• Description du Bigfoot à partir de témoignages


    Particularité : Nomade, nocturne.

    Habitat : forêts montagnes, ou il y a de l'eau.

    Alimentation : omnivore.

    Hauteur : 2.20 à 3.75 mètres.

    Poids : entre 250 et 450 kg d'après l'étude des empreintes.

    Force : très puissant, plus que l'homme.

    Vision : très bonne vision.

    Odorat : capacité hautement développée.

    Ouïe : hautement développée.

    Locomotion : bipède.

    Caractère : inoffensif, non-agressif.


    Le Bigfoot a réellement commencé à faire parler de lui que vers 1960, apparemment. Le phénomène a pris toute son ampleur en 1967, suite à la capture hasardeuse sur bande VHS, à l’aide d’une caméra, d’images montrant la créature, par Monsieur Patterson. Ces images montraient un Bigfoot de 2m10 de haut, se déplaçant rapidement le long d’un ruisseau. La trace la plus ancienne dans les récits historiques ou fantastiques remonte au début du 19e siècle, voir à la fin du 18e siècle.




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    Les premiers explorateurs qui visitèrent l'ouest du continent américain entendirent parler par les tribus indiennes de ces régions de géants velus qui vivaient dans les montagnes et dans les bois. Ces tribus donnèrent plusieurs noms indiens à ces géants, dont le plus connu d'entre eux est : Sasquatch. Lors de la conquête de l'ouest, plusieurs explorateurs et prospecteurs disent avoir rencontré cette étrange créature à l'apparence humaine.


    Ainsi depuis l'époque de la conquête de l'ouest, le Sasquatch a été vu dans pratiquement tous les états et toutes les provinces de l'Amérique du Nord. On inclut également le Mexique quoique qu'il y a un manque d'information de ce côté.


    On s'aperçoit que cette créature reste surtout dans des lieux inaccessibles pour l'être humain, d'où sa présence remarquée dans les états et les provinces de l'ouest du continent nord-américain. En effet, les Montagnes Rocheuses sont un lieu de prédilection où le Sasquatch a été observé, sans oublier bien sûr les forêts denses et inaccessibles.


    Ces observations sont moins fréquentes si on se retrouve à l'est du continent. Cependant il y a de plus en plus d'observations dans l'est au cours des dernières années. (Vermont, New York, Pennsylvanie, Ontario, Nouveau-Brunswick, etc...)


    Ainsi les lieux parfaits pour étudier le Sasquatch sont la Californie, la Colombie-Britannique et l'état de Washington.



    Apparence générale


    La créature en tant que telle, est robuste et peut mesurer de 2 à 3 mètres de haut. Elle pèse, selon les empreintes de pieds retrouvés et pouvant s'enfoncer jusqu'à 5cm dans le sol, entre 300 et 400 kilos. C’est un bipède dont les genoux fléchis permettraient d'économiser de l'énergie, lors de longs déplacements.


    Le corps est en majeur partie recouvert de longs poils, sauf à certains endroits, comme la figure, la plante des pieds et les mains. Son allure générale, ressemble fortement à celle d'un être humain et, c'est ce qui donne le côté mystérieux à la créature. Elle serait le seul primate de l'Amérique du nord. Omnivore, quelque peu semblable à l'ours. Certains témoins affirment avoir vu plusieurs fois des Sasquatch tuer des chevreuils. Son cri, très puissant, en dehors des capacités des autres animaux d'Amérique du nord ou même des humains, ressemblerait à une sorte de barrissement rauque.


    Dotée d’un cou très court, ou pratiquement pas de cou ; cette créature est agile, nocturne et très rapide. Ce qui laisse à penser qu'elle se déplace beaucoup. En effet au cours des dernières années, il semble y avoir une migration de l'ouest vers l'est.


    Ces données sont tirées des différents témoignages au cours des années.



    Histoire de Beck ( 1924 )


    Cette histoire commence alors que Fred Beck et une bande de mineurs décident d'aller exploiter de l'or à deux miles à l'est du Mont St-Helens, dans un canyon que l'on appel aujourd'hui "Ape Canyon", suite à cette histoire.


    Un jour, alors qu'ils étaient à l'ouvrage, ils aperçurent une étrange créature qui les observait cachée derrière un arbre. L'un des mineurs fit feu et l'être s'enfuit, blessé à la tête, semble-t-il.


    Plus tard, Beck repéra une autre créature semblable sur le bord du canyon. Il fit feu et l'être sembla tomber de la falaise et disparut.


    La nuit venue, plusieurs créatures attaquèrent la cabane où les mineurs dormaient. Les hommes furent réveillés par les coups donnés sur les murs et sur le toit, qui résonnaient comme des jets de pierres. La cabane était solidement bâtie pour résister aux importantes chutes de neige et la porte était bien fermée de l'intérieur. Ainsi les créatures ne purent pénétrer à l'intérieur et levèrent le camp à l'aube. Les mineurs abandonnèrent leur cabane et leur mine. Les créatures laissèrent des centaines de traces autour de la cabane.


    Sources : The Bigfoot Encounters et LES PHÉNOMÈNES INEXPLIQUÉS, Sélection du Reader Digest, 1982.



    Histoire de William Roe ( 1955)


    Ce cas a été rapporté en octobre 1955, près de la petite ville de Tête-Jaune Cache, en Colombie britannique.


    William Roe escaladait la montagne Mica avec son fusil, un après-midi, lorsqu'il vit ce qu'il prit pour un grizzly de l'autre côté d'une petite clairière.


    Quelques instants plus tard, l'animal vint à découvert, et Roe se rendit compte qu'il ne s'agissait pas d'un ours. Voici ce qu'il déclara sous serment :


    « Voici le souvenir le plus exact que je garde de l'apparence de la créature et de la façon dont elle se comportait, lorsqu'elle vint vers moi dans la clairière. Ma première impression fut qu'il s'agissait d'un homme de grande taille, plus de 1,80 m, de près de 1 mètre de large et pesant plus de 100 kilos. Il était couvert de la tête aux pieds d'une fourrure brun foncé argenté. Comme il se rapprochait, je vis à sa poitrine que j'avais affaire à une femelle.


    Son buste n'avait pourtant pas des lignes féminines et tombait droit sur ses hanches. Ses bras étaient bien plus gros que ceux d'un homme, mais aussi plus longs, tombant presque jusqu'aux genoux. Ses pieds, plus larges que ceux d'un homme, allaient en s'affinant vers les chevilles. »


    La créature vint à moins de 10 mètres de Roe, qui s'était caché derrière un buisson, et s'accroupit sur ses talons.


    Tandis qu'elle arrachait les feuilles d'un buisson pour les mastiquer, Roe remarqua une espèce de crête à l'arrière de la tête, le nez aplati, le menton proéminent, les petits yeux ronds, et fut frappé par le cou épais, court, «inhumain». Elle sentit soudain l'odeur de Roe et le regarda dans les yeux par un trou dans le buisson.


    « L'idée me vint que si je tirais, j'aurais peut-être un spécimen du plus grand intérêt pour les savants du monde entier. J'avais entendu parler d'histoires de Sasquatch... J'en tenais peut-être un...


    J'épaulai mon fusil. La créature, s'éloignant toujours d'un pas rapide, regarda dans ma direction. J'abaissai mon arme. J'ai dit « créature », mais j'avais l'impression que c'était un être humain, et je ne me serais jamais pardonné de l'avoir tué. »


    Au moment où la femelle s'enfonça dans les buissons, de l'autre côté de la clairière, elle émit un gémissement, « moitié rire, moitié langage ». À la hauteur d'une pile de rondins, elle rejeta la tête en arrière et fit le même bruit, puis disparut.


    SOURCES : J. Green, On the Track of the Sasquatch, p.10-12.





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    Histoire de Jerry Crew (1958)


    À la fin de 1958, on parlait partout, en Californie du Nord, de l'histoire de Jerry Crew et des énormes empreintes humaines que lui et ses camarades avaient observées autour de leurs bulldozers, pendant plusieurs semaines. L'agitation venait des efforts déployés par Crew, du comté de Humboldt, pour prouver l'authenticité des empreintes démesurées. Voici la dépêche de l'agent d'Associated Press envoyée d'Eureka, le 6 octobre :


    « Jerry Crew, un gaillard qui n'a pas froid aux yeux, et qui ouvre des chemins forestiers au bulldozer, est arrivé ce week-end en ville avec le moulage en plâtre d'une empreinte de pied. Celle-ci avait bien l'air humain, mais mesurait 40 centimètres de long, 18 de large, et le poids énorme de la créature qui l'avait imprimée l'avait enfoncée de 5 centimètres dans la boue.


    Crew dit qu'un pied ordinaire ne s'enfonce même pas de 2 centimètres. « J'ai vu des centaines d'empreintes semblables au cours des dernières semaines », expliqua-t-il.


    Il ajouta qu'il avait fait le moulage sur un chantier qu'il avait ouvert au bulldozer le vendredi précédent, dans le cadre d'une opération se déroulant dans les forêts au-dessus de Weitchpeg, à 75 kilomètres au nord et un peu à l'est d'ici, dans la région de la rivière Klamath.


    Crew dit aussi que ni lui ni ses camarades n'avaient vu la créature, mais qu'ils avaient souvent l'impression d'être observés depuis les arbres pendant leur travail. [...]


    Il ajouta qu'un taxidermiste de Redding, Robert Titmus, avait examiné ces empreintes et dit qu'elles n'appartenaient à aucun animal connu. » ( J. Green, On the Track of the Sasquatch, p.24 )


    À ce récit il faut ajouter des ombres étranges observées par ces travailleurs et également le déplacement d'objets de grande taille.




    Le cas de Patterson (1967)


    Tout bon amateur du phénomène Bigfoot doit connaître la fameuse vidéo de Patterson. Cette vidéo montrant un Bigfoot en train de s'éloigner, est la plus claire et la plus précise que nous connaissions.


    Cependant son authenticité est contestée par plusieurs personnes. Il y a de nombreuses anomalies qui ont été détectées, comme le fait qu'on voit une espèce de crête dans le dos de la créature alors qu'aucun primate n'a une telle chose. (Il pourrait peut-être s'agir d'une fermeture éclair. ) Il y a cependant des preuves qu'il s'agit probablement d'un Bigfoot. Par exemple, la forme du crâne de la créature dite occipital, caractéristique des primates comme le gorille. Voici un bref résumé de cette histoire:


    Roger Patterson et un de ses amis(Gimlin) faisaient de nombreuses patrouilles à cheval dans un secteur où on a signalé de nombreuses empreintes. Patterson avait avec lui sa caméra 16mm bien décidé à filmer des traces récentes.


    Soudain à un détour, ils virent une imposante silhouette qui était assis près du ruisseau. Les chevaux se cabrèrent à cette vue et Patterson tomba. Il parvint à saisir sa caméra vidéo mais déjà la créature s'éloignait. Il lui courut après et filma à environ une distance de 30 mètres. Le film qui en résulte est passionnant et dure environ 1 minute. La créature finalement disparaît dans les fourrés.




    Les preuves matérielles


    Les preuves matérielles sont beaucoup plus nombreuses qu'on pourrait le croire. Il y a d'abord les centaines d'empreintes découvertes un peu partout en Amérique du Nord. Certaines ont été prises en photos, quelques unes ont même été filmées. Des moules de ces empreintes ont été faits et plusieurs scientifiques se sont penchés dessus. La plupart arrive à la conclusion qu'elles appartiennent à un être inconnu qui marche sur deux pieds.


    Deuxièmement il y a les nombreuses photographies prisent au cours des années; plusieurs sont floues et peu convaincantes. Il n'est pas rare de tomber sur des sites internet qui prétendent avoir la preuve de l'existence du Sasquatch sur pellicule et que le résultat soit une photo avec une tache impossible à identifier. Bref la plupart du temps c'est plutôt décevant.


    Troisièmement il y a les preuves vidéo. Celles-ci sont en effet très spectaculaires mais il faut tout de même s’en méfier.


    Ce cas est tout à fait probable car bien qu'elle soit contestée, la preuve vidéo est la meilleure preuve que nous aillons tant que nous ne découvrirons pas de dépouilles de la créature. Même si ce cas a été la critique de plusieurs personnes au cours des années, il semble que le film soit authentique. En effet, les éventuels fraudes qui auraient prouvé que la vidéo soit un canular sont non fondées (trace de fermeture éclair dans le dos de la créature, découverte de la personne qui aurait porté le costume). S'il s'agit d'une blague et bien c'est le meilleur canular jamais perpétré. De plus ce cas aide à rehausser la crédibilité de certaines vidéos tournées au cours des dernières années.




    Ses parents éloignés


    Comme vous le savez sans doute, le Bigfoot n'est pas le seul primate inconnu au monde. Plusieurs de ses parents éloignés ont été vus un peu partout à travers le monde. En Europe, où les observations augmentent depuis quelques années, en Australie, en Indonésie, en Chine. Tous ont un nom différent dépendant du lieu:


    L'Alma en Russie: un de ces êtres aurait même été capturé durant la seconde guerre mondiale et aurait été examiné par un médecin russe.


    Le Yowie en Australie: on entend de plus en plus parler de cette créature qui se montrerait plus agressive que ses autres parents.


    L'Orang Pendek en Indonésie: dernier arrivé dans la famille des hominidés inconnus bien qu'il soit connu depuis plusieurs décennies.


    En Chine, on parle même d'une créature qui serait en tout point semblable aux ancêtres de l'homme, Homo erectus, Homme de Néanderthal.


    Il ne faut pas oublier le fameux Yéti de l'Himalaya.






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    En conclusion


    Malgré le fait que les preuves matérielles de l'existence du Sasquatch s'accumulent sans cesse. La preuve n'est pas encore faite que la créature existe réellement.


    Cependant le phénomène lui est toujours aussi palpitant et à chaque mois de nouveaux témoignages nous parviennent de l'Amérique du nord. Donc cette créature, quoi qu'elle ne fût jamais capturée existe probablement.


    Les scientifiques qui se sont penchés sur les empreintes et sur les poils recueillis sont unanimes à dire qu'il s'agit d'une créature inconnue.





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  • Depuis 1995, une mystérieuse créature a fait son apparition sur l'île de Porto Rico, dans les Caraïbes. Elle est appelée "El Chupacabra", littéralement "Le suceur de chèvres". Pourquoi lui avoir attribué un tel nom ? Cette étrange créature aurait tué de nombreux animaux (vaches, moutons, chèvres, etc.) après les avoir au préalable vidés de leur sang et autres fluides vitaux.


    De nombreux animaux morts et mutilés sont ainsi régulièrement retrouvés et depuis une dizaine d'années, les spécialistes estiment qu'il a été rapporté plusieurs milliers de cas de mutilations animales sur l'île de Porto Rico.




    Observations du Chupacabra


    Les autorités portoricaines affirment que ces morts à répétition sont l'oeuvre de chiens sauvages, de singes ou d'autres animaux étrangers à la région et introduits illégalement sur le territoire. Mais dans ce cas, comment expliquer que de nombreux observateurs déclarent avoir aperçu le Chupacabra ? En effet, il arrive fréquemment que des témoins rapportent avoir vu cette fameuse créature, que ce soit de nuit ou en plein jour.


    "Je voudrais être en face de la personne qui dit que le Chucapabra" est un chien ou un singe pour lui rire au nez. Il n'y a personne pour me dire que le monstre que j'ai vu n'était pas réel. Je l'ai vu avec mes yeux et je ne suis pas fou.", déclare un témoin. En général, la créature est décrite comme ayant une tête de forme ovale, avec une mâchoire proéminente.


    Elle possèderait deux gros yeux rouges, de petits trous pour les narines, une petite bouche en forme de fente avec des crocs saillants vers le haut et vers le bas. Elle serait couverte de poils noirs. Enfin, elle possèderait deux petits bras, avec des mains à trois doigts, terminés par des griffes, ainsi que deux fortes jambes à trois griffes.


    Selon les témoins, cette créature se déplacerait avec une excellente aisance et habilité. D'ailleurs de nombreuses personnes ont tenté de la capturer et de nombreuses battues ont eu lieu, sans succès... Enfin, de nombreux indices permettent de faire penser que plusieurs créatures de la sorte sont présentes sur l'île.






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    Mutilations animales


    Les animaux mutilés sont retrouvés avec de petits trous parfaitement circulaires (variant de 0,6 à 1,25 centimètre) et pénétrant profondément dans le cou, ou juste sous la mâchoire de l'animal. Dans la majorité des cas, ces trous arrivent dans la tête de l'animal. Un de ces trous part de l'os de la mâchoire, jusqu'au cerveau et plus précisément jusqu'au cervelet, le perforant et tuant donc immédiatement l'animal.


    Ces détails semblent indiquer une technique d'euthanasie évitant toute souffrance à l'animal durant sa mise à mort, ce qui implique également une certaine intelligence de l'attaquant. Scientifiques et médecins estiment donc que nous n'avons pas affaire à un animal carnivore ou un prédateur d'une espèce connue de la science.




    Tentatives d'explications


    De nombreuses hypothèses ont été avancées pour expliquer la présence de cette mystérieuse créature et de ses victimes à répétition. Tour d'horizon des principales théories... Comme vu précédemment, l'explication officielle serait que ces morts à répétition sont l'oeuvre de chiens sauvages, de singes ou d'autres animaux étrangers à la région et introduits illégalement sur le territoire. Cette théorie ne tient pas, pour la simple raison qu'aucun prédateur connu sur Terre utilise de telles méthodes pour la mise à mort de ses victimes.


    Certains pensent que des sectes religieuses ou sataniques pourraient commettre ces actes mais les cas d'animaux mutilés sont trop nombreux pour accréditer cette explication : aucune secte n'aurait les ressources financières nécessaires pour mener à bien une telle opération. Étrangement, l'apparition du Chupacabra coïncide avec une importante vague d'observations d'OVNI au-dessus de l'île de Porto Rico. Certains ont donc fait le rapprochement et pensent que Chupacabra et OVNI sont liés.


    Enfin, une autre hypothèse est que ces créatures observées sont le produit de manipulations génétiques par des agences humaines.






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    Conclusions


    Le nombre de morts augmente et la communauté portoricaine demande des explications. Mais pour l'heure, nous ne pouvons faire que des suppositions quant à l'origine de ces mutilations animales. D'après Dagoberto Corante, un architecte Chilien, une telle créature a été capturée par des éléments d'un régiment local lors d'une opération et ceci a eu comme résultat la mort d'un soldat. Mais les militaires ont refusé de parler sur ce sujet.



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  • Jersey Devil1


    Depuis toujours, on rapporte d'étranges créatures ailées parcourant le ciel et parfois nos villes.


    Plusieurs noms nous viennent à l'esprit comme le Diable de Jersey, le Thunderbird d'Arizona, le Mothman et le célèbre Oiseau Roc.


    Ces créatures ailées ne sont peut-être que légendes, mais toujours est-il que de nombreux témoins affirment les avoir aperçues.






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    Le Thunderbird


    En 1890, deux ranchers qui chevauchaient dans le désert, ont rencontré un monstre ailé qui ressemblait à un alligator, avec une queue très longue et des ailes immenses. Ils lui firent la chasse et finirent par l'abattre.


    Ses ailes avaient une envergure de 49 mètres et son corps en faisait 28 mètres. Dans cette région de Tombstone (Arizona), plusieurs témoins affirmaient avoir déjà aperçu cette créature et une aurait même été photographiée en 1886.


    On ne sait malheureusement pas ce qui est arrivé de cette photo ni de la carcasse de la bête.


    Ce témoignage est un peu douteux mais pourtant, plusieurs affirmèrent avoir vu cette créature.




    Le Diable de Jersey


    En 1909, dans l'état du New Jersey. Le "Diable de Jersey" fit beaucoup parler de lui.


    On croyait que son nid était situé dans une région isolée du Sud-est de l'état, dans les Pine Barrens.


    Tout commença le 17 Janvier 1909 quand il fut aperçu dans pas moins de trente villes différentes. Le premier à l'apercevoir fut John McOwen qui entendit des bruits bizarres un matin.


    Il se leva pour regarder à sa fenêtre et aperçut cette sorte d'aigle de grande envergure qui sautillait sur les rives du canal.


    Le témoignage du Policier James Sackville fut identique : une créature ailée qui sautillait comme un oiseau, une tête inquiétante et des cris effrayants. Le policier fit feu mais la créature s'enfuit sans blessure apparente.



    Un autre témoin, un receveur des postes, se trouva assez proche de la créature pour en faire une bonne description : "Il avait une tête ressemblant à celle d'un bélier et un long cou. Les ailes étaient longues et minces et les pattes de derrière étaient plus longues que celle de devant. Il poussa un cri lugubre qui me fit frissonner."


    Dans les semaines qui suivirent, les apparitions se multiplièrent, des photographes arrivèrent de partout pour tenter de le capturer sur pellicule, alors que des chasseurs se lancèrent sur les traces de cette "chose".


    Après une dernière apparition qui eu lieu le 22 janvier, le diable de Jersey disparut pour de bon et on ne le revit jamais. Quant à son existence, impossible de vérifier vu le manque de preuves.




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    Le Mothman


    N'oublions pas non plus la fameuse légende de l'homme papillon ("Mothman") qui terrifia les habitants de Point Pleasant en Virginie en 1966.


    Voici un témoignage d'une jeune conductrice qui reconduisait son père à la ville voisine.


    "De loin, j'aperçus la silhouette au milieu de la route. ça ressemblait à une sorte d'homme oiseau. Comme la voiture approchait, il remua les épaules et déplia de ailes d'une telle envergure que je ne voyais plus rien de la route. Puis il s'envola, disparaissant en l'espace de quelques secondes." Représentation du Mothman. Après de nombreux témoignages, la description suivante en fut faite.


    Il faisait dans les 2 mètres, de couleur grise ou brune et de forme humaine mais sans bras ni tête. Ses inquiétants yeux rouges semblaient être au niveau des épaules. Les ailes atteignaient une envergure de 3 mètres. La plupart des apparitions eurent lieu en novembre et en décembre 1966. Quand un pont céda sous le poids des voitures à Point Pleasant, étrangement, ces apparitions cessèrent.




    L'Oiseau Roc


    Dans le passé, les autochtones affirmaient qu'un oiseau géant (le roc) emportait leur bétail dans ses serres. Les indiens Haïdas, tribu de la côte nord-ouest des Etats-Unis, croyaient que les oiseaux géants étaient des esprits humains réincarnés. Un oiseau géant légendaire aurait terrorisé les ancêtres des indiens de l'illinois.



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  • Grand Serpent des Mers


    "Alors Persée attaqua le grand serpent marin à coups d'épée. Celui-ci se débattait et la mer était pleine d'écume et de tourbillons. Le sang du monstre alourdissait les sandales ailées et un grand vacarme s'élevait de la mer. S'appuyant sur le rocher, Persée plongea son glaive à quatre reprises dans le flanc du monstre, mais sans grand résultat..." (La légende de Persée).


    Depuis la nuit des temps des créatures étranges, monstrueuses et titanesques, sillonnent les mers du globe à la recherche de victimes potentielles. Parfois ils réapparaissent surgissant de nulle part, terrassant inexorablement leurs proies et replongent dans les abysses insondables et glauques des océans, ce sont : les Grands Serpents des Mers.





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    Témoignages


    En 1555 - Magnus, Evêque norvégien, décrit en 1555 un Serpent de Mer, relevant de nombreux détails : "Ceux qui naviguent le long de la côte norvégienne assurent tous d'une voix une chose épouvantable, que le long de la mer de Bergen, un serpent à bien 60 mètres de long et 6 d'épaisseur. Il sort la nuit au clair de lune pour aller manger les agneaux, les pourceaux, ou bien passe la mer pour aller manger les polypes, locustes et autres sortes de poissons et cancres marins.


    Il a des yeux rutilants comme une flamme (flammeos oculos rutilantes). Il se lance contre les navires (...) pour aller dévorer ceux qui sont dedans (...). Il a une masse de poils d'une coudée de long qui lui pendent du cou, des écailles aiguës de couleur noire et des yeux rutilants comme une flamme (...).


    On estime en ce pays que c'est un mauvais présage quand on le voit courir sus aux personnes et que cela signifie mort de prince".


    En 1856 - Le Princess croise un monstre marin par 34°56' de latitude sud et 18°14' de longitude est : "A une heure de l'après-midi, vu un très grand poisson, avec une tête comme un morse et douze nageoires pareilles à celles d'un globicéphale mais tournée en sens inverse. Le dos avait 6 à 9 mètres de long ; également une bonne longueur de queue."


    En 1910 - A bord du Postdam, une observation est faite en Atlantique nord : "Il nous parut avoir la forme d'un serpent gigantesque, long de 35 à 40 mètres et d'un diamètre d'environ 60 centimètres.


    Il se déplaçait à vive allure. De temps en temps la tête se dressait presque perpendiculairement sur l'eau, jusqu'à une hauteur de 2,50 à 3 mètres ; elle restait dans cette position pendant un certain temps, puis disparaissait à nouveau.


    Ces deux mouvements allaient de pair avec un puissant jaillissement de l'eau jusqu'à une hauteur d'environ 6 mètres, cependant que la queue agitait non moins puissamment l'onde (la queue était aplatie et élargie, avec une extrémité bifide)."


    En 1934 - France - Normandie - Cherbourg : "Dans l'après-midi du 28 février 1934, un énorme cadavre d'aspect insolite fut découvert par les pêcheurs de Querqueville à l'ouest de Cherbourg. Sa tête, qui ressemblait à celle d'un chameau, était portée par un cou mince.


    Il avait deux grandes palettes natatoires (...) Il mesurait environ 6 mètres de long dont 90 centimères pour le cou (...) Le patron d'un remorqueur déclara que le 25 ou 26 janvier précédent, il avait rencontré (...) une grande créature marine se déplaçant à une vitesse considérable.


    Soudain la tête de l'animal avait surgi de l'eau et lui avait paru semblable à celle d'un cheval. Quand le monstre avait réapparu à nouveau son cou s'était laissé entrevoir et l'homme lui avait trouvé un ressemblance avec celui du chameau". (Heuvelmans Bernard. Le grand serpent de mer. Plon, 1965).


    Le cheval marin (Halshippus olai-magni), observé le long des côtes américaines et canadiennes du Pacifique. Analyse cryptozoologique Il était inévitable que le Grand Serpent de Mer fascine de nombreux zoologues et cryptozoologues.


    Le Hollandais Oudemans en 1893 publia un livre sur cette énigme ("The great sea-serpent"). Il concluait qu'il s'agissait d'un grand pinnipède ayant allure de plésiosaure. Il lui donna le nom de "Megophias megophias". Sa description paraît être bâtie sur un assemblage composite de plusieurs animaux.



    En 1965, Bernard Heuvelmans publie un livre sur la question. Par étude statistique de centaines de témoignages, il tente de démontrer que le Grand Serpent de Mer a une origine multiple:


    - Des animaux observés et désormais répertoriés, qui étaient inconnus au moment des faits : requins baleines (cetorhinus maximus), calmars géants (Architeutis), régalecs (Regalecus glane), les vers némertiens démesurés comme le Lineus longissimus.






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    Des animaux non apparentés aux animaux serpentiformes inconnus


    Le long cou (Mégalotaria longicollis), qui pénètre à l'occasion dans les lacs. Le long cou est de toute évidence un pinnipède, les quatre autres seraient peut-être des archéocètes (cétacés primitifs à cou délié). La multi-bosse est sans doute apparentée aux zeuglodontes.



    La super-loutre (Hyperhydra egedei), vivant dans les mers boréales, elle n'est plus signalée depuis le milieu du 19ème siècle.




    Des preuves matérielles ?


    - En 1932, un navire océanographique, le Dana pêche dans l'Atlantique une énorme larve (leptocéphale) de 1,80 mètre de longueur, émanant d'un poisson anguilliforme. Si la proportion larve/adulte est identique à celle de l'anguille, l'adulte ressemblerait à une anguille d'environ quinze mètres de long.

    - En 1937, Un cachalot harponné au large de Vancouver, livre de ses entrailles les restes d'un animal serpentiforme à tête de cheval. Edward L. et Paul H. Leblond, ont étudiés d'une façon approfondie cette forme de vie. Selon eux, il s'agit d'un individu juvénile du Serpent de Mer à allure de "cheval marin". D'autres auteurs ont suggéré que c'était un requin ou un fœtus de cachalot.

    - Selon d'autres théories, le Serpent de Mer serait peut-être un Zeuglodon, baleine primitive supposée éteinte.

    - D'autres encore estiment que le Serpent de Mer, du moins la variété à long cou, serait un plésiosaure survivant. Ce serait le cas d'une carcasse trouvée et hélas rejetée par un chalutier japonais en 1977.



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  • Vous déambulez dans votre tout-terrain dans le désert de Gobi en Mongolie, dans le cadre d'une mission de paléontologie. Soudain à quelques dizaines de mètres devant vous sur votre droite, vous apercevez "quelque chose" qui bouge sur le sable. Vous regardez encore et effectivement vous n'avez pas rêvé, il y a bien une "bestiole" qui rampe sur le sol...


    Vous arrêtez votre véhicule et coupez le moteur, pour mieux voir vous descendez tout en scrutant l’animal qui est l'objet de toute votre attention. Jamais vous n'avez vu cela, une espèce de gros ver de terre, énorme, de couleur rouge foncé, de presque un mètre de long et d'environ vingt centimètres de diamètre, impossible de différencier sa tête de sa queue car il n'a ni yeux, ni narines, ni bouche visibles, mais ce n'est assurément pas un serpent.


    Dans un mélange teinté d'inquiétude et de curiosité, vous ne pouvez résister à la tentation de vous en approcher doucement, vu l'apparence inoffensive de la créature, une idée germe dans votre tête, je vais le capturer pour l'étudier, je dois savoir ce qu'est cette forme vivante. Il n'a pas l'air très doué ce ver, vous allez le maîtriser en deux temps trois mouvements. Vous êtes à proximité de lui, il est à vous, subitement l'animal prend une attitude spiralée et il change de couleur, il devient violet, vous l'effleurez et une fraction de seconde plus tard vous êtes mort !


    Pour la première et la dernière fois de votre vie, vous venez de faire connaissance avec l'Olgoï-Khorkhoï, (prononcez "olgoïroroï"), le "ver intestin" du désert de Gobi, c'est un gros animal sans yeux, sans bouche, qui se déplace en rampant et est parfois décrit comme venimeux.


    Le premier rapport connu au sujet de cette créature énigmatique, nous vient du paléontologue américain Roy Chapman Andrews, qui effectua une mission au Gobi en 1922-1923.





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    L'Olgoï-Khorkhoï vu par les Mongols


    L'essentiel de nos connaissances sur l'Olgoï-Khorkhoï nous vient d'un chercheur tchèque, Ivan Mackerle, qui a publié plusieurs articles sur le "ver" maléfique du désert de Gobi.


    "Nous avons une horrible créature qui vit en Mongolie. Nous appelons le monstre Olgoï- khorkhoï, et il vit enfoui dans les dunes de sable du désert de Gobi. Il peut tuer un homme, un cheval, et même un chameau."


    - "Les bergers du désert de Gobi refusent d'en parler. Ils craignent que la seule prononciation de son nom puisse amener le mauvais sort sur eux."

    - "Le ver tueur ressemble beaucoup à un intestin de vache, d'où son nom de "ver intestin". Il a une couleur rouge sombre, comme du sang ou du salami, et il est difficile de différencier sa tête de sa queue car il n'a ni yeux, ni narines, ni bouche visibles. La créature se déplace également de façon étrange , soit elle roule, soit elle se tortille latéralement, balayant son chemin. Et elle aime la couleur jaune."

    Une vieille femme se laisser aller à quelques confidences :

    - "Je n'ai personnellement jamais vu l'olghoï-khorkhoï, mais j'en ai beaucoup entendu parler. On dit qu'il se déplace sous le sable et que quand il veut tuer quelqu'un, il sort la moitié de son corps hors du sable. Quand il commence à gonfler, la bulle à son extrémité grandit et à la fin le poison en jaillit.


    Tout ce qui entre en contact avec cette substance, même le métal, semble avoir été corrodé par quelque acide et jaunit immédiatement. Mais le poison perd de sa puissance en été, à partir de la fin de juin, de sorte que rencontrer ce ver dangereux à cette époque ne se termine pas toujours par la mort."


    Yanjindgin Mahgaljav, de Dalandzadgad, raconta que dans les années 60, il avait vu le "ver" tuer un troupeau entier de chameaux au sud de Noyon.


    Dans tous les cas les Mongols en ont une peur bleue et le simple fait de prononcer son nom porte déjà malheur.


    L'animal serait également connu au Kazakhstan (un pays limitrophe de la Mongolie).


    "Nous entendîmes décrire d'autres "serpents", tout à fait inattendus, notamment une sorte d'énorme saucisse qui s'appelle en kalmyk "le court serpent gras", dont l'une des caractéristiques premières était "qu'il était sans os". Seuls, s'en souvenaient les vieux Kalmyks."



    Description


    Corps uniformément cylindrique, arrondi par devant, se terminant brusquement par une queue très courte. Longueur 50 centimètres, diamètre 15-20 centimètres, peau lisse, grise. Très dangereux selon les uns, inoffensif selon les autres.


    "Je ne me souviens pas si ses déplacements étaient rapides ou lents. Plutôt lents, je crois ; en tout cas, rectilignes, en accordéon."


    "Tous les informateurs (rares) étaient unanimes sur un point : si on lui assenait un violent coup de bâton en plein dos, comme l'a vu faire par son père l'un de nos témoins, il éclatait, ne laissant pour tout vestige de son existence qu'une grande tache de graisse s'étalant sur plus d'un mètre de diamètre."




    Un témoignage des dangers du "ver"


    "En 1958, Ivan Efrémov rapporta en effet dans son livre Doroga vetrov (La route des vents) les légendes que lui avait racontées Tseven, un vieillard de Dalandzadgad, qu'il avait rencontré lors de son expédition au Gobi, à la recherche de fossiles du crétacé supérieur. Les compagnons d'Efrémov finirent par amener la discussion avec le vieux Mongol sur l'animal énigmatique.


    Une tradition, depuis longtemps répandue chez les habitants du Gobi, parle d'un grand et gros ver (olgoï - gros boyau, khorkhoï - ver de terre), de plus d'un demi-mètre de long, vivant dans d'inaccessibles endroits sablonneux du désert de Gobi. Les récits sur cet animal sont concordants. L'Olgoï-Khorkhoï est connu comme une créature vraiment terrible, douée d'un pouvoir meurtrier incompréhensible, capable de frapper à mort l'homme qui l'effleure.


    Aucun savant-chercheur n'a jamais vu le ver extraordinaire, mais sa légende est tellement répandue et toujours tellement identique, qu'on est obligé de penser qu'il existe effectivement, pour fonder cette légende, un animal extrêmement rare, en voie d'extinction, sans doute rescapé des temps anciens, se maintenant de nos jours dans les coins les plus déserts de l'Asie Centrale.


    Danzan entreprit Tseven avec une certaine gêne, comme s'il craignait la moquerie du spirituel vieillard en réponse à la question naïve sur l'animal légendaire. A l'étonnement général, Tseven déclara qu'il avait beaucoup entendu parler de ce ver géant qui peut tuer d'un seul coup, mais il ne l'avait jamais vu. A quatre ourtons [environ 130 Km] au sud-est de l'aïmak [district rural] il existe un lieu, le Khaldzan dzakhé ("région chauve") où l'Olgoï-Khorkhoï vit dans les dunes de sable. Mais on ne peut le voir qu'à la pleine chaleur, en juin-juillet, plus tard il s'enfonce dans la terre et dort.


    Des plaisanteries fusèrent sur les capacités meurtrières du khorkhoï. Tseven le prit mal et, se renfrognant sévèrement, il dit quelques mots à Danzan.


    - Il dit qu'ils ne rient que parce qu'ils ne connaissent ni ne comprennent rien, traduisit le jeune géologue. L'Olgoï-Khorkhoï, c'est une chose terrible !"






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    Affinités zoologiques les plus probables de l'Olgoï-Khorkhoï


    A première vue, il s'agit d'une créature fantastique.


    "L'absence, au moins apparente, de pattes et de tête, peut suggérer qu'il s'agit d'un invertébré ; et du reste, l'animal n'est-il pas qualifié de "ver" ? C'est en tout cas l'idée qui semble s'imposer à Karl Shuker :


    "Il est vrai que certains serpents sont souvent qualifiés de vers, mais à mon avis les descriptions de l'allergorhai-horhai (olgoï-khorkoï) suggèrent beaucoup plus une bête sans os au corps mou, qu'un animal vertébré contenant des os. Pourtant, s'il s'agit bien d'un invertébré, comment peut-il éviter la dessiccation, environné par les sables brûlants du Gobi ? Sans doute, comme les scorpions, les solifugidés et d'autres invertébrés vivant dans le désert, il est enfermé dans une cuticule retenant l'eau."


    Certaines chenilles ou larves d'insectes, par leur forme de ver épais, et quelquefois leur caractère venimeux, se rapprochent effectivement du portrait-robot que nous avons tracé. Mais aucune n'approche les 60 centimètres de longueur ; d'ailleurs, si une larve aussi monstrueuse existait, l'insecte en question ne devrait pas passer inaperçu... A l'inverse, si l'on connaît des vers aussi longs, et même plus (jusqu'à 3 mètres), que la taille prêtée au monstre du Gobi, c'est ici l'épaisseur qu'on lui prête qui fait problème.


    Les invertébrés étant donc écartés, il nous reste 5 classes de vertébrés à passer en revue : nous pouvons d'emblée éliminer les oiseaux, dont aucun ne ressemble, même de très loin, au monstre du Gobi. Et dans la foulée, nous pouvons rejeter les poissons et les batraciens : signalé dans les sables du Gobi, au cour d'une des régions les plus arides de la planète


    L'Olgoï-Khorkhoï est de toute évidence un vertébré terrestre. Avec sa peau nue, il est peu probable qu'il s'agisse d'un mammifère, dont la plupart des espèces fouisseuses sont en effet couvertes de poils, un mammifère apode, ça ne court pas les rues (l'absence des quatre membres étant inconnue chez les mammifères).


    L'aspect serpentiforme de la créature, ainsi que son venin supposé, auraient tendance à nous orienter vers les serpents, mais ce serait sans doute à tort : le fait que la tête soit indistincte, s'inscrit en faux contre cette hypothèse. Il est à noter que les Mongols n'ont jamais comparé l'animal à un serpent, alors que les serpents abondent dans la région. Ils n'auraient pas manqué également de signaler la langue bifide. Par contre, il existe en effet d'autres reptiles dont l'allure rappelle irrésistiblement celle, vermiforme, de notre protégé : ce sont dans une certaine mesure les anguidés (orvets), mais bien plus encore les amphisbéniens (amphisbènes).


    En 1993, un groupe de paléontologues comprenant notamment Xiao-Chun Wu, Donald B. Brinkman et Anthony P. Russell ont décrit sous le nom de Sineoamphisbaena hexatabularis un amphisbénien indiscutable, au squelette crânien et postcrânien bien préservé, découvert dans un niveau campanien (crétacé) de Bayan Mandahu, en Mongolie Intérieure (le nord de la Chine, près de la frontière avec la république de Mongolie).


    Il apparaît ainsi que l'origine des amphisbéniens, contrairement à toute attente, se situe en Asie Centrale, et non en Amérique comme on l'a toujours cru ! Voilà qui donne un nouveau crédit à l'hypothèse d'un amphisbénien mongol inconnu.


    Reste une dernière objection à prévenir : les amphisbéniens sont inoffensifs, aucune espèce n'a un quelconque pouvoir fatal comme celui attribué au "ver tueur" du Gobi.


    Mackerle a suggéré que l'association du monstre avec une plante venimeuse pouvait expliquer cette incongruité : peut-être le simple contact des racines de cette plante avec le "ver-intestin" rend celui-ci mortel ? C'est en effet très possible, mais peut-être y a-t-il une autre explication.


    L'animal pourrait en effet être pourvu d'organes électriques, comme c'est le cas de nombre d'espèces de poissons. L'anguille électrique (Electrophorus electricus) peut produire un champ électrique de plus de 600 volts sous 1 ampère, qui peut déjà choquer sérieusement un être humain ou un gros animal. Pourtant, l'air sec du Gobi est un piètre conducteur, et du reste les animaux électriques sont tous aquatiques.


    Il pourrait s'agir d'un phénomène, non pas physiologique, mais purement physique. Un banal phénomène de tribo-électricité, c'est-à-dire la production de charges électriques par frottement. On a pu en effet mettre en évidence que les serpents à sonnettes (crotales), par simple frottement avec un sol sec, sont capables d'atteindre des potentiels de 1000 Volts. Dans les sables arides du Gobi, un reptile fouisseur pourrait sans doute engendrer des potentiels au moins aussi élevés, sinon plus, susceptibles de choquer, voire de tuer, un être humain.




    Comment le "ver-intestin" tue-t-il ses victimes ?


    Sur ce point, les informateurs de Mackerle ne s'accordaient pas entre eux : poison violent selon les uns... Ou courant électrique, selon d'autres ! Sugi rapportait notamment que lorsqu'il était enfant, des géologues dans le Gobi avaient attisés un feu avec une barre d'acier, et lorsque l'un d'eux enfonça la barre dans le sable, il tomba raide mort sur le coup. A la suite de quoi, un énorme ver gras émergea du sable.


    Yanjindgin Mahgaljav, de Dalandzadgad, raconta que dans les années 60, il avait vu le "ver" tuer un troupeau entier de chameaux au sud de Noyon.






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    Portrait robot de l'Olgoï-Khorkhoï


    "Animal vermiforme de 50 à 60 centimères de long selon la majorité des rapports, et dont on ne distingue pas la tête de la queue (la tête, la bouche, les yeux, les narines et les oreilles étant indistincts, si tant est qu'il en possède). Le corps est qualifié d'épais ou de gras : il est comparé à une saucisse ou un saucisson, ou à la largeur du poignet, et le nom vernaculaire de l'animal, Olgoï-Khorkhoï ("ver-intestin"), est inspiré de cette particularité. La peau semble nue, mais le corps serait annelé si l'on en juge par les dessins d'Efrémov (1954) et de Mackerle (1996). La couleur est rouge sombre (comme du sang ou du salami), bien qu'Ivan Efrémov parle d'une couleur beige dans son récit de cryptozoologie-fiction de 1954. L'animal vit sous terre, et ne se montre que l'été (juin et juillet), et reste enterré le reste du temps. Enfin, il est regardé comme terriblement mortel, au point de tuer à distance hommes et chameaux, sans qu'il y ait consensus sur l'origine de ce caractère fatal : présence d'u venin (que l'animal projetterait à plusieurs mètres) ou pouvoir électrique."



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