est vrai qu'aucune action hostile n'a pour le moment eu lieu, au moins quelques actes d'intimidation ont été enregistrés en France (le cas du Mirage IV, par exemple). Puisque l'origine extraterrestre des OVNIS ne peut pas être éliminée, il est donc nécessaire d'étudier les conséquences de cette hypothèse au niveau stratégique, mais également aux niveaux politiques, religieux et médiatique.


    Le premier chapitre de la partie III est consacré aux stratégies éventuelles et il commence par des questions fondamentales. Que faire si les OVNIS sont extraterrestres? Quelles intentions et quelle stratégie pouvons-nous déduire de leur comportement?


    De telles questions ouvrent la partie la plus ouverte à la controverse du rapport. Des motivations possibles des visiteurs extraterrestres sont explorées ici, comme la protection de la planète Terre contre les dangers de la guerre nucléaire, suggéré par exemple par les survols répétés des emplacements de missile nucléaires. Le comité s'interroge sur les répercussions possible sur le comportement, officiel ou non, de différents nations et se concentre sur la possibilité de contacts secrets favorisés qui pourraient "être attribués aux Etats-Unis." L'attitude des États-Unis est vue comme "extrêmement étrange" depuis la vague de 1947 et l'événement de Roswell. Depuis cette époque, une politique du secret croissant semble avoir été appliquée, qui pourrait être expliquée par la protection à tout prix d'une supériorité technologique militaire à acquise par l'étude des OVNIS.


    Ensuite, le rapport aborde la question "quelles mesures devons-nous prennent maintenant?" Au minimum, quelle que soit la nature des OVNIS, elles exigent "la vigilance critique," en particulier concernant le risque "de manipulations de déstabilisation." Une sorte de "veille cosmique" devrait être appliqué par les élites, au niveau de la nation et au niveau international, afin d'empêcher quelque surprise choquante, interprétation incorrecte et manipulation hostile.


    Au plan National, le COMETA demande le renforcement du SEPRA, et recommande la création d'un comité au niveau le plus élevé du gouvernement, chargé du développement des hypothèses, de la stratégie, et de la préparation des accords coopératifs avec l'Europe et d'autres pays étrangers. Une autre étape serait que les états Européens et l'Union Européenne entreprennent une action diplomatique concertée envers les Etats-Unis dans le cadre des alliances politiques et stratégiques.


    Une question principale de rapport est "pour quelles situations devons nous être préparés?" Il mentionne des scénarios tels qu'une prise de contact par les extraterrestres; la découverte d'une base extra-terrestre sur Terre; une invasion (considérée comme improbable) et des attaques localisées ou massives; des manipulations ou désinformations délibéré visant à déstabiliser d'autres états.


    Le COMETA consacre une attention particulière "aux implications aéronautiques," avec des recommandations détaillées a visant divers personnels, tel que des personnels aériens, les contrôleurs radar, les météorologues et des ingénieurs. Il fait également des recommandations aux niveaux scientifiques et techniques, destinés à développer la recherche avec des avantages potentiels pour la défense et l'industrie. Le rapport explore aussi les implications politiques et religieuses liées aux OVNIS, en utilisant comme modèle la perspective de notre propre exploration de l'espace: Comment le ferions-nous, comment réaliserions nous des contacts avec des civilisations moins avançées?


    Une telle approche n'est pas nouvelle pour les lecteurs bien informés de la littérature ufologique abondante, mais elle a une valeur spéciale ici, étant traité sérieusement à un tel niveau. Les implications pour les médias et l'opinion publique ne sont pas négligées, avec les problèmes de la désinformation, de la crainte du ridicule, et de la manipulation par certains groupes.


    Dans sa conclusion, le COMETA affirme que la réalité physique des OVNIS, sous le contrôle d'êtres intelligents, est "quasi-certaine." Seule une hypothèse tient compte des données disponibles: l'hypothèse des visiteurs extraterrestres. Cette hypothèse est naturellement improuvée, mais a des conséquences de grande envergure. Les buts de ces visiteurs allégués demeurent inconnus mais doivent être le sujet de nos préoccupations.

    Dans ses recommandations finales, le COMETA insiste encore une fois sur les nécessités suivantes:


    - Informer les preneurs de décisions et les personnes ayant des hautes responsabilités.

    - Renforcer les moyen d'enquêter et d'étudier du SEPRA.

    - Considérer si les agences s'occupant de surveillance spatiale considèrent les détections d'OVNIS.

    - Créer un comité stratégique au plus haut niveau de l'Etat.

    - Prendre des mesures diplomatiques pour une collaboration avec les Etats-Unis sur cette question importante.

    - Etudier les mesures d'urgence à mettre en place.


    Finalement le document est accompagné de sept annexe:


    - Les détections radar en France.

    - Les observations par les astronomes.

    - La vie dans l'Univers.

    - La colonisation de l'espace.

    - Le cas Roswell et la désinformation.

    - L'ancienneté du phénomène OVNI et des éléments pour une chronologie.

    - Des réflexions variées sur les aspects psychologiques, sociologiques et politiques du phénomène OVNI.


    CONCLUSION

    Résumé de l'IHEDN sur le rapport


    Le texte de Cometa, association regroupant d'anciens auditeurs de l'Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale (IHEDN) et présidée par Denis Letty, général de l'armée de l'air, reprend une série de témoignages accumulés sur l'apparition d'étranges phénomènes, tant dans le monde qu'en France. " L'hypothèse extraterrestre, en déduisent les auteurs du rapport, est de loin la meilleure hypothèse scientifique; elle n'est certes pas prouvée de façon catégorique, mais il existe en sa faveur de fortes présomptions, et si elle est exacte, elle est grosse de conséquences. " Même si "aucun accident, et a fortiori aucun acte hostile, n'a eu pour origine certaine, du moins officiellement, un OVNI", la persistance du phénomène, estiment-ils, devrait donner lieu à une "réflexion sur les conséquences stratégiques, politiques et religieuses qu'entraînerait une éventuelle confirmation de cette hypothèse". Le général Bernard Norlain, ancien directeur de l'IHEDN, souligne, dans sa contribution au dossier, que "des problèmes concrets se posent, qui appellent une réponse en termes d'action".




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    PLATEAU D'ALBION

    Le plateau d'Albion en Provence est l'ancien site de lancement des missiles Sol Sol Balistiques de la France. Selon de nombreux ufologues, la base était à l'époque de son activité aux mains des gris une partie du personnel était d'origine extraterrestre.


    Dans les années 6, le Général De Gaulle veut une défense nucléaire utilisant les avions, les sous-marins mais aussi des missiles sol-air. En avril 1965 le gouvernement français choisit le site du plateau d'Albion pour implanter les missiles Sol Sol Balistiques car le site est correspond aux critères de sélection. La zone est à faible densité humaine et le sol est capable de permettre un bon ancrage des silos renfermant les missiles mais aussi capables d'amortir l'onde de choc en cas d'agression nucléaire.


    Il est prévu d'installer 27 Zones de Lancement et 3 Postes de Conduite de Tir (Pour cause de restrictions budgétaires, seuls 18 silos et 2 Postes de Tir seront implantés). Pendant plus de 5 ans, le plateau devient un immense chantier, les installations opérationnelles représentent 260 000 m3 de dérochage, 540 000 m3 de terrassements et de 150 000 m3 de béton.


    Les chemins départementaux sont transformés en un réseau routier moderne permettant le passage de convois de plusieurs centaines de tonnes. Une base aérienne (BA200) est créé sur une surface de plus de 400 hectares sur la commune de Saint Christol et plus de 2000 personnes y travailleront. Les travaux ne dénaturent pas le site, l'armée veillent à camoufler un maximum toutes les installations. Le site s'étend sur 800 km2, il englobe les installations de transmissions du Mont Ventoux, de la montagne de Lure et du Luberon.


    Les missiles sont commandés à distance depuis les 2 Postes de Conduite de Tir, enfouis sous terre. Chaque poste de tir a en charge 9 zones de lancement. L'un se trouve dans la Drôme près de Reilhannette et l'autre dans le Vaucluse près de Rustrel, à 35 km l'un de l'autre.


    Véritables bunkers dissimulés sous plusieurs centaines de mètres de roche, les Postes de Conduite de Tir sont conçus pour résister à toute attaque nucléaire, mais aussi pour éviter toute intrusion. Des galeries de 2 km de long y mènent. Une galerie souterraine de 4 m de diamètre, éclairée d'une lumière monte légèrement et interminablement, pour éviter une neutralisation ennemie par inondation. Elle présente des coudes à angle droit destinés à casser une onde de choc consécutive à une explosion nucléaire. Même rôle pour une galerie de roche appelée galerie anti-souffle. En cas d'effondrement de la galerie, un ingénieux système de puits hérité des Égyptiens permet de grimper jusqu'à l'air libre. Des clapets d'air, que l'on peut fermer, permettent une survie de longue durée aux 2 officiers qui se relaient en permanence.


    Dans la capsule de tir, il y a 2 locaux protégés par 3 m d'épaisseur de béton armé, montés sur vérins hydrauliques pour résister aux secousses, équipés en cage de Faraday et bourré d'écrans.


    Chacun des silos est nanti de son abri auxiliaire, et distant de 3 km de son voisin afin qu'une seule attaque ne détruise plusieurs sites à la fois mais que des frappes nucléaires simultanées annulent leurs effets (2 explosions nucléaires simultanées annulent une grande partie de leurs effets mécaniques). Un agresseur devrait donc détruire un 1er silo, puis un 2ème, etc. ce qui laisse le temps de la riposte.


    En septembre 1996 le Président Jacques Chirac annonce la fermeture et le démantèlement du site du plateau d’Albion. En décembre 1996 le ministère de la défense annonce qu’un régiment professionnalisé de l’armée de terre (légion étrangère) d’au moins 1000 hommes, complété par une unité de contre-espionnage et un escadron cynophile succédera au 1er GMS sur le site. En mai 1997 le projet de transformer le Postes de Conduite de Tir de Rustrel en laboratoire scientifique est lancé.


    A St Christol, les escadrons ont commencé à partir en août 1998 après les équipes du CEA et suivit en décembre des équipes de l'Aerospatiale. La passation de pouvoir avec la légion étrangère a été réalisée dans l'été 1999. Depuis, une centaines d'hommes séjournent plus ou moins en permanence sur la base aérienne.


    La base aérienne 200 a été rebaptisé caserne Maréchal Koenig. Elle accueille près de 1000 légionnaires. Depuis octobre 2003 la base accueille aussi une station d'écoute de la D.G.S.E. (Direction Générale de la Sécurité Extérieure) avec ses antennes radio qui emploie 150 personnes dans le cadre du réseau Echelon. Une fois démantelées, les installations du plateau d'Albion ont été rendu à la nature. Les portes ont été verrouillées et soudées et les zones de lancement recouvertes.



    LA BASE NUCLEAIRE ET LES OVNIS


    De source sure, après chaque ouverture réelle d'un silo, un ovni le survolait dans les 48 heures. Un immense vaisseau porteur plafonnait à une altitude de quelques milliers de mètre et larguait des sphèroïdes d'observation rapprochée. Un projet avait même vu le jour pour tenter d'observer ce phénomène. Les nombreux témoignages sur le plateau d'Albion proviennent tous plus ou moins des mêmes sources, ils ont été recueillis par Jimmy Grieu.


    Un instituteur à la retraite se promène à travers le chantier

    Au début des années 1970s, un soir, après l'arrêt des travaux de la journée, un instituteur à la retraite se promene à travers le chantier lorsqu'il tomba nez à nez avec un être de petite taille, à la tête volumineuse, à la peau grise, qui le fixe brièvement de ses grands yeux obliques avant de disparaître. Médusé, sans cacher la peur qu'il avait éprouvé, le retraité narre son histoire à une autre personne.




    Témoignage d'un appelé affecté à Albion en 1981


    « J'étais dans les commandos de l'air 3ème compagnie. A l'époque, notre mission était bien entendu la défense de la base de St Christol dont je faisais partie. Le plateau d'Albion disposait avant sont désarmement de 18 Zones de Lancement de missiles atomique, de 2 Poste de Commandement de Tirs et un en construction à l'époque... Les commandos étaient chargés d'effectuer des patrouilles régulièrement sur les différentes zones, dont la destination nous était donnée au dernier moment par radio en message codé lorsque nous quittions la base. Nous devions effectuer ces patrouilles environ toutes les 2 heures. la patrouille qui rentrait devait réveiller la relève qui prenait une mission vers d'autres zones. Un matin, je me suis réveillé vers 6 h et j'ai cru avoir raté ma patrouille qui était prévue vers 2 h et m'être rendormi. Après renseignements auprès du sous officier de semaine, il n'en était rien. La patrouille précédente avait déclenché l'alerte dans la nuit, signalant un objet non identifié en stationnement au-dessus de la ZL n° ? Dès lors, la gendarmerie mobile de la base et l'équipe d'intervention des commandos ainsi que le général de la base s'étaient rendus sur les lieux. L'alerte avait été donnée comme il se doit à la hiérarchie. Le surlendemain, un tout petit article dans le journal "le Provençal" précisait en quelques lignes brèves cet événement mais sans plus. C'était un sujet de discussions sur la base pendant quelques jours puis plus rien. Personne n'avait d'élément complémentaire. Cela restait donc une énigme. Quand je racontais çà dans mon entourage et au cours de discussions relatives aux phénomènes, je passais pour un demeuré.

    10 ans plus tard, en 1991, alors que je regardais une émission télévisée sur les phénomènes extra-terrestres, j'apprenais que ce fameux jour en 1981, les contrôleurs aériens avaient repéré par radar un ovni venant d'Espagne et se dirigeant vers les Pays de l'Est. 2 Mirages 2000 décollaient de la base d'Istres pour prendre en chasse l'objet lorsqu'il est entré dans l'espace aérien français. Cet ovni a donc été repéré et observé par plusieurs dizaines de personnes et non des moindres : contrôleurs aériens, commandos, gendarmes mobiles, station météo et certains gradés de la base dont le général. L'ovni quant à lui avait disparu, ne laissant à l'aviation aucune chance de pouvoir le rejoindre. Tout ceci à priori, s'est déroulé très rapidement. Néanmoins nous avons eu des informations réelles de ce qui s'est passé 10 ans après l'événement... De plus, à cette époque, j'habitais dans un village du Vaucluse, ou il nous est arrivé mon père et moi-même, de pouvoir observer à deux reprises des formes lumineuses passer à très grande vitesse dans le ciel et à courtes distances, mais nous n'en avions jamais parlé à personne pour les raisons que vous savez... »


    Un appelé Maître Chien à la fin des années 80 (témoignage enregistré le 10 octobre 1990)

    « J'ai été témoin de faits troublants durant mon séjour sur cette base. Je puis vous affirmer que de temps en temps des commandos totalement étrangers à la base prennent le contrôle de celle-ci pendant plus ou moins 48 h. Ils arrivent en convoi spécial, camions et voitures de couleur noire, leurs uniformes sont aussi de couleur noire, ils sont très grands avec une peau de couleur très blanche et portent en permanence des lunettes noires. Ces hommes ne se mélangent jamais avec les autres militaires de la base et ils prennent le contrôle total de celle ci, ils reçoivent leur nourriture par camions spéciaux et on ne peut que les apercevoir que la nuit.


    Un soir j'étais de garde avec mon chien et je suis passé à proximité d'une grande salle en sous-sol qui ne possédait que quelques petites fenêtres en hauteur. En passant devant ces petites fenêtres mon chien est devenu très nerveux, j'ai alors regardé par une de ces fenêtres et là j'ai vu ces hommes en réunion. La nuit était totale et personne ne pouvait m'apercevoir. Cependant au bout de quelques instants un de ces hommes s'est retourné en direction de cette fenêtre - comment a-t-il su que j'étais là, je ne le sais pas - à ce moment là une peur incompréhensible s'est emparée de moi et mon chien est devenu complètement fou. J'ai tiré mon chien et je suis parti très vite continuer mon tour de garde.


    Un autre soir étant encore de garde, j'aperçois par une fenêtre d'un local hautement sécurisé des faisceaux de lampes torches comme si quelqu'un cherchait quelque chose, la base était depuis l'arrivée de ces commandos en stade maximum d'alerte. J'avertis par radio l'officier de garde de cette anomalie mais celui ci me fait comprendre de passer mon chemin et que je n'avais rien vu.


    Je ne sais pas pourquoi mais à la fin de mon tour de garde j'ai consigné cette observation sur un carnet.


    Le lendemain matin un officier me fait appeler pour me dire que ceux que j'avais vu la nuit précédente était certainement une hallucination. Par la suite en rentrant dans ma chambre, mon placard personnel avait été fracturé et mon carnet de note ainsi que mon appareil photo avaient disparu.


    Un ami aussi maître chien avait, lui, pu prendre des photos de certaines choses anormales et il avait aussi dessiné un portrait d'un de ces hommes. On a retrouvé mon ami sauvagement tabassé à l'extérieur de la base et bien sûr son placard avait été vidé complètement. Comment avait-il fait pour sortir de la base, alors que celle ci, en alerte maximum, personne ne pouvait sortir ? Ces blessures étaient tellement graves qu'un hélicoptère est venu le chercher pour le rapatrier à l'hôpital militaire de Laveran à Marseille.


    Quand ces commandos étaient sur la base, on avait interdit aux maîtres chiens certaines zones, l'explication des officiers étaient que "les chiens sont trop sensibles".


    Les chiens avaient une peur terrible de ces hommes, quand les commandos étaient sur place tous les soirs ils hurlaient en bavant anormalement et en se tapant la tète contre les grilles de leurs cages et cette situation était invivable. Au lever du jour tout redevenait normal.


    Le vétérinaire - appelé du contingent et faisant des études pour devenir vétérinaire - était très étonné de la réaction incompréhensible des chiens. Il a voulu en savoir plus et a fait des prélèvements de salive et de sang sur quelques chiens, mais un officier lui a ordonné de laisser tomber ces analyses.


    Quelques jours plus tard mon chien est tombé malade et un autre vétérinaire totalement étranger à la base est venu le chercher. J'ai protesté vivement car je pense qu'on aurait pu le soigner sur place. C'est alors qu'un capitaine est venu vers moi en me disant "c'est une affaire top secret". Par la suite j'ai su que mon chien était mort et qu'il avait subi une autopsie. »




    Hommes en noir (1991)


    Le témoin travaille sur la base. Il confirme qu'effectivement il arrive que des commandos investissent le plateau d'Albion (la description des uniformes et des hommes concorde avec les autres sources d'informations). Ces hommes effectivement ne se déplacent que de nuit et prennent leurs repas indépendamment des autres militaires avec des rations qui leurs sont expédiées pour être totalement indépendant.




    Observation d'Ovnis (1991)


    Un officier de réserve du plateau d'Albion affirme que les pilotes d'hélicoptères de cette base ont à plusieurs reprises vu des ovnis sur le site et qu'il existe également un dossier top secret "ovni" avec des photos de ces engins. Il affirme également que des engins ont été observés pratiquement au ras du sol.




    Découvert spéléologique


    Des spéléologues amateurs décident d'explorer un gouffre à proximité du plateau d'Albion. Ils progressent dans diverses galeries et puits, et arrivés à un 3ème puits ils décident de prendre un peu de repos. Un des spéléologues Mr X décide de poursuivre et descend dans le puits. Arrivé au fond de ce puits il aperçoit une lumière bizarre, il avance et s'aperçoit que cette galerie est en fait une ouverture artificielle donnant dans une immense salle au sol blanc, lisse comme un miroir et éclairé par une lumière orange sans source apparente. Dans cette salle se trouve 5 ou 6 fauteuils blancs et de formes bizarres. Inquiet il décide de remonter vers ses camarades pour leur faire part de sa découverte. Les spéléologues décident donc de refaire surface et de revenir avec appareils photos et caméra vidéo. Quelques temps plus tard Mr X décide de revenir explorer ce gouffre, mais arrivé au 3ème puits, celui ci avait été totalement obstrué par une dalle de béton.







    OVNI ET ART

    Grotte de Pech-Merle et Cougnac - Ariège - France


    The White Lady from Brandberg - Nanibie


    Un ancien dessin dans une caverne de la montagne Brandberg en Nanibie, connu sous l'appellation "la dame blanche de Brandberg", montre une femme vêtu d'un pull, de gants, jaretières, collants. Derrière elle on voit un personnage avec une pipe à la main et portant une sorte de casque.


    Grotte de Pech-Merle et Cougnac - Ariège - France


    Grotte du Lot contemporaine de celle de Lascaux et correspondant au Style III (-1700 à -12000). On y découvre dans une niche la représentation, effectuée à la peinture rouge, d'un personnage aux yeux bridés et à la grosse tête ronde et dépourvue d'oreilles. Ce personnage semble être transpercé par des lances et au-dessus de lui est dessiné un signe ressemblant à un ovni avec un dôme supérieur vu de profil. Des formes très proches accompagnent une autre représentation d'un personnage blessé dans la grotte de Cougnac, située à environ 40 km de là. La proximité des 2 grottes peut laisser penser qu'il s'agirait là de l'évocation d'un même événement dramatique.




    Grotte de Lombrives à Niaux - Ariège - France


    Grotte de Lombrives à Niaux dans l'Ariège dont l'ensemble pariétal (les peintures rupestres) appartient au Style IV dit Ancien (de -12000 à -10000), époque où l'art préhistorique atteint son apogée. Aimé Michel à découvert à Niaux des symboles ressemblant de près aux ovnis lenticulaires et même, dans certains cas, accompagnés de signes en forme de pointillé et suggérant une idée de mouvement.





    Grotte des Trois frères (près de Saint-Girons) et de Ussac - Ariège - France


    Grottes de l'Ariège comportant des figures énigmatiques. La grotte des Trois frères recèle des centaines de gravures dont la plus spectaculaire figure un sorcier, mi-humain mi-animal. A Ussac, il existe un dessin montrant des personnages en habits modernes. Bien que le dessin soit effectivement ancien, il est réalisé dans un style qui se situe à mi-chemin du réalisme moderne et de l'Impressionisme.





    Grotte de Combarelles - Dordogne - France


    On y voit des graffitis dont la forme évoque les OVNI decrit par les témoins actuels.





    Grotte de Pair-non-Pair - Gironde - France


    Grotte de la Gironde contenant un ensemble rupestres du Style II (-2500 à -17000) incluant des gravures circulaires ou elliptiques avec, à l'intérieur, un cercle ou une ellipse concentrique.



    Grotte du Val Camonica - Italie

    Voici des peintures rupestres datant de 10000 avant JC. décrivant de bien curieux personnages en combinaison et scaphandre et d'étranges objets dans le ciel dans une grotte italienne non loin de Val Camonica en Italie du sud.



    Grotte d'Altamira - Espagne


    On y voit des graffitis dont la forme évoque les OVNI decrit par les témoins actuels.




    Grotte de Los Casares - Espagne


    Dessins rupestres des Grottes de Los Casares, dans la province de Guadalajara, découverts en 1933. Nous pouvons apprécier la présence de plusieurs "êtres" qu'on pourrait identifier à des "gris".




    Fresque de Tassili - Algérie


    Fresque de Jabbaren, dans le massif de Tassili en Algérie, au sud du Hoggar. Haut de 6m, ce personnage massif est remarquable par sa tête ronde, décorée de motifs divers. La silhouette est épaisse et tout fait penser à un scaphandrier surgi du fond des temps. Cette impression est encore accentuée par la présence de plis horizontaux à la hauteur du cou et d'autres, verticaux, sur la poitrine. Des détails qui évoquent un vêtement enveloppant. Notons au passage qu'un personnage très ressemblant peut être vu dans la grotte de Cabro (Var). S'il n'est pas le seul dans son genre, le "Grand Dieu des martiens" comme on l'appelle un peu par plaisanterie, est le plus impressionnant de ce que Jacques Gossart, de la revue belge Kadath, appelle les Têtes Rondes. Des Têtes Rondes que l'on retrouve sur un autre site du Tassili, à Séfar. Mais cette fois, elles sont beaucoup plus petites et lèvent les bras vers un être gigantesque, à l'aspect nettement non humain. En plusieurs endroits, on peut voir d'autres Têtes Rondes dessinées comme pour suggérer qu'elles sont en train de planer en l'air.



    Peintures rupestres aborigènes - Australie


    Peintures rupestres d'Aborigène trouvées dans des grottes à Kimberley en Australie. Probablement réalisées il y a plus 5000 ans. Il semblerait bien que les aborigènes aient dessiné des " êtres " que l'on pourrait qualifier aujourd'hui comme étant des " extra-terrestres ".




    Statuettes sumériennes ( environ- 4 000 avant J.C )


    Des artistes sumériens ont sculpté ces statuettes d'environ 14 centimètres, au corps d'humanoïdes mais à tête étrange et... toujours de grands yeux. Ces statuettes sont exposées au musée de Bagdad et date de 4 000 ans avant J.C




    Sceau sumérien ( environ - 4 000 avant J.C )


    Les " Annunakiens " des mythes sumériens, " ceux qui descendaient du ciel sur la Terre ", étaient des extra-terrestres venant d'une planète encore inconnue de notre système solaire.



    Sarcophage Maya - Palenque


    Au VIIe siècle, à Palenque, le corps du défunt roi Maya Pacal ( d'une taille supérieure à la moyenne ) fut placé dans un sarcophage autour duquel une pyramide fut érigée. La dalle recouvrant ce sarcophage est des plus troublante, car en la regardant horizontalement, certains veulent y voir un astronaute aux commandes de son engin, tandis que les archéologues essaient de nous expliquer qu'il faut regarder la dalle verticalement et que cela n'est qu'une synthèse des concepts fondamentaux de la religion des Mayas et que Pacal est assis sur "l'Arbre de Vie"...





    Maquettes d'avion Egyptiennes


    Découvert dans une tombe en 1898 à Saqqarah en Egypte, un objet ailé daté de 200 ans av. J.C. Dabbord répertorié comme figurine d'oiseau en bois et classé sous le n° 6347 dans le "rayon jouets" du musée du Caire. Quand en 1969, le Dr Khalil Messiha qui étudiait les maquettes des anciens égyptiens, fut intrigué : Formes aérodynamiques comparables à nos planeurs modernes, queue verticale et non horizontale, avec comme inscription : " don d'Amon ", le dieu du vent, il est en sycomore léger pèse 39 grammes, fait 14 centimètres de longueur pour 18 d'envergure, ses ailes sont en dièdre inverse, ce qui procure une grande stabilité en vol et est parfaitement " centré " car son centre de gravité se situe au tiers de la corde de l'aile. Cette maquette d'avion peut donc voler comme l'ont démontré les répliques en balsa qui ont été faites, en y rajoutant une pièce fendue à l'endroit marqué sur la queue faisant office de gouverne de profondeur. Il est maintenant étiqueté comme maquette d'avion. Les égyptiens étaient connus pour faire des maquettes de leurs projets de construction ainsi que des objets familiers au mort afin de les placer dans sa tombe pour l'éternité.



    Roue chinoise ( 1400 av. JC )


    Vieille illustration chinoise d'un livre fictif " l'Enquête Illustrée du Pays Mystérieux " ( -1400 ) avec le titre original suivant : " Le pays de Ji Gung : les gens pourraient faire des voitures volantes et voyager loin avec un vent approprié ".




    Prajnâpârâmita-Suna


    D'un ancien écrit de l'Est le " Prajnâpârâmita-Suna ". On voit les 2 objets qui ressemblent à des chapeaux, mais pourquoi sont-ils entre les figures et en l'air ? L'un d'entre eux a des trous.



    La naissance du christ - Grèce


    Illustration de "La naissance du christ" provenant d'un manuscrit greque "Le livre des Evangelistes" ( 12ème s. ). A droite, il y a 2 personages regardant l'objet semi-circulaire en hauteur, et des visages à l'intérieur. L'objet semble briller et envoyer un rayon de lumière sur la scène. Un des observateurs protège ses yeux, l'artiste essayait probablement de transmettre la luminosité de l'objet.



    Cathédrale Svetishoveli - Georgie


    Fresque du 17ème siècle dans la Cathédrale Svetishoveli , ville de Mtskheta en Géorgie. Remarquez les deux objets sur les côtés du Christ. Ce n'est pas la seule oeuvre ou le christ est représenté ainsi.



    Tapisserie de Beaune - France ( XIVème )


    Deux tapisseries du 14ème siècle de la basillique Notre-dame à Beaune, dépeignent la vie de Marie. On peut clairement voir des objets dans les deux tapisseries.



    La crucifixion - Kosovo ( 1350 )



    Ces deux objets proviennent d'une fresque intitulé "La crucifixion" datant de 1350. Elles sont au Kosovo dans le monastère Visoki Decani, placés au-dessus de l'autel.



    L'Annonce de Saint Emidius ( 1486 )


    Peinture de Carlo Crivelli (1430-1495) " l'Annonce de Saint Emidius " ( 1486 ) visible à la National Gallery, Londres. Un disque brillant en haut du tableau, en grossissant on peut voir des anges tourbillonant à l'intérieur de ce gros nuage en forme de cercle...



    Château de Conti Dotremond - Belgique


    Peinture sur bois près du château Conti Dotremond en Belgique. Moïse reçoit les tablettes, il y a plusieurs objets dans le ciel tout près. Date et artiste inconnu




    Le Miracle de la Neige - Italie


    La scène représente Jésus et Marie sur ce qui semble être des nuages lenticulaires. Le tableau "le Miracle de la Neige" et a été peint par Masolino Da Panicale ( 1383-1440 ) et est visible à l'église de Santa Maria Maggiore, Florence, l'Italie.




    La Madone et saint Giovannino - Italie ( XVème )


    La " Madone et saint Giovannino " a été peint au 15ème siècle par Domenico Ghirlandaio ( 1449-1494 ) et fait partie de la collection " Loeser " ( Palazzo Vecchio ). Au-dessus de l'épaule de Marie un homme regarde un disque volant !



    L'ascemption de la Vierge ( 1490 )


    " L'ascemption de la Vierge " par ANON, peint en 1490. Remarquez les nuages discoidal.



    Legende de La Croix - France ( 1460 )


    Piero Della Francesca et ses amis regardent des objets dans le ciel. Du manuscript " Legende de La Croix ". Il est possible que ce ne soit que des nuages...



    Marie au tombeau de Jésus


    Cette image représente Marie au tombeau de Jésus... Remarquez le dôme au-dessus du tombeau. Si c'est un bâtiment pourquoi plane-t-il ? Qu'est-ce que l'objet rond sur le sommet ?



    Médaille - France ( 1680 )


    Une médaille commémorant la vision ou la rencontre avec un objet, venant probablement du ciel ou la représentation d'un bouclier.



    La Glorification de l'Eucharistie - Italie ( 1600 )


    La Glorification de l'Eucharistie" de Bonaventura Salimbeni, peint vers 1600 dans l'église de San Lorenzo à San Pietro. Etrange représentation de la terre, du soleil et de la lune.



    Le Baptême du Christ ( 1770 )


    "Le Baptême du Christ" de l'artiste flemish Aert de Gelder peint en 1710 et visible dans le Fitzwilliam Museum, Cambridge. Un disque et des rayons lumineux au dessus du Baptiste de Jésus.



    Temple bouddhiste - Inde


    Illustration du temple bouddhiste de Dharamsala en Inde. C'est là où le Dalaï-lama vit en l'exil. Vous pouvez juste discerner six soucoupes dans le dessin !



    Livre des Bonnes Moeurs - France ( 1338 )


    Image provenant du " Livre Des Bonnes Moeurs " de Jacques Legrand, disponible à Chantilly au musée Condé.



    Le triomphe de l'Été - Belgique (1538 )


    Tapisserie appelée " le triomphe de l'Été " créé à Bruges en 1538. Maintenant au Musée National Bayerisches. Il y a clairement plusieurs disques dans le ciel de la tapisserie.



    Soucoupe - France ( 1908 )


    Une section entière d'une soucoupe volante, presque 40 ans avant que le terme fût inventé. Albert Robida " La Guerre Infernale ".



    ILLUSTRATION D'EVENEMENTS OVNIS


    Italie - Rome antique ( 216 av. JC. )


    Julius Obsequens, un historien romain païen du IVe siècle, relate dans son œuvre nommée Prodigia qu'en 216 av. JC, " des choses comme des nefs furent vues dans le ciel " de l'Italie. Le même phénomène réapparut au-dessus de Rome l'année suivante, et fut également observé au-dessus de la ville de Lanupium ( à 25 km de Rome ) en 170 av. JC., selon un texte allemand du XVIe siècle.



    Annales Laurissenses - France ( 776 )


    Ces images de deux croisés datant d'un manuscrit du 12ème siècle "Annales Laurissenses" se réfèrent à la vision d'un OVNI en 776, pendant le siège du château Sigiburg, en France. Les Saxons sont assiégés par les Français quand pendant la bataille un groupe de disques apparu planant sur l'église. Les Saxons penserens que les français étaient protégé par ces objets et s' enfuirent.



    Angers - France ( 842 )


    Illustration d'une vision d'un objet traverçant les cieux au dessus de la ville d' Angers en 842.



    Roue flamboyante ( Japon 900 )


    Illustration représentant la vision d'une roue brûlante ( roue céleste flamboyante ) pendant l'an 900, sur le Japon.



    Temporum ( 1465 )


    Illustration de Notabilia Temporum par Angelo de Tummulillis en Février 1465. Il décrit une poutrelle flambante vue dans le ciel pendant le règne d'Enrico IV.



    Prodigiorum Ac Ostentorum Chronicon ( 1479 )


    Extrait du " Prodigiorum Ac Ostentorum Chronicon " par le suisse Conrad Lycosthenes ( 1518-1561). Le dessin décrit la vision d'un OVNI en Arabie en 1479. Le livre est à l'Australian Museum Research Library.



    Nuremberg - Allemagne ( 4 avril 1561 )


    Des boules bleues, noires et rouges sang, ainsi que des disques et des croix rouges sang sortant de deux immenses cylindres noirs, se livrèrent bataille dans le ciel de Nuremberg. Certaines de ces sphères se seraient écrasées au sol à l'extérieur de la ville. Gravure sur bois de Hans Glasser. Collection Wickiana, Zurich Bibliothèque Centrale.



    Bâle - Suisse ( 17 et 18 juillet puis 7 août 1566 )


    Au-dessus de Bâle, pendant 2 jours en juillet et encore le 7 aout se déroula une bataille entre des sphères noires qui apparurent à l'aube. " Beaucoup devinrent rouges et ardentes, finissant par se consumer et disparaître ", écrivit Samuel Coccius, un étudiant qui consigna les étranges événement du 7 août 1566 dans la gazette de la ville.



    Les Transactions Philosophiques ( 1742 )


    Reconstitution avec les couleurs décrites dans un feuilletage du vol. 42 des Transactions Philosophiques 1742 décrivant une vision du 16 décembre 1742.




    Château de Windsor - Royaume Uni ( 1783 )


    18 Aout 1783 à 9h45 le soir, sur la terrasse du Château de Windsor, 4 témoins ont observé un objet lumineux dans le ciel. Selon le rapport enregistré l'année suivante ( Transactions Philosophiques de la Société Royale ), les témoins ont observé "un nuage oblong se déplaçant plus ou moins parallèlement à l'horizon". Sous ce nuage un objet lumineux qui est devenu sphérique et brillant. Cette sphère étrange a semblé d'abord être bleue pâle, mais alors sa luminosité a augmenté et s'est mise en route vers l'est. Puis a changé de direction et s'est déplacé parallèlement à l'horizon avant sa disparition au sud-est. Dessin de Thomas Sandby ( Royal Academy )




    Peterborough - ( 1909 )


    Objet au dessus de la cathédrale de Peterborough en mars 1909. Source: Peterborough Citizen & Advertiser

    Grotte du Val Camonica - Italie 1 Grotte du Val Camonica - Italie 2 Sceau sumérien ( environ - 4 000 avant J.C )  Maquette d'avion - Egypte 1 Maquette d'avion - Egypte 2 Prajnâpârâmita-Suna  La naissance du christ - Grèce Cathédrale Svetishoveli - Georgie Tapisserie de Beaune - France ( XIVème ) La crucifixion - Kosovo ( 1350 )  L'Annonce de Saint Emidius ( 1486 )  Château de Conti Dotremond - Belgique  Le Miracle de la Neige - Italie  La Madone et saint Giovannino - Italie ( XVème )  Médaille - France ( 1680 )  La Glorification de l'Eucharistie - Italie ( 1600 )  Le Baptême du Christ ( 1770 )  Livre des Bonnes Moeurs - France ( 1338 )  Annales Laurissenses - France ( 776 )  Bâle - Suisse ( 17 et 18 juillet puis 7 août 1566 )




    ROSWELL


    Un vaisseau extraterrestre se serait écrasé au Nouveau-Mexique, au début du mois juillet 1947.


    À première vue, nous pourrions croire à un canular, mais l'agitation que cet incident a causée dans le cercle scientifique, gouvernemental et juridique nous pousse à nous intéresser de plus près à cette affaire.


    Le fait est qu'avant l'incident de Roswell, de nombreuses observations d'OVNI avaient été déclarées par des pilotes d'avions et de nombreux civils au sol. Les observations avaient commencé le 25 juin 1947.




    Roswell : premiers incidents


    Le 2 juillet 1947 heures locales, à environ 10h, le quincaillier Dan Willmot et sa femme virent soudainement un grand objet brillant traverser le ciel du sud-est vers le nord-ouest avant de disparaître. Cependant, M. Wilmot et sa femme préférèrent se taire de peur de passer pour fous.


    Lydia Steppy, chargé du téléscripteur à la station radio KOAT d'Albuquerque (Nouveau-Mexique), reçoit un appel le 7 juillet 1947 vers 16h. C'est le sujet de cet appel qui déclenchera les jours suivants, une forte agitation à travers le monde. De l'autre coté du téléphone, M. McBoyle, propriétaire de la station KSWS, également dans le Nouveau-Mexique. Il appelle souvent à la radio KOAT afin de diffuser des informations par le téléscripteur car n'en possédant pas. L'appel est surprenant. M. McBoyle demande à Lydia Steppy de s'accrocher, car il annonce d'une voix excitée qu'un OVNI s'est écrasé dans les environs de Roswell. Il affirme s'y être rendu et avoir vu l'OVNI. Selon ses dires, l'engin ressemblerait à une soucoupe. Il mentionne aussi qu'un fermier a pris possession de l'engin et que l'armée devrait bientôt arriver pour l'embarquer. Il lui ordonne aussi de diffuser cette information sur le téléscripteur.


    À peine Lydia Steppy a-t-elle commencé à écrire que le téléscripteur s'arrête, fait très inhabituel. Elle tente aussitôt d'en avertir McBoyle mais celui-ci semble anxieux, il lui dit qu'il la reprend sur la ligne plus tard, puis la ligne est coupée. Le téléscripteur se remet alors en marche, mais cette fois pour envoyer un message : "Ne transmettez rien ". Par la suite McBoyle rappellera L. Steppy en lui disant de tout oublier, bien qu'il lui confirmera ses dire plus tard, mais cette fois en privé.


    Lydia Steppy fit part de cet incident à son patron, M. Tucker. Il semblait intrigué et avait peur que l'on ferme sa station. De plus, il n'avait aucun moyen de vérifier que l'incident avait eu lieu. M. Tucker interrogea de nombreuses personnes qui lui dirent que l'objet était tombé à l'ouest de Soccoro et pas à Roswell et que le shérif s'était rendu sur place et avait trouvé une soucoupe très abîmée...




    Communiqués de l'armée


    Le 8 juillet, lendemain même de l'incident du téléscripteur, le lieutenant Walter Haut, officier responsable de l'information du public à la base aérienne de Roswell, remettait à la presse un communiqué sans avoir obtenu d'autorisation du commandant de la base.


    Ce communiqué confirmait les nombreuses rumeurs concernant le disque volant qui s'était écrasé :


    - Un objet s'est écrasé sur les terres d'un fermier de Roswell.

    - Le fermier a transporté l'objet dans son hangar et a prévenu le shérif.

    - Le fait que l'objet avait été récupéré par l'armée avec la coopération du fermier et du shérif de comté de Chaves.

    - L'OVNI a été remis au quartier général de l'échelon supérieur.


    De nombreux journaux mondiaux publièrent le jour même ou le lendemain un article sur cet incident. L'article du Daily record titrait : "La force aérienne capture une soucoupe volante dans la région de Roswell. Aucun détail révélé sur les disques volants" et relatait les points les plus importants de l'affaire.


    Un autre article de la même édition révélait que l'opérateur radio et les pilotes d'un terrain privé à Carrizozo, 50 km de Roswell, avaient vu un objet analogue en vol. On pouvait croire à une fausse déclaration pour faire de la publicité pour son terrain, mais de nombreux témoins vinrent confirmer ce qui avait déjà été dit.


    Le communiqué de presse du lieutenant Haut n'est pas suffisant pour apporter davantage d'éléments. Toutefois, des détails apportés par d'autres témoins mentionnent une grande soucoupe volante, de débris inhabituels sur terre et d'une demi-douzaine d'humanoïdes de couleur pâle et de petite taille.




    Censures et désinformation ?


    Après le communiqué de presse, le lieutenant Haut eut tout le temps de regretter ses dires puisque le pentagone abattit la censure sur Roswell.


    Quelques heures plus tard, nouvelles informations. L'armée déclara que l'objet retrouvé n'était que des restes d'un ballon-sonde...


    M. Ramey, commandant à Fort Worth, fut informé par M. Vanderberg, chef adjoint de la force aérienne, que les pièces de l'objet se situaient à la base de Roswell. M. Ramey appela immédiatement le colonel Blanchard et lui fit part de son mécontentement pour le communiqué de presse et ordonna d'embarquer les restes de l'engin dans un B-29.


    Blanchard se hâta d'envoyer l'objet à la base aérienne de Fort Worth pour examen puis à Dayton (Ohio) pour examen plus approfondi.


    Le 9 septembre 1979 une interview de l'adjoint de M. Ramey, Thomas Jefferson Dubose, révèle que les ordres reçus par Ramey venaient de très haut et que le général Ramey s'était dépêché de se débarrasser de l'épave.


    Le Brigadier Général Roger M. Ramey, commandant de la 8ème Air Force et des débris de réflecteur radar présentés à la presse.


    Ramey se hâte de faire une déclaration à la presse. Il dit à ce moment que l'objet retrouvé est un ballon-sonde dont les fragments se trouvent dans son bureau et qu'ils n'en sortiront pas. Il annonce également qu'il regrette l'excitation des jours précédents à propos des OVNI. Selon lui, les observations d'OVNI précédents l'incident sont la cause de l'excitation autour d'un simple ballon-sonde.


    Le Général de Brigade Roger M. Ramey et le Lieutenant-Colonel Thomas J. Dubose.


    Autre fait troublant. Dubose, qui avait posé à la une des journaux avec Ramey à coté des débris du ballon sonde soit disant retrouvé, devint chef d'état major de la 8ème force aérienne de Fort Worth. Une récompense pour avoir su dissimuler l'incident ?


    On peut aussi noter que Newton, responsable au centre météorologique, avait été convoqué d'urgence par Ramey afin qu'il fasse une déclaration à la presse. Déclaration dans laquelle il devait confirmer que les fragments retrouvés étaient bien ceux d'un ballon-sonde de type Rawin.


    Newton fit cette déclaration, montrant à la presse du tissu métallique provenant d'un vrai ballon-sonde. Toutefois, après son expertise du véritable objet, il fut licencié. Newton déclara par la suite que l'objet qu'il avait eu entre les mains n'était certainement pas un ballon-sonde, il en était sûr. Le métal qu'il avait eu entre les mains était indéformable et ne savait pas ce que c'était.


    Des personnes ayant travaillé précédemment sur des crashs de ballon-sonde sont catégoriques. Dans le cas de Roswell et d'après la description donnée, l'hypothèse du ballon-sonde est à éliminer.


    Le 9 juillet les démentis se cumulent dans la presse. Les informations volent. Les gros titres accusent : "Harcelé, le fermier ayant reconnu la soucoupe volante se repent d'en avoir parlé."


    Brazel dut faire une déclaration de presse. Il déclara que ce qui avait été trouvé à Roswell pouvait ne pas être un ballon-sonde. Après tout, l'erreur est humaine. L'expert a pu se tromper. Mais il n'en dit pas plus.


    Le lendemain le Daily record titrait : "Et maintenant, qu'est-ce que c'est ?" La ligne téléphonique du journal fut saturée d'appel.


    La presse harcela alors le colonel Blanchard afin d'obtenir d'autres renseignements sur l'engin. Mais le colonel partit soudainement en congé le 8 juillet 1947 ; au même moment où le major Marcel s'envolait avec les débris vers Carswell.


    Le général Blanchard, aujourd'hui décédé, était réputé très qualifié. Sa femme révéla dans une interview qu'il savait que les fragments n'étaient pas ceux d'un ballon-sonde. Il savait même que l'objet n'était pas de fabrication américaine, ni russe.


    Pendant ce temps le chef de la division A-2 au service des renseignements organisait des réunions dans le but de calmer l'agitation créée par les OVNI.


    Le 10 juillet 1947, selon les archives de Fort Worth, le colonel Irvin, adjoint au chef d'état major du commandement stratégique de l'air, rendit visite au général Ramey. L'objet de la visite ne fut pas révélé.


    Le lieutenant Bohanon, responsable du secteur photographie de Roswell qui opérait lorsque des crashs survenaient, fut muté et aucune photographie ne fut prise.


    Le 18 juillet 1947, le lieutenant Jennings qui avait remplacé temporairement Blanchard au commandement, disparut tragiquement en survolant le triangle des Bermudes. Aucun survivant, aucune épave.


    De nombreux livres furent écrits suite à cet incident comme "Behind the flying saucer" de Frank Scully. Beaucoup de ces écrivains avaient écrit sans même faire une seule vérification de ce qu'il avait entendu. Pourtant beaucoup d'entre eux furent critiqués et censurés. Pourquoi un tel acte s'ils n'avaient même pas pris la peine de vérifier leur propos ?


    Suite à l'incident de Roswell, l'armée décida de surveiller continuellement les OVNI, ce qui donna naissance notamment au projet Blue Book, projet pour les enquêtes publiques sur les OVNI.


    De nombreux témoins ont parlé (le fermier, des militaires haut placés, des civils) sans être réellement écouté. Mais le fait est que toutes les dépositions ont des points communs, que ce soit la description de l'extraterrestre, comme les actions de l'armée concernant la soucoupe ou alors concernant la soucoupe en elle-même. Par la suite, la médiatisation de l'affaire s'est atténuée malgré les nombreuses personnes cherchant la vérité et à harcelant le gouvernement américain afin de faire apparaître la vérité. De nombreuses associations furent créées pour connaître la vérité sur l'affaire du disque de Roswell, en vain...




    Rebondissement


    Vers 1980, M. Berlitz Charles, accompagné d'autres membres, reprennent l'enquête afin de mettre à jour des événements nouveaux, pas encore mentionnés. Il reprend tous les faits point par point, interroge à nouveau le fermier, des hauts placés dans l’US ARMY et des civils.


    À la suite de son enquête, il publie un livre faisant trembler les USA. L'armée et le gouvernement américain sont en panique : l'enquête révèle que l'armée se serait débrouillée pour récupérer l'épave, faire croire aux gens que l'OVNI n'était en réalité qu'un ballon sonde, éliminer toute personne gênante et contrôler les médias ainsi que les témoignages de civils.


    Mais la vague de panique s'estompe vite et le silence revient.


    On ne sait donc toujours pas la vérité...



    La vidéo


    Le silence est revenu, mais l'affaire n'en reste pas là.


    En 1995, le producteur Ray Santilli affirme posséder une preuve de la théorie UFO de Roswell : l'enregistrement vidéo de l'autopsie d'un extraterrestre retrouvé par l'armée à Roswell. Suite à la diffusion de ce film le 5 mai 1995 au musée de Londres, la thèse du complot gouvernemental est alors privilégiée par tout le monde.


    Le film de l'autopsie remonte à 1992 et a été acheté par le producteur chez un ancien cameraman de l'armée, Jack Barnett. C'est un enregistrement de 17 minutes en noir et blanc de qualité médiocre. On y voit deux médecins masqués, un cameraman ainsi qu'un humanoïde se faisant autopsier, l'endroit restant indéterminé.


    La taille de l'extraterrestre est évaluée à 1,20 mètre. La tête et le ventre sont disproportionnés par rapport au reste du corps, aucune blessure visible. Ce film a rapporté plusieurs millions de dollars à Ray Santilli. Toutefois, des doutes sur l'authenticité du document surgissent et le document vidéo est vite identifié comme un faux. En voici les causes :


    - L'homme qui aurait vendu le film à Santilli est décédé en 1967.


    - Personne n'a jamais vu les originaux, juste des copies.


    - Selon les professionnels de l'époque, la façon dont est tourné le film est très inhabituelle.


    - Le cameraman se déplace alors que dans les vidéos officielles d'autopsie, la caméra est fixe.


    - Qualité très médiocre.



    - L'autopsie n'est pas réalisée correctement. Les instruments n'étant pas tenus de la bonne façon.


    - L'extraterrestre ne présente aucune blessure.


    - Des experts en effets spéciaux et maquillages sont sûrs que l'extraterrestre est un mannequin.


    - De plus, l'extraterrestre décrit par les témoins et celui qui figure sur la vidéo est complètement différent.



    Saurons-nous un jour la vérité ?


    Suite à ce film identifié comme faux, la thèse ufologique a perdu beaucoup de sa crédibilité. La thèse officielle est donc le crash d'un ballon-sonde, cependant de nombreuses personnes restent convaincues du complot gouvernemental.



    Sur le même sujet :


    Dépêche DXR 54 de l'United Press (UP) du 8 juillet 1947 – Voir photo


    Traduction de la dépêche :




    ENCORE DES DISQUES VOLANTS (DXR53)


    LE BUREAU DU RENSEIGNEMENT RAPPORTE QU'IL EST ENTRE EN POSSESSION DU "DISQUE" PAR LA COOPERATION D'UN FERMIER DE ROSWELL ET DU SHERIFF GEORGE WILSON DE ROSWELL.


    LE DISQUE A ATTERRI SUR LES TERRES D'UN RANCH PRES DE ROSWELL A UN CERTAIN MOMENT LA SEMAINE DERNIERE. N'AYANT PAS LE TELEPHONE, LE FERMIER, DONT LE NOM N'A PAS ENCORE ETE OBTENU, A RANGE LE DISQUE JUSQU'AU MOMENT OU IL A PU CONTACTER LE BUREAU DU SHERIFF DE ROSWELL.


    LE BUREAU DU SHERIFF A ENSUITE AVERTI UN MAJOR OF DU BUREAU DU RENSEIGNEMENT DU 509EME.


    ON A AGI TOUT DE SUITE ET LE DISQUE A ETE PRIS AU DOMICILE DU FERMIER ET APPORTE A LA BASE AERIENNE DE ROSWELL. APRES AVOIR ETE EXAMINE, LE DISQUE A ETE ENVOYE EN AVION SUPER-FORTERESSE PAR DES OFFICIERS DU RENSEIGNEMENT VERS DES "QUARTIERS GENERAUX PLUS IMPORTANTS."


    LA BASE AERIENNE A REFUSE DE DONNER DES DETAILS SUR LA CONSTRUCTION DU DISQUE OU SON ASPECT.


    DES HABITANTS PRES DU RANCH SUR LEQUEL LE DISQUE A ETE TROUVE ONT RAPPORTE AVOIR VU UNE LUMIERE BLEUE ETRANGE IL Y A PLUSIEURS JOURS A ENVIRON TROIS HEURES DU MATIN.





    INPLANTS EXTRATERRESTRES


    Depuis de nombreuses années une quantité phénoménale de personnes, hommes, femmes et même des enfants, ayant été témoin d'une observation d'OVNI ou déclarant voir fait l'objet d'un enlèvement, découvrent, parfois bien plus tard, un minuscule corps étranger à l'intérieur de leur organisme.


    Celui-ci est détecté après un scanner ou examen radiologique, l'"hôte", se plaignant souvent de ressentir une gêne ou même des douleurs à l'endroit de l'implant. Une petite cicatrice peut également être visible.




    Usage et composition d'un implant "extraterrestre"


    Certains chercheurs pensent que ces implants pourraient être des objets artificiels placés par des extraterrestres dans le corps des "enlevés", dans le but de pouvoir les suivre, contrôler leurs mouvements et même leurs fonctions biologiques !


    Pour d'autres il s'agirait d'un fragment de météorite, à cause de la composition du corps étranger dans lequel on retrouve, entre autre, Ferro-nickel, chlorapatite et chlorique, sont retrouvés. Ces substances sont fréquemment identifiées dans les météorites.


    Mais que ferait donc un morceau de météorite dans le corps d'une personne affirmant avoir fait l'objet d'un enlèvement extraterrestre ?




    Analyse d'un implant


    L'analyse en général ne révèle rien d'extraordinaire, la coque extérieure est composée de kératine, matière naturelle, se formant habituellement autour de tout corps étranger invasif, se trouvant dans le corps humain.


    Des moyens d'analyse poussés mis en action (microscope électronique, spectroscope, rayons X, chimie), permettent d'étudier la composition, la densité et propriétés électromagnétiques des implants.


    Résultats, les objets sont composés de multiples bandes de ferro-nickel à haute densité, avec traces de chlorapatite et de chlorique, substances courantes des météorites.


    Pour ce qui est de la chimie, les analyses mettent en évidence, du bore un métalloïde absent du corps humain ! Soumis aux ultraviolets, les implants rougeoient. La taille des objets varie entre 1,5 mm et 4 mm.


    Au moins un de ces implants analysés contenait un micro-élément poli et gravé. Des membres d'une société connue produisant des microprocesseurs et des éléments informatiques ont déclarés qu'il s'agissait d'un dispositif sophistiqué, cet objet pourrait fonctionner comme un émetteur-récepteur !




    Apparence et disposition


    Un implant peu prendre plusieurs formes, généralement il est triangulaire et bien fini. Les études font ressortir que celui-ci se trouve le plus souvent dans les sinus, la nuque, l'abdomen et les pieds.


    La nature de ces implants aurait pour fonction de localiser les sujets implantés, de contrôler la pensée et même de procurer des pouvoirs télépathiques, mais tout cela reste à prouver.




    Conclusions


    De nombreux spécialistes, physiciens, psychiatres, orthopédistes et autres chirurgiens, continuent à étudier et à débattre sur la nature de ces implants. Origine naturelle ou extraterrestre ?


    Les premiers cas remontent à 1966 ! Certains sont convaincus que ce sont des objets extraterrestres, d'autres émettent l'hypothèse selon laquelle cela pourrait être un objet ayant pénétré dans le corps, comme par exemple une tête d'épingle, absorbé par les tissus humains et qui voyagerait dans celui-ci comme "kyste".


    Pouvons-nous considérer que ces implants sont la preuve ultime qu'il y a présence et activité extraterrestre ? Rien n'est moins sûr ! Nous sommes dans l'expectative, en attendant peut-être un jour la preuve indubitable et incontournable qui mettra fin au doute.





    LES UMMITES


    De 1950 à nos jours…


    Introduction


    Un message émis par la Terre aux premiers temps de la radio en 1934 aurait été reçu en 1949, soit 15 années plus tard par les habitants de la planète UMMO.


    Les Ummites grands explorateurs de la Voie Lactée, décident, après plusieurs mois d'observation, d'envoyer sur Terre un corps expéditionnaire de quelques individus, dont le vaisseau spatial atterrira, pour la première fois, le 28 mars 1950 à 4h17 GMT dans les environs de Digne dans les Alpes de Haute-Provence.




    La genèse de l'affaire


    De là, les Ummites vont essaimer un peu partout, en particulier en Allemagne de l'Ouest, en Australie, au Canada et surtout en Espagne. Dans ce pays, en 1965, ils prennent contact avec un certain Fernando SESMA, aujourd'hui décédé, et qui s'intéressait à l'époque au phénomène ovni.


    Les Ummites se sont alors mis à expédier par la poste à différentes personnes, des milliers de documents souvent techniques, décrivant leur langage, leurs vaisseaux, leur vie sur leur planète d'origine, etc...


    Dans ces documents, ils affirment appartenir à un Club Cosmique et avouent modestement avoir été eux même visités pendant très longtemps par des gens extrêmement évolués, qu'ils n'ont parfois jamais réussi à identifier. Ils affirment également qu'ils disposent d'engins très rapides qui, pour transcender la vitesse de la lumière, utilisent une astuce de physique que nous n'avons pas encore découverte et qui leur permet de joindre la Terre en 6 mois environ, alors que la lumière elle-même met 14,421 années pour faire le trajet.


    Dans une lettre adressée à F. SESMA, les Ummites affirment avoir exploré près de 400 systèmes et n'avoir trouvé qu'une seule civilisation ayant le même degré d'avancement qu'eux: Des gens petits avec une grosse tête et une autre planète était habitée par des hommes préhistoriques.


    C'est dire leur satisfaction d'avoir découvert notre terre dont les habitants sont physiquement très semblables aux Ummites. Ils possèdent quelques différences morphologiques avec nous, comme l'absence de glotte, mais ces différences sont suffisamment mineures pour pouvoir leur permettre de passer tout à fait inaperçus sur notre planète.


    Ils nous révèlent aussi que d'après leurs enquêtes dans les milieux ufologiques, que la Terre est apparemment très visitée par de nombreuses civilisations d'extra-terrestres qui circulent dans le Cosmos.


    Ils ont eux-même des vaisseaux spatiaux reconnaissables par la marque ressemblant à notre "H", mais dont le trait horizontal est barré en son milieu et inscrite sur la partie inférieure de chaque engin.


    Les destinataires des multiples documents envoyés par les Ummites aux terriens, sont en général des gens ayant un niveau de culture assez élevé, mais ce sont rarement des scientifiques.


    Les ummites s'adressent en général aux professions libérales, aux ecclésiastiques, aux journalistes, aux membres des grands services publics, etc... Pourtant ces gens reçoivent chacun des centaines de pages se référant à la structure intime du Cosmos, à la technologie des nefs spatiales ummites, à la logique fondamentale, à la structure de la matière. Ces documents resteront longtemps inexploités jusqu'en 1971 où fut organisé à Madrid le premier symposium, suivi d'un plus important en Mai 1973 à Barcelone qui lui, fit l'objet d'un compte rendu de 219 pages de grand format.


    Pourquoi ces Ummites agissent-ils donc ainsi? Ils nous l'expliquent fort bien en nous donnant une leçon de savoir-vivre: Ce transfert bien dosé de connaissances ummites est une sorte de contrepartie à leur présence parasitaire sur la Terre. En quelque sorte, ils nous dédommagent du flot d'information qu'ils extraient, à notre insu, du contexte de notre civilisation.


    L'astrophysicien français J.P.PETIT qui a lui aussi reçu en 1992 une lettre ummite venant de Ryad, a d'ailleurs, dans un livre paru en novembre 1991, fait des révélations fracassantes sur ce sujet




    Prolongements pouvant être révélateurs.


    Dans un rapport de 50 pages, formé de six lettres, allant de Jan 67 à Juin 67 et qui donne des détails très minutieux sur leur débarquement le 28 mars 1950 entre Digne et la Javie dans le département des Basses-Alpes.


    Ils affirment avoir "creuser dans le sol à huit mètres de profondeur une mini base dont l'accès est parfaitement camouflée et qui est en forme de galerie de 4 mètres de longueur, étayée par des cintres extensibles, modulaires faits d'un alliage de magnésium et se trouvant dans l'un des contreforts montagneux de la région à proximité du Pic du Cheval-Blanc dont le sommet culmine à 2323 mètres."


    Nous avons appris que des manœuvres militaires ultrasecrètes, (puisque les administrations municipales n'ont même pas été averties à cette occasion,) ont eu lieu justement dans la montagne du Cheval Blanc et que les curieux étaient impitoyablement écartés à ce moment là.


    Cela prouve sans l'ombre, d'un doute que l'on recherchait cette fameuse galerie qui a été probablement découverte avec les moyens sophistiqués et autres radars que possède l'Armée. Pourquoi ceci est-il encore sous le boisseau alors que la Défense Nationale n'est plus ici en cause, après 50 ans de mutisme et qu'une telle découverte fait partie indiscutablement du patrimoine de l'Humanité ? C'est par exemple, exactement comme-ci le pays d'Israël qui a découvert les manuscrits de la Mer Morte avait voulu les confiner pour lui seul dans ses laboratoires pour de vulgaires questions de prestige et puissance du pays.




    Pages cosernant les Ummites


    Il nous reste cependant une possibilité. En effet les ummites ont dans ce même rapport de 50 pages, avoué avoir, dans la nuit du 24 au 25 avril 1950, organisé un fantastique "raid", sur une ferme de la région où, après avoir, vers 3 heures du matin, anesthésié en plein sommeil tous les occupants dont trois enfants, ils ont dérobé sur les lieux, de multiples objets : (voir le livre de J-P-Petit : Enquêtes sur des ET qui sont déjà parmi nous ) et surtout ce qui est très important pour notre débat : 70000 francs, des pièces d'identité, et enfin ils ont arrachés un interrupteur et le compteur électrique. Pensez-vous qu’il arrive très souvent que l'on dérobe le compteur électrique d'une maison ?


    Il est donc impensable que le fermier n'ait pas porté plainte le lendemain ou les jours suivants à la gendarmerie la plus proche de son domicile ? Il semblerait que la ferme serait celle de la Bergerie du Défend au Nord-est du col de la Cine appartenant au père Violat, hélas décédé depuis.


    Précisons pour terminer cette affaire que les Ummites avouent aussi avoir largement dédommagé ce propriétaire qui n'avait donc aucun intérêt à l'époque à le crier sur les toits. Mais près de 50 ans après, nous espérons que ces scrupules, bien excusables, seront vite balayés et nous exhortons toute personne, ayant connu le Père Violat, de son vivant, ou ayant connu ses proches et qui possède une quelconque information, même insignifiante au sujet de cette plainte déposée à la gendarmerie par ce fermier, de nous écrire sur le Web, ou de courir chez le plus proche journaliste ( Ceux de "Science et Vie" mis à part, car ils ont tourné cette affaire en dérision dans leur n° de Nov.91) pour faire éclater l'incroyable vérité.


    De plus Jean-Pierre Petit dans son ouvrage "le mystère des Ummites" chez Albin Michel en Sep. 95, à la page 163, nous précise en effet que le cartable d'un des enfants avait été dérobé avec son contenu, mais aussi une encyclopédie enfantine (à qui appartenait-elle parmi les 3 enfants? quels étaient leurs âges?), et de même ont été dérobés toutes les chaussures de la maison et donc celles, entre autres sans doute, des enfants scolarisés.


    On peut donc supposer puisque l'on n'a pas d'indication sur l'âge des enfants, qu'au moins deux étaient encore scolarisés à l'époque et cela s'il n'y avait pas de vacances à ce moment là (détail à contrôler).


    On peut enfin aussi imaginer que ces deux enfants n'ont pas pu se rendre en classe sans être perturbé par détails évoqués plus haut et sans en parler à leur maître ou maîtresse, qui pourrait alors confirmer leur mésaventure.


    Il faut donc absolument retrouver ces enfants, si l'on connaît leurs noms, (et qui seraient parait-il dans la région d'AIX) et les faire confirmer par affidavits (simple déclaration signées), le moindre détail de cette affaire.


    En effet seuls les écrits signés de ces enfants et non pas leur simple confirmation orale, peuvent compter dans cette fantastique affaire qui (s'il s'avère qu'elle est authentique) concerne indubitablement, nous le répétons à dessein, la plus grande Histoire de l'Humanité.


    On pourrait aussi retrouver les camarades de classe de ces enfants, qui ont dû bien rigoler à l'époque, des mésaventures de leurs copains, mais qui aujourd'hui tomberaient proprement à la renverse en apprenant ce qui s'est réellement passé.


    Il y a aussi les travailleurs espagnols du Père Violat dont on pourrait retrouver la trace si l'on arrivait à déterminer leurs noms.


    Il y a aussi surtout les gendarmes, qui auraient enregistré cette plainte (s'ils sont encore vivants, donc il faut faire vite pour les retrouver) et dont le témoignage serait capital dans cette affaire.


    D'autre part, il ne doit pas être plus difficile non plus de retrouver par exemple auprès des services de "L'EDF", la demande d'installation d'un nouveau compteur, par le père Violat quelques jours après le 24 Avril 1950 et surtout le procès-verbal d'installation de ce nouveau compteur par le technicien requis, si ces archives n'ont pas malheureusement été détruites.


    On pourrait aussi retrouver les documents ayant servis, un peu plus tard, à établir de nouveaux papiers d'identité, puisque certaines pièces d'identité de la famille Violat avaient aussi été emportées. Il y a donc bien là, de quoi tenter un bon détective qui pourrait écrire ensuite tout un livre, tant les faits sont scabreux dans cette aventure, livre qui pourrait (si les détails vérifiées s'avéraient authentiques) modifier complètement notre manière d'appréhender l'histoire notre planète Terre et même nous forcerait d'adopter une autre compréhension de l'Univers.


    D'autre part, (au cas très improbable où cette affaire a été "classifiée" en "Secret Défense" car en 1950, personne ne pourrait imaginer que la simple disparition de quelques objets dans une ferme était reliée à une affaire d'extraterrestres), nous demandons donc à tous les professionnels de la Jurisprudence et des articles de loi, de rechercher si en France, nous n'avons pas une "Loi cachée", comme aux Etats-Unis, (la loi F.O.I.P.A, Freedom of Information and Privacy Act: loi sur l'accès du public aux documents déclassifiés promulguée le 4 Juillet 1974,) qui obligerait le gouvernement à ouvrir les dossiers déclassifiés de la gendarmerie (qui malheureusement ne conserve que rarement les dossiers antérieurs à 10 ans) ou aussi les dossiers du Greffe du Tribunal d'Instance(qui devrait les conserver un peu plus longtemps) et donc à forcer les autorités à dévoiler leur jeu dans cette fantastique affaire des Ummites.





    LES HOMMES EN NOIR

    Hommes en noir


    Créatures possédant toutes les apparences d'un être humain, mais de nature non terrestre, et qui feraient irruption dans la vie des témoins et des chercheurs d'OVNI.


    Les chercheurs se sont penchés sur plus de 30 cas de visites d'Hommes en noir.


    Ils se montrent parfois seuls mais, le plus souvent, ils sont par groupes de trois. Ils manifestent une grande perplexité devant des objets aussi banals pour nous qu'un stylo ou des couverts.


    Il semble que leur mission soit de dissuader les gens de parler des OVNI ou de chercher à se renseigner sur eux.


    Une théorie ancienne et tenace tient les Hommes en noir pour des agents du gouvernement désireux d'étouffer la vérité sur les OVNI.


    Aujourd'hui, on a plutôt tendance à penser que ces visiteurs sont soit une illusion des témoins, déjà troublés par une rencontre réelle ou imaginaire avec un OVNI, soit des farces montées de toutes pièces par des plaisantins.





    THEOPHRASTE PARACELSE


    Théophraste Paracelse (1491-1541) ou en réalité Philippe Bombast, un suisse-allemand, «fut un incontestable novateur en Médecine, ne craignant pas de mélanger sorcellerie et science». Voilà comment nous le décrit René Schwaeblé dans sa traduction française de 1911 des Grimoires de Paracelse. Il en fait même une certaine éloge : «Ce prodigieux génie semble avoir tout embrassé, tout approfondi. Son œuvre est l’encyclopédie de science et de philosophie la plus complète qui existe». Il dit aussi : «La personnalité de Paracelse oubliée, chacun, astronome, astrologue, médecin, chirurgien, philosophe, pharmacien, sorcier, chimiste trouvera dans sa formidable encyclopédie ce dont il a besoin». Et pour finir : «Paracelse n’appartient donc à aucune école. Ou, plutôt, il appartient à toutes les écoles».


    On trouve dans ses Grimoires une théorie complète et plutôt satisfaisante sur l’organisation d’un monde caché qui vient régulièrement nous visiter et qu’on appelle de nos jours d’un terme générique « les OVNI ».


    Paracelse a un autre vocabulaire et nous décrit sous la forme de traiter l’existence de créatures intelligentes non humaines, mais pouvant y ressembler et, vivant dans des dimensions parallèles, basées sur les quatre éléments que la majorité des terriens vénère : l’eau, la terre, l’air et le feu.


    Selon certaines écoles philosophiques, l’homme a été créé à l’image de Dieu, donc il en a la pensée créatrice. C’est-à-dire que les hommes projettent continuellement leurs pensées «supérieures» vers une «sphère réflectrice supérieure» et leurs pensées «inférieures» vers une «sphère réflectrice inférieure».


    Cette capacité créatrice est à la base de nombre d’illusions et d’hallucinations mais l’idée intéressante est qu’elle génère de nouvelles entités intelligentes, voire autonomes et capables, à leur tour, de créer d’autres entités. Ces entités parfois se mélangent avec d’autres, aussi créées par Dieu, pour le fonctionnement de l’Univers, etc.


    Dans la sphère supérieure nous allons trouver par exemple des créatures du type angélique, sensées nous aider à nous rapprocher d’un meilleur monde, quand elles sont positives.


    Inversement les créatures de la sphère inférieure essayent d’accéder à notre monde en se servant de la capacité créatrice des humains, pour cela ils imitent souvent ce que font les entités supérieures.


    Sans faire de politique je dirai que nos sociétés sont basées sur le même principe d’évolution : le citoyen moyen tente d’accéder au niveau du riche avec l’aide de celui-ci, si c’est dans son intérêt ; quant au pauvre, il essaiera de s’approprier tout ou partie des biens du citoyen moyen, en espérant ainsi accéder à son niveau.


    Ainsi de tous temps, les traditions populaires nous parlent de créatures qui interférent avec notre monde. A ma connaissance c’est Jacques Vallée dans son livre «Visa pour la Magonie» qui avait lancé l’idée d’un parallèle (il y a aussi eu Bertrand Méheust) entre les folklores passés genre fées et lutins, et le folklore actuel, genre grand blond et petit gris.


    L’idée fut reprise plus récemment par Jean Sider dans son livre « OVNIS: dossier secret » où il fait un rapprochement significatif entre des éléments de l’ufologie et des éléments prélevés dans quatre ouvrages folkloriques.


    Certains ufologues ont cru y voir un signe de la présence Extra-terrestre, depuis l’origine de l’homme. D’autres psycho-socio-logues, au contraire, partant du fait que le folklore de nos ancêtres résultait de leur imagination, en ont déduit que les OVNI actuels sont des hallucinations, chaque fois qu’ils ne sont pas explicables autrement.


    Comme toujours la «réalité» se ballade entre ces deux extrêmes et nous allons voir dans ce qui suit, comment Paracelse a fait, il y a 5 siècles, la synthèse des traditions populaires de son époque ; les traditions populaires n’étant pas des hallucinations, mais plutôt des vérités historiques déformées par le temps et la transmission orale.


    L’habitation de ces créatures.


    « Celles qui habitent dans l’eau s’appellent Nymphes, dans l’air Sylphes, dans la terre Pygmées, dans le feu Salamandres. »




    Pour info :


    Sylphe = Sylvestre , Yéti , Sasquatch , Big Foot , Abominable Homme des Neiges ... Un Sylphe qui a un rapport avec une femme peut engendrer un Géant hybride.


    Pygmée = Gnome , Lutin , Farfadet , Homuncule ...

    Un Pygmée qui utilise une femme peut engendrer un Nain hybride.

    Les Pygmées peuvent engendrer les Monaches à l’apparence humaine.


    Salamandre = Vulcain , Etnéen ...

    Les Salamandres peuvent engendrer les Manes et les Scintilles.


    Nymphe = Ondin ...

    La Nymphe qui a un rapport avec un homme peut engendrer un hybride.

    Les Nymphes peuvent engendrer les Syrènes ou des Monaches.

    Le mot Elfe peut désigner indifféremment toutes ces créatures.



    «Les Gnomes traversent sans la moindre difficulté les rocs les plus denses»


    «Nous avons l’eau pour apaiser notre soif. Pour apaiser la leur, ces êtres ont une eau qui nous est inconnue et que nous ne pouvons voir. Ils ont besoin de manger et de boire, mais ils mangent et boivent ce qui est aliment et boisson pour eux. »


    «Ils se donnent des grades, des magistrats, des chefs, comme les abeilles élisent une reine, ou les bêtes sauvages se choisissent un guide.»


    «Quant à leur physique, il est bien évident qu’il varie : les Nymphes des deux sexes ont l’aspect humain, les Sylphes sont plus épais, plus grands, plus robustes, les Gnomes plus petits, hauts environ de deux palmes» (1m20)


    «Les Gnomes habitent dans les montagnes»


    Description de quelques créatures de la sphère inférieure


    « les passages entre guillemets sont extraits des Grimoires de Paracelse »


    ( les passages entre parenthèses sont des annotations explicites )


    «Ces êtres, bien qu’ayant apparence humaine, ont une origine absolument différente de celle des hommes et de celle des animaux. Ils s’accouplent pourtant à l’homme, et de cette union naissent des individus de race humaine»


    «Les philosophes (rationalistes de l’époque) n’ont point parlés de ces êtres car, ils ne croient que ce qu’ils voient»


    «Pour l’être de l’autre nature, le murs n’existent pas. Il pénètre les obstacles les plus denses, sans avoir besoin de les détériorer.»


    «Ces êtres, qui sont légers comme les esprits et qui engendrent comme l’homme, ont son aspect et son régime.»


    «Ces êtres ne sauraient se classer parmi les hommes puisqu’ils volent à la façon des esprits; ils ne sauraient non plus se classer parmi les esprits puisqu’ils évacuent, boivent, ont chair et os à la façon des hommes.»


    «Ces créatures mourant et n’ayant point d’âme sont donc des animaux ? Elles sont plus que les animaux : en effet, elles parlent et rient. Elles sont supérieures aux hommes puisqu’elles sont insaisissables comme les esprits»


    «Ces êtres ne craignent ni le feu, ni l’eau. Ils sont sujets aux maladies et aux indispositions humaines. Ils meurent en bêtes, leur chair se putréfie comme la chair animale. Vertueux ou vicieux, purs ou impurs, meilleurs ou pires, comme les hommes, ils en ont les mœurs, les gestes, le langage; comme eux. Ils diffèrent par la ligne et l’aspect, ils vivent sous une loi commune, travaillent de leurs mains, tissent (fabriquent) leurs vêtements, se gouvernent avec sagesse et justice, font preuve en tout de raison. Pour être hommes, il ne leur manque que l’âme. Et, parce que l’âme leur manque, ils ne pensent ni à servir Dieu, ni à suivre ses commandements; l’instinct seul les pousse à se conduire honnêtement.»




    La raison pour laquelle ces créatures nous apparaissent.


    «Tout ce que Dieu crée, finit par se manifester à l’homme. Dieu produit quelquefois le diable et les esprits afin de le persuader de leur existence. Du haut du ciel, il lui envoie aussi des Anges, ses serviteurs. Ces êtres nous apparaissent donc, non pour demeurer avec nous ou s’allier à nous, mais afin que nous les puissions comprendre. Ces apparitions sont rares à la vérité. Mais, pourquoi ne le seraient-elles pas?


    Au reste, pour que la preuve de leur existence apparaisse plus éclatante, Dieu permet que des Nymphes soient vues, non seulement de certains hommes, mais qu’encore elles entretiennent commerce charnel avec eux et en aient des enfants.»


    «Ces enfants sont de race humaine parce que le père étant homme, leur donne une âme qui les rend semblables à lui. La femelle qui reçoit cette âme avec la semence est, comme la femme, rachetée par le Christ. Nous ne parvenons au royaume divin qu’autant que nous communions avec Dieu. De même, cette femme n’acquiert une âme qu’autant qu’elle connaît un homme. Le supérieur, en effet, communique sa vertu à l’inférieur. Voilà donc encore une raison de l’apparition de ces êtres : ils recherchent notre amour pour s’élever, comme les païens recherchent le baptême pour acquérir une âme et renaître avec le Christ.


    Il est juste d’ajouter qu’ils ne se rapprochent ainsi de nous que parce qu’ils nous ressemblent, comme le loup ressemble au chien sauvage. Tous ces êtres, en effet, n’ont pas des rapports charnels avec l’homme. Les Nymphes sont ceux qui en ont le plus; après les Nymphes, ce sont les Sylphes; quant aux Gnomes, ils n’ont point de ces rapports avec l’homme; ils se contentent de le servir.


    On considère généralement les Gnomes, comme des esprits, parce qu’ils apparaissent brillants et éclatants : l’on ne réfléchit pas que leur chair et leur sang sont de nature lumineuse. Les Gnomes sont agiles et légers comme les esprits, ils connaissent le présent, le futur et le passé, révèlent aux hommes ce qui est caché; ils ont la raison de l’homme sans en avoir l’âme, ils ont la science et l’intelligence des esprits sans posséder leur connaissance de Dieu.»


    «Les Sylphes sont plus grossiers, ils ne connaissent point notre langue. Les Gnomes parlent la même langue que les Nymphes ... Les Sylphes sont plus timides que les hommes.»


    «Le diable s’immisce quelquefois dans le corps des Gnomes, des Sylphes, surtout dans celui des femelles, qu’il s’amuse à faire accoucher de fœtus atteints d’une lèpre, gale ou teigne incurables.»


    Les créatures des créatures.


    «Les Nymphes, qui s’engendrent entre elles comme le font les hommes, engendrent des monstres nageant à la surface de l’eau : ce seront les Sirènes. Les Nymphes et les Gnomes engendrent encore d’autres monstres, les Monaches, qui ressemblent aux hommes et habitent leur milieu.»


    Les hybrides des créatures.


    «Il nous faut parler de deux races qui se rattachent à celles des Sylphes et des Gnomes, les Géants et les Nains.»


    «Nous n’ignorons pas que beaucoup de personnes ne croient ni aux Géants, ni aux Nains. Elles se contentent de dire : Les Géants sont extraordinaires et trop forts, nous les repousserons donc et les tiendrons pour illusions.


    Les Géants sont engendrés par les Sylphes, et les Nains par les Gnomes. Ils sont rares, cependant, on en a vu assez pour ne pas douter de leur existence. Ils sont remarquables par leur solide constitution.


    Voilà ce qu’il faut penser de leur âme : ils sont des hommes issus d’animaux et ils sont des monstres : ils n’ont donc point d’âme. L’on croirait pourtant qu’ils en ont une à voir leurs bonnes actions et leur amour de la vérité. Car, ainsi que le singe copie les gestes de l’homme, ils peuvent agir comme l’homme.


    Dieu aurait pu donner à ces êtres une âme s’il l’avait voulu, comme il en a donné une à l’homme en communiant avec lui, comme il en a donné une aux Nymphes en les mariant à l’homme. Il ne l’a pas voulu, pour ne pas créer une race semblable à la race humaine. Malgré leurs bonnes actions, je ne pense donc pas que les Géants et les Nains participent à la rédemption. Mais, s’ils n’ont pas la foi, ils sont sages, à la façon des animaux ...


    Les Géants et les Nains peuvent entretenir commerce charnel avec les femmes. Mais, ils ne sauraient avoir d’enfants de leur propre race, qu’ils se marient entre eux ou qu’ils s’allient à l’homme.


    En effet, ce sont des monstres, et ils ne peuvent pas plus engendrer entre eux que ne le peuvent des consanguins (ou des clones); d’autre part, s’ils s’allient à l’homme, le fœtus sera d’une double nature, c’est-à-dire de la leur et de celle de l’homme, et par conséquent l’enfant sera de race humaine puisque, lorsqu’il a pour parents un être sans âme et un être avec âme, il appartient à la race de ce dernier. Les Géants et les Nains meurent donc sans héritiers. »


    Ces autres créatures de Dieu.


    «Dieu a fait ces êtres pour donner des gardes à ces créations. C’est ainsi que les Gnomes gardent les trésors de la terre, métaux et autres; ils les empêchent de voir le jour avant le temps voulu. Car, ces trésors, or, argent, fer, etc., ne doivent pas être trouvés tous le même jour, ils doivent être distribués petit à petit, et non pas à quelques personnes seulement, mais bien à toutes.»


    «Les Sirènes, les Géants ont été créés dans un autre but : ils doivent prévenir les hommes des évènements graves, leur indiquer qu’un incendie éclate, les avertir de la ruine d’un royaume. Les Géants annoncent plus spécialement la dévastation d’un pays et les Sirènes, la mort des rois et des princes.


    La cause initiale de l’Univers dépasse notre entendement. Mais, à mesure que le Monde approche de sa fin, les choses se manifestent à nous de plus en plus clairement. Nous voyons leur nature, leur utilité.


    Au jour dernier tout apparaîtra clair, tout sera connu. Rien ne sera ignoré ; chacun recevra la récompense de ses efforts et de son amour de la vérité. Alors ne sera pas médecin ou professeur qui voudra. L’ivraie sera séparée du grain, la paille du froment. Alors se taira celui qui crie aujourd’hui. Celui qui compte déjà le nombre de pages qu’il a encore à écrire succombera sous le poids de son œuvre.


    Alors seront heureux ceux qui en ce moment cherchent à voir. Et l’on verra ce jour-là si j’ai menti.»




    La vie des Gnomes.


    «Ces créatures habitent au-dessous de nous, sous terre, où elles trouvent en abondance ce dont elles ont besoin. Ces esprits ne sont point pareils aux autres esprits; ils peuvent cependant égaler leurs pouvoirs et leurs industries. Ils ont une chair et un sang comme les hommes, ce que n’ont pas les vrais esprits, ainsi que le Christ l’a dit, après qu’à travers les portes fermées, il fut entré dans la chambre où se trouvaient ses disciples : «touchez-moi, je n’ai ni cher ni os». On peut conclure de ces paroles que le véritable esprit n’a ni corps tangible, ni chair, ni sang, ni os, mais qu’il est d’une substance semblable à l’air ou au vent. Ici, nous n’expliquerons pas davantage ce secret. Nos créatures ne sont point esprits et ne peuvent être comparées aux esprits. Si l’on veut absolument les appeler esprits, qu’on les appelle, alors, « esprits terrestres », puisqu’elles ont leur chaos (monde) et leur habitation sous la terre et ne vivent pas dans l’air à la façon des véritables esprits.»


    «Ces esprits sont les moins bons de tous; néanmoins, bien qu’ils aiment le mal, ce ne sont pas des diables. Du reste, il y a une grande différence entre ces esprits et les diables : les diables ne meurent pas, pour commencer.»


    «Bien que naturellement petits, les Gnomes apparaissent à volonté petits, grands, beaux ou laids. Ils connaissent en effet, tous les arts. Ils savent se servir de la lumière de la nature. Ils possèdent quantité de trésors, d’or et d’argent. Beaucoup de ces êtres habitaient autrefois des lieux aujourd’hui ruinés et déserts.


    Plusieurs personnes les ont pris pour des anges ou des esprits que Dieu nous avait envoyés, puis rappelés à lui à cause de nos péchés.


    D’autres ont pensé que les hommes ne pouvaient voir les Gnomes. Quelques-uns qui les virent pensèrent qu’ils étaient les âmes d’hommes morts honteusement ou suicidés, ou qui, n’ayant pas confiance en Dieu, devaient servir le diable jusqu’au jugement dernier.


    D’autres, encore, crurent qu’ils n’étaient que de vains spectres.»


    «Certains les ont pris pour des manifestations de sorcellerie.»


    «Ces êtres, sont, à la vérité, des hommes matériels et véritables, et, dans les premiers temps de la Nature, on les prenait souvent pour Dieu, et on les invoquait à sa place. Ce sont eux que Dieu Tout-Puissant a désignés dans sa première Table (Deutéronome Chapitre 5 Versets 6 et 7) : «Vous ne regarderez point comme dieux ceux qui habitent dans l’eau (c’est-à-dire les Nymphes), moi seul suis Dieu, mois seul suis le rédempteur». (Dans les Bibles actuelles cette phrase a souvent disparu et est remplacée par une autre qui ne veut rien dire, pourquoi?)


    Nous avons dit tout cela, non pour indiquer le moyen de les attirer, mais pour que l’on puisse dorénavant parler d’eux savamment et comprendre en quoi ils diffèrent du diable. Le diable n’a pas de corps, si ce n’est celui qu’il se forme des quatre éléments, corps sans chair et sans sang, non sujet aux maladies, éternel. Ces êtres, au contraire, meurent et ne participent point à la vie éternelle. Aussi, ceux qui se lient à eux partagent-ils leur sort. Qu’on réfléchisse donc avant de se lier à eux. Dès qu’on est lié à eux, il faut faire ce qu’ils ordonnent. Et, si on les irrite, ils infligent de graves dommages, quelquefois ils tuent. Il y en a des preuves.


    Beaucoup de personnes, par exemple, ont été trouvées mortes, le cou tordu ou tranché, ou les membres rompus (voilà qui ressemble aux mutilations de bétail).


    On en accuse généralement le Diable. Or, le Diable ne le peut. Ce qu’il peut, c’est donner de mauvaises pensées à l’homme, l’empêcher d’obéir à Dieu, le pousser au péché, le faire renier Dieu.


    Les Gnomes ressemblent au Diable : souvent ils offensent Dieu. Mais, souvent aussi, ils nous avertissent, nous préservent des dangers, nous protègent. Je ne veux point dire ici, à cause des maux qui pourraient affliger ceux qui voudraient essayer, par quel pacte on se lie à ces êtres, grâce à quel pacte ils nous apparaissent et nous parlent (de nos jours des médiums grâce à des incantations peuvent connaître à l’avance le lieu et l’heure du passage ou de l’atterrissage d’un OVNI). Je me contente de déclarer que, seules, notre foi, notre pensée, notre imagination peuvent nous protéger contre eux. Il ne faut donc pas laisser seuls les hommes écrasés de chagrins ou victimes de leur imagination, il faut donc les réconforter à l’aide de paroles joyeuses, de propos agréables, de jeux.


    Le Diable et les esprits terrestres ne se reposent jamais, sans cesse ils nous dressent des embûches.»


    «O toi, homme désespéré, qui laisses le vent t’emmener à son gré, c’est toi-même, c’est ta foi fragile, ce sont tes mauvaises pensées qui te font du mal. Au-dessus de toi et en toi est un aimant qui attire ces mots. C’est l’aimant céleste, le plus puissant de tous les aimants, qui attire à lui tout ce qu’il veut.» (fin)


    Cette dernière phrase nous rappelle que la pensée de l’homme est créatrice : un homme par exemple va imaginer une créature qui lui apparaîtra sous forme de rêve ou d’hallucination, après cette expérience il pensera davantage à cette créature qui peu à peu prendra de la puissance et de l’autonomie, jusqu’à se présenter réellement à l’homme qui l’avait d’abord imaginé, mais aussi être perceptible à d’autres hommes qui n’ont pas suffisamment de foi, qui penseront à cette créature, donc renforceront son pouvoir d’existence et ses manifestations, etc.


    Cette théorie s’adresse à ceux qui ont compris que 2=1 (des philosophes) et non pas à ceux qui croient encore que 1+1=2 (des rationalistes).


    Les rapprochements avec l’ufologie moderne sont nombreux ; en voici quelques uns dans l’ordre d’apparition :


    - les Elfes peuvent passer à travers les murs tout comme dans les cas « d’enlèvements » en chambre;

    - tout comme certains E.T. les Elfes parlent, rient et meurent;

    - la psychologie des E.T. et des petits gris ressemble beaucoup à celle des Gnomes et des Nains; (relire les témoignages sur les abductions)

    - on retrouve aussi dans l’ufologie des cas semblables où un homme copule avec une E.T. donc peut-être une Nymphe;

    - ne dit-on pas de certains hommes en noir qu’ils pourraient être des E.T. à moins qu’ils soient des Monaches;

    - certains E.T. se manifestent lumineusement tout comme les Gnomes;

    - les Gnomes et les Nains enlèvent des hommes et des femmes pour fabriquer des Nains hybrides, tout comme cela se passe avec des E.T. et les petits gris;

    - « l’Extra-terrestre » de Roswell ne serait-il pas un Nain hybride ? Je rappelle qu’il n’a ni sexe, ni sein, ni nombril ... le film vidéo semblant être une intox.

    - les E.T. ne sont pas des diables mais les Gnomes. Ils pourraient bien être leurs médians sur Terre, toujours selon les traditions populaires.



  • Commentaires

    1
    visiteur_Zoltan
    Jeudi 25 Octobre 2007 à 00:36
    Très intéressant, beau travail de recherche bravo, malgré encore quelques info occultées (ce qui est normal on ne peut pas tout répertorier) vraiment cool.
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    2
    aetheius@hotmail.fr
    Mardi 10 Février 2009 à 19:07
    Bonjour, j ai cr? un site ovni et vous demande d etre notre partenaire. Votre site sera cit?ans mon site sans que cela n'implique quoi que ce soit. Je ne fait parti d aucune charte ufologique et restre ind?ndant dans mes recherches. Vous remerciant de votre r?nse, recevez mes salutations ufologiques.
    Pascal.
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