• L'ARCHE DE LA DEFENSE


    Mitterrand était fasciné par l’Arche et par Noé, c’est ce que confirme Georges-Marc Benamou : « Aller sur le mont Ararat, vers l’Arche de Noé et ses débris magiques qu’il trouvera peut-être au sommet de la montagne - dans le couloir il s’arrête souvent devant la gigantesque carte du mont Ararat vu de satellite. »



    Bâtie en partie par Christian Pellerin, ami de Patrice Pelat, la Défense est un concentré de monuments remarquables par leur symbolique maçonnique et pythagoricienne. Ce quartier abrite en effet la tour Eve (cette croqueuse de pommes, qui fait pendant au mangeur de pommes aujourd’hui promu à la présidence de la République) et la tour jean Monnet. Mondialiste et père de l’Europe, Monnet, qui avait soutenu François Mitterrand en 1965, est un des personnages les plus influents du siècle.


    Mais la Défense comprend aussi des tours consacrées à l’un des philosophes les plus importants des Lumières, Voltaire, ainsi qu’à l’un des agents les plus importants des révolutions atlantiques française et américaine, La Fayette.


    On peut y ajouter une tour Descartes (père du rationalisme moderne, apôtre de la pensée mécanicienne), une école André Malraux, une tour Michelet, la ZAC Danton, la tour Arago (révolutionnaire de 1848, présent sur le méridien), le quartier Valmy (la fameuse bataille républicaine truquée et achetée au duc de Brunswick). D’autres figures géométriques donnent de la Défense cette image spécifique : le cube de lArche, le parallélépipède de la tour Fiat, la sphère de la salle de cinéma Imax, les « rapporteurs » de 180’ des tours jumelles de Roland Castro, auxquels aurait dû s’ajouter le cylindre de la tour Infinie.


    Devant l’Arche s’étend le centre commercial des Quatre Temps : les quatre âges de la tradition ésotérique, recensés dans toutes les traditions. On distingue l’âge d’or, l’âge d’argent, l’âge de bronze et l’âge de fer. Hésiode a remarquablement développé les définitions de ces quatre âges dans Les Travaux et les jours. Mais un des ésotéristes contemporains de la Révolution, Favre d’Olivet, renversait l’ordre traditionnel et voyait au contraire l’âge d’or à venir. Le Centre national des industries et techniques, aussi chargé que le musée des Arts et Métiers popularisé par l’adepte Umberto Eco (autre fervent du méridien de Paris), est lui aussi un temple : il s’agit d’un triangle dont la voûte de béton ne repose que sur trois points, reproduisant ainsi la voûte céleste. On y pénètre par trois ouvertures en forme d’arcen-ciel, qui représentent un passage privilégié, un pont vers l’au-delà. On se souvient aussi que Mitterrand fait de son pèlerinage à Solutré un cheminement initiatique et chromatique : « Mes pas y tracent un chemin d’arc-en-ciel où dominent le mauve et le bleu. » La Défense, en tout cas, avec l’Arche, a trouvé le monument capable d’embrasser d’un grand geste noble et fédérateur un paysage qui n’était encore qu’un aléatoire surgissement de tours. Pas si aléatoire que cela d’ailleurs, pour peu que l’on se penche sur les projets babéliens de la Défense et de Nanterre qui attendaient leur Tête Défense, leur Royal Arch...


    L’Arche donc. S’il est des monuments, des lieux où souffle l’esprit, où soufflent les esprits, la Grande Arche de la Défense en fait assurément partie. « On y sent les vibrations », comme disent nos contemporains, et nous ne pouvons que nous interroger sur les raisons qui ont poussé un empereur architecte à concevoir et réaliser une œuvre similaire. Paris est, il est vrai, la « barque d’Isis », cité de la déesse de la connaissance secrète, de la Pistis Sophia. Elle est donc une cité dont les monuments importants sont tous signifiants. L’Arche de la Défense est située dans le prolongement du Decumanus. Les cités traditionnelles étaient construites en fonction des axes : l’axe nord-sud ou Cardo et l’axe orientoccident, Decumanus. C’est ce Decumanus parisien qui a intéressé les bâtisseurs depuis des siècles en France : Vincennes, Nation, Bastille, la place Royale, le Louvre,, les Tuileries, la Concorde, les Champs-Elysées, l’Etoile et pour finir la Défense au symbolisme très riche en dépit de son caractère récent. C’est évidemment le Decumanus qui dans un premier temps a intéressé François Mitterrand et ses Grands Travaux. La destination révolutionnaire et maçonnique de l’Arche est évidente. Révolution désigne un retour : retour à l’âge d’or, aux temps républicains, à l’origine primordiale décrite par Rousseau.


    Les grands projets ont été implantés en des sites superbes et de grande signification historique : la Tête Défense, au bout de l’axe royal qui court depuis le Carrousel et les Tuileries pour se perdre à l’ouest, bien au-delà des Champs-Élysées ; les bords de Seine qui, de Tolbiac (la bataille fondatrice de la monarchie franque et mérovingienne) au Trocadéro (lieu célébrant la victoire royaliste en 1823, et palais visité par Hitler, en même temps que l’Opéra, au cours d’une excursion sinistre), confirment leur tradition d’axe majestueux des palais et des institutions, formant à Paris une manière de grand canal ; la cour du Louvre, surtout (et c’est l’histoire des rois et des empereurs que l’on intégrait) ; enfin la place de la Bastille, seul symbole républicain dans ce Decumanus monarchiste.


    L’Arche est d’abord l’Arche de la Fraternité, qui est la devise de la République comme celle de la maçonnerie.


    Selon son architecte danois Spreckelsen (comme le roi Salomon, avait choisi pour bâtir le Temple un étranger en la personne d’Hiram, venu de Tyr, Mitterrand choisit des architectes étrangers pour accomplir ses Grands Travaux), la Grande Arche représente un cube ouvert, une fenêtre sur le monde, un arc de triomphe moderne à la gloire du triomphe de l’humanité. Spreckelsen a construit des églises au Danemark ; il ne manquait jamais, diton, de sortir de sa sacoche quelques échantillons de marbre et de bronze dont il savait le Président friand. Étrange amateur de pierres décidément... Faut-il y voir une allusion au « convive de pierre » dont Don juan, être si cher à Mitterrand, est luimême si friand ?


    Cette construction en forme d’autel est cubique comme l’autel d’Apollon, divinité suprême des pythagoriciens. L’Arche a été inaugurée le 14 juillet 1989 pour le G7, le sommet des sept pays les plus industrialisés. Comme le souligne Jules Boucher, en utilisant les références maçonniques, « c’est donc sept maîtres qui participent aux recherches. Ces sept participants sont les suivants : le vénérable correspond à Jupiter ; le premier sur-veillant à Mars ; le second surveillant à Vénus ; l’orateur au Soleil ; le secrétaire à la Lune ; l’expert à Saturne ; le maître des cérémonies à Mercure ».


    Au sud-ouest de l’arche ont été édifiées par Roland Castro des tours jumelles qui sont les pendants maçonniques des colonnes Boaz et Jakin du Temple. La réunion de ces deux « rapporteurs » de 180’ forme un zodiaque de 360°, une nouvelle voûte céleste. Au nord-ouest enfin, suite au concours organisé par la société anonyme de la Grande Arche (Saga), devrait s’élever, en écho à la tour de Babel, la tour Infinie ou tour sans fin... Au lieu-dit Triangle de la folie.


    Ajoutons qu’au-dessus du parvis de l’Arche, entrée du Temple, est érigé le nuage. Ce nuage dominé par l’arche babélienne est aussi, de par sa forme, une tente, tente protectrice dont on sait qu’elle était in principio l’occupation professionnelle de l’apôtre Paul. Il évoque et invoque la domination des vents, dont nous avons déjà étudié l’importance. Mais l’Arche en tant que tente représente aussi l’Arche d’Alliance qui fut protégée par Moïse de retour du Sinaï, par le biais d’une tente justement. Le nuage se dit ghana en sanscrit : il est appliqué à l’Embryon primordial d’où naît le nom. Et comme le dit Yahvé à Moïse : « je viendrai à toi dans l’épaisseur de la nuée »... (Exode, 19, 9). Détail étonnant, un 15 août, la grue géante placée sur les voies de l’autoroute commença à élever la plaque. À 50 mètres d’altitude, elle se mit à tournoyer sur elle-même. Le château tournoyant est fréquent dans les récits du Graal où il représente les forces démoniaques, incontrôlées, que le chevalier doit maîtriser par les épreuves qu’il affronte.


    L’Arche repose en partie sur le nombre 12. À son sommet, se trouve un zodiaque astrologique dont les douze signes sont les douze portes du ciel. Elle repose sur douze énormes piliers, chaque pilier étant naturellement associé à un signe du zodiaque. Elle mesure 110 mètres de côté. Le nombre Il est très évoqué dans la construction du Temple de Salomon, cette préfiguration architectonique et scientifique du Grand Monarque. D’autres édifices parisiens comprennent ce chiffre, sans compter les tours célèbres du World Trade Center qui à New York comptent 110 étages. L’église Saint-Sulpice mesure 110 mètres de long ; la cour Napoléon du Louvre fait 220 mètres sur 110 ; le Panthéon, toujours lui, a une longueur de 110 mètres.


    L’Arche compte quatre faces. Notons que 25 carrés rythment les faces des tours et la dalle. La cinquième case est occupée par le cratère qui permet d’accéder au centre de la terre.


    L’Arche est censée compter 36 étages ; rappelons à cet égard que le 666 est la somme des 36 premiers nombres. L’Arche est sous la protection des 36 décans de l’astrologie. 36 x 4 donne 144, soit le millième du nombre d’élus de l’Apocalypse de saint jean. Enfin, 36 est la racine de 1296 dont nous avons vu l’importance numérologique.


    L’Arche est un temple astronomique. René Guénon rappelle qu’« il y a dans l’astrologie traditionnelle tout autre chose qu’un "art divinatoire" ou une science conjecturale" comme le pensent les modernes. Il y a là, en vérité, tout ce qui se retrouve, sous des expressions diverses, dans d’autres sciences du même ordre ( ... ) et ce qui donne à ces sciences une valeur proprement initiatique, permettant de les regarder comme faisant partie intégrante de la Science sacrée ».


    Au sommet de l’Arche, sur la dalle, le sol des quatre patios montre un zodiaque de 360’ divisé en 12 signes astrologiques et en 36 décans. Il s’agit de l’œuvre de Jean-Pierre Raynaud qui s’en est expliqué dans la revue Événement média n°, 3 : « J’ai voulu mettre la Grande Arche en situation planétaire. Le XXe Siècle, trop porté sur le visible, n’est pas à l’aise avec les parties invisibles... il fallait retrouver l’Est, c’est-à-dire le degré zéro du Bélier, le premier jour du printemps. À partir de ce point, nous avons placé les douze signes du zodiaque. Il y a quatre patios, quatre endroits où les signes sont occultés. Parmi les huit signes visibles, quatre sont pleins, quatre coupés... Le signe du Lion n’apparaît pas. Mais il est présent dans la partie invisible. Tout ce qui existe n’est pas visible. »


    Le calcul de l’ère est donné par 360 (le zodiaque) x 6 (les faces du cube). La durée de la précession des équinoxes est donnée par 2 160 x 12 (les douze parties soutenant l’Arche). Le chiffre obtenu est de 25 920. 25 920 ans, c’est la durée de l’âge d’or dans la cyclologie traditionnelle. L’âge d’argent décrit par Hésiode dure 19 440 ans, l’âge de bronze 12 960 ans et le fameux âge de fer (le Kâlî-Yuga de l’hindouisme) 6 480 ans. 4, 3, 2, 1 : on retrouve l’ordre de la Tétraktys pythagoricienne.


    La dalle astrologique offre aussi une impressionnante succession de carrés magiques s’emboîtant les uns dans les autres. Les carrés magiques sont associés généralement aux « sceaux planétaires », dont la confection permet d’attirer sur soi les vertus bénéfiques des planètes ou des constellations que l’on invoque par ce moyen. Au centre de la dalle de l’Arche, on trouve le démiurge, le Temple, le carré de Saturne puis celui de la Terre, de Jupiter, de Mars, de Vénus et du Soleil. Nous avons vu que se dresse au centre du parvis, sous le nuage, un temple. Il permet d’accéder au centre de la terre, de passer des Cieux à l’Enfer, comme dans le cas de la pyramide du Louvre. Sous la protection des divinités astrales du zodiaque, l’initié entreprend la descente dans les profondeurs de la terre.


    L’Arche de la Fraternité a été inaugurée le 26 août 1989 à quelque jours de l’inauguration de cet "autre axe" , l’axe majeur de Cergy Saint-CHRISTOPHE clé de tout le projet architectural de François Mitterrand et deux cents ans après la Déclaration des droits de l’homme, dont la conception est de caractère initiatique.





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    Sub Rosa


    Les tracés des diffrérentes roses ont des points de connexion,la base d'une "machinerie" qui, utilise les forces telluriques et cosmiques


    Avec cette humilité naturelle qui leur va comme une bure, les moines prétendent que le "secret des cathédrales" a été retrouvé. Pas moins! Un français, presque par hasard, a découvert qu'un tracé géométrique relie les cathédrales. Les moines se sont empressés de la mettre sur un ordinateur, afin de vérifier cette hypothèse. En fait, ce sont les cathédrales qui ont été construites sur un tracé pré-existant qu'ils ont appelé la Rose de Nostre Dame. D'une part parce que la très grande majorité des cathédrales sont dédiées à Notre Dame. Et d'autre part, ce tracé particulier (fig 3) représente efectivement une rose coupée en 2 perpendiculairement à sa tige. La rose depuis des siècles est synonimes de mystère et de secret.


    Quand on est un tant soit peu versé dans la géométrie, en regardant une carte sur laquelle sont pointées toutes les cathédrales (près de 200 en France), on s'empresse d'avancer le hasard qui doit permettre le dessin d'une figure, les points étant nombreux. En fait, ce tracé complexe émane d'un tracé simple qui est l'étoile à 5 branches (pentalha, pentagramme).



    On trace un cercle dans lequel on construit une étoile à 5 branches, en prolongeant l'une des branches. Le centre étant Paris, plus exactement la croisée des transepts de Notre-Dame. On fait tourner l'étoile autour de son centre, dès que le prolongement rencontre une cathédrale, on constate que les 4 autre branches connectent des cathédrales (fig 1). Il est à noter qu'aucune branche ne tombe dans le vide, chacune touche une cathédrale. Etonnant! Encore plus étonnant: les grandes villes (Cannes, Roubaix, Lille, Einal) qui n'ont pas de cathédrale, ne sont pas sur le tracé.


    Cette étoile à 5 branches est en quelque sorte l'algorythme mathématique grâce auquel on construit la Rose. La Rose des cathédrales est la superposition de plusieurs tracés (voir un tracé simple en fig. 2). Nos moines aiment à dire que "c'est un cadeau de Dieu à notre temps". Pour le confondre, en quelque sorte, dans son dénuement spirituel et sa pauvreté morale. L'un engendre l'autre.


    LA ROSE PROPHETIQUE


    S'exprimant ainsi, nos religieux rappellent que Dieu parle aux hommes. Ainsi, ils expliquent à travers une multitude de nuances que les cathédrales, c'est Dieu qui les a inspirées: l'emplacement, le tracé, les volumes. Si on doute, ils s'empressent de rétorquer "mais tout est dit dans la Bible". En celà ils veulent dire que dans les plans des cathédrales on retrouve le tracé du temple de Salomon. Pourquoi Dieu aurait-il ordonné avec force détails de construire son temple à Salomon, ne l'aurait-il pas ordonné à tous ses enfants au cours des siècles? "Seul l'incrédule en la matière est celui qui est dans 'impiété", dures, dures, ces paroles de moines, mais c'est la vérité vraie, on ne peut parler qu'en connaissance de cause.


    Sans être des Cassandre, des oiseaux de malheur, ils rappellent sans cesse que l'homme court à sa perte, et qu'elle serait imminente. Et ils rajoutent avec un immense sourire emprunt de compassion "sauf si l'homme se convertit". Ils ont même des amis qui parcourent la planète pour le dire. Le plus étonnant c'est que les médias grand public n'en parlent jamais, si ce n'est pour en rire. Par contre devins et autres astrologues se disputent la vedette pour annoncer des prédictions que personne ne prend la peine de vérifier!



    AUTRES ROSES


    L'inventeur de la Rose des cathédrales s'est mis a tracer des roses comme beaucoup le font depuis peu. Ce fut tout d'abord la Rose des bâtiments religieux de Paris. La plus élémentaire est une Rose à 10 branches (2x5). Puis en partant des grands travaux il a pu tracer une Rose à 13 branches dont le centre est la Pyramide du Louvre, et sur laquelle sont implantées les loges.


    Reprenant la carte de France, il a constaté que les centrales nucléaires sont implantées selon des étoiles concentriques à 6 branches. Sans aller jusqu'à ce tracé sophistiqué, on constate que 2 et même 3 centrales sont sur des lignes droites. Et d'aucuns émettent l'hyppothèse que ceci serait la partie immergée d'un iceberg qui serait "une fantastique machinerie" qui pourrait agir sur les climats, sur le psychisme...


    "Hypoyhèse" disent-ils, et rajoutent "nous ne sommes que des pauvres moines, nous n'avons pas à vérifier." Et pourquoi de "Nostre Dame"? Encore les religieux qui ont constaté que l'on parle beaucoup des chevaliers du Moyen Age depuis peu, en donnant nombre de détails sur leur initiation. Il n'est pas inutile de préciser qu'en fait d'initiation, c'était un adoubement et que le chevalier se consacrait officiellement à la Sainte Vierge. "Notre Dame veillez que je devienne pas parjure. Pour Dieu et ma Dame" (sa dame étant la Vierge Marie). Et l'un des vieux moines d'ajouter malicieusement: "On voudrait nous faire prendre le diable pour le Bon Dieu." Ne pas confondre!



    Depuis la découverte de la Rose sur laquelle sont implantées les cathédrales, le principe a été appliqué à d'autres édifices. Ainsi, sur la Rose qui englobe les édifices qui sont les pôles de la foi catholique. Sur une carte de Paris tracer un cercle de 25 cm de rayon, le centre étant la croisée des transepts de Notre Dame. Du centre, tracer 2 droites, l'une en direction du Sacré Coeur, l'autre en direction de la chapelle de la rue du Bac (le choeur des deux édifices étant le point d'intersection des droites). A remarquer que ces 2 droites forment un angle droit. Vous pouvez facilement, en vous servant d'un compas et d'une règle tracer une étoile à 10 branches (2 fois 5 branches) dont les côtés et les axes vont connecter automatiquement différents édifices ou églises. A remarquer que s'inscrit sur la rose l'église de Sainte Geneviève et non le Panthéon. A noter le sanctuaire du Christ Roi qui a été livré aux démolisseurs en 1952, il avait été édifié juste avant guerre à la demande du Christ selon une petite religieuse, Soeur Oliva, qui avait fourni l'emplacement et les plans (elle savait à peine lire, elle fut persécutée toute sa vie).


    En reliant les grands travaux, on trace un angle isocèle, dont 2 des côtés permettent le tracé d'une étoile à 13 branches, le centre en est la pyramide du Louvre. Sur ce tracé on relève le Panthéon, des édifices des Grands Travaux... Appliquant le même principe aux centrales nucléaires on découvre une nouvelle rose composée d'étoiles à 6 branches. Le hasard ne peut pas être invoqué!


    Or les tracés des diffrérentes roses ont des points de connexion, ne pourrait-on imaginer que ceci soit la base d'une "machinerie" qui, utilisant les forces telluriques et cosmiques, entrerait en vibration à des moments déterminés. Tous ces édifices sont construits à la fois sur des points à forte rémanence et de telle façon à être orientés selon certaines évolutions astrales... ?





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    AXE MAJEUR DE LA FRANCE


    L’Axe majeur de la France débute à Cergy Saint Christophe (non loin de Gisors) et croise le méridien de Paris à hauteur de la Pyramide du Louvre. C’est à Cergy sur l’esplanade d’où l’on découvre Paris et les tours de la Défense au loin qu’une dalle a été déposée à l’occasion de la commémoration du bicentenaire de la révolution française.


    L’axe majeur consiste en un gigantesque appareillage de plus d’un km de long et semblable à la Place Saint Pierre au Vatican. Il s’agit là tout simplement du plus grand projet architectural de caractère ésotérique depuis la Grand Place de Bruxelles. Il y a un silence total sur cet axe de la part des gouvernements et il n'y a aucun documents relatifs au symbolisme de cet ensemble.



    Cergy St Christophe


    Cergy St Christophe, (non loin de Gisors et de son château) doit être considéré comme le point de départ d’une gigantesque ligne traversant la France de part en part. La Place Ronde symbolise le monde, avec ses 360 degrés formant un cercle de 360 dalles de 36 centimètres de large. La place ronde est aussi la rotule, le pivot entre la partie traversant le centre de Cergy Saint-Christophe et celle qui descend vers la vallée de l’Oise. Elle est encadrée par l’imposant dispositif des bâtiments de Ricardo Bofill, deux édifices carrés prolongés par une vaste rotonde reposant sur une colonnade interne. La tranche découpée dans l’édifice circulaire constitue la pente de visée de l’axe, une fenêtre incitant à la découverte du paysage. Lors de la conception de la Place Ronde, l’intervention de Bofill n’était pas encore prévue. Karavan avait pensé à placer en son centre, sur un socle circulaire en déclivité, un obélisque porteur d’un émetteur-laser. L’architecte catalan a été amené progressivement à modifier ses plans, à abandonner la déclivité et substituer à l’obélisque une tour carrée. Bofill a été amené à modifier un point de détail de son architecture pour mieux servir le concept de la tour penchée de Dani Karavan.


    La Tour Carrée située au centre de la place, symbolise avec ses 36 m de hauteur et 3,60 m de côté, à la fois l’équilibre et l’inflexion de l’axe, puisqu’elle est légèrement inclinée en direction du Sud-ouest. C’est la parfaite illustration sémiotique de la symbolique du Nombre : « qu’un seul des 36 hommes justes garants de la sagesse de la société vienne à manquer, l’équilibre est rompu. » De son sommet, belvédère de l’axe, on découvre le panorama sur la ville et toute la région parisienne. C’est de là que part le rayon laser, pour aboutir sur la ville et toute l’Oise et de son étang, au carrefour autoroutier de Ham, l’autre porte de la ville. Le rayon lumineux projette dans le ciel nocturne la perspective linéaire Nord-est/Sud-est de l’axe. Cette perspective rejoint au-delà du carrefour de Ham, l’axe des Champs-Elysées (Tuileries-Etoile-Défense) et le coupe sur la Seine à la hauteur de L’lle de Chatou, l’Ile des Impressionnistes, située sur la commune de Carrières-sur-Seine.


    Le Verger qui fait immédiatement suite à la Place Ronde, est un rappel du passé-agricole de Cergy. Les fenêtres externes de la Rotonde de Bofill donnent sur ses rangées d’espaliers. L’allée centrale traverse ensuite l’Esplanade, lieu de rencontre et d’animation, marquée par des éléments structurels qui évoquent la parenté analogique de l’Axe Majeur avec les grands tracés d’Ile-de-France : une colonnade, dont l’implantation et les proportions rappellent l’Arc de Triomphe du Carrousel ; un dallage de pavés du Louvre provenant du Passage de la Cour Napoléon à la Cour Carrée ; une fontaine de Vapeur, témoin de la présence d’une nappe d’eau chaude souterraine ; un rappel de rails sur le tracé de l’ancien chemin de fer qui desservait les villages des fermiers de la vallée de l’Oise jusqu’au début de ce siècle. L’esplanade débouche sur la Terrasse, belvédère panoramique situé à la rupture de la pente du plateau, amorce de la descente vers l’Oise. Les stations suivantes marquent les approches progressives du fleuve.

    Les jardins des Coteaux constituent la liaison végétale entre la partie urbanisée du plateau et la vallée de l’Oise. L’Amphithéâtre en bas du jardin, suit le rythme dégressif des courbes de niveau. Il constitue un lieu de spectacles à l’air libre et ses gradins font face à la Scène, entourée d’eau et qui donne sur un bassin relié directement à l’Oise. Conçu à la française, ce bassin crée l’illusion d’une inclinaison du niveau de l’eau. Il permet l’accès direct du fleuve à la Scène.


    L’Oise se trouve ainsi insérée dans la perspective de l’axe. Elle devient lieu théâtral. L’ensemble amphithéâtre et scène se trouve à proximité et en liaison directe avec l’ancienne maison de Gérard Philipe située au coeur d’un parc dont la vocation est éminemment culturelle.



    La cathédrale d’Evry


    La cathédrale d’Evry, dont le choeur, est dirigé Nord-Ouest et non à l’Est est la seule cathédrale construite ce siècle et avec de l'argent public. La symbolique franc maçonne se retrouve partout dans la forme générale. On peut constater entre autre, la colonne tronquée, chère aux francs-maçons. Cette symbolique ésotérique se retrouverait dans la forme générale. On peut effectivement rapprocher la forme de l'édifice de la colonne tronquée chère aux francs-maçons. Mais cette forme est récurrente chez l'architecte Botta, puisqu'on la retrouve dans un des "clones" de la cathédrale, le Musée d'Art Moderne de San Francisco. Le biseau permet simplement de donner une orientation au cylindre. Le second symbole maçonnique est le triangle (rappel de l'équerre). Le toit est effectivement triangulaire, mais le triangle est aussi un des symboles chrétiens, celui de la Trinité que l'on retrouve sur de nombreuses œuvres d'art religieuses.



    Paris


    A Paris, l'Axe croise le méridien de Paris à hauteur de la Pyramide du Louvre.



    Colline de Solutré


    Le tracé poursuit sa route pour traverser la colline de Solutré, haut lieu tellurique et ancien siège des Druides, lieu annuel d’un pèlerinage mystique. Mitterrand y fait de son pèlerinage un cheminement initiatique et chromatique: «Mes pas y tracent un chemin d’arc-en-ciel où dominent le mauve et le bleu». Au pied de la "Roche de Solutré", au lieu-dit "le Clos du Charnier" fut découvert en 1866, au-dessus d'un amas d'ossements de chevaux, un outillage lithique caractéristique. Dans le foyer, placé au milieu de la caverne, on a rencontré une pierre portant des signes inexpliqués jusqu’à ce jour qui fit donner le nom de "Solutréen" à une période culturelle du Paléolithique supérieur, entre -18.000 et -15.000 avant J.C.



    Château-Chinon


    Le château médiéval de Chinon est situé dans le département de l'Indre-et-Loire (37) entre Angers et Tours le long de la Vienne.Il domine le long de la Vienne l'ensemble du centre ville sur 500m de longueur et est positionné sur un éperon rocheux, dont les pentes sont abruptes sur 3 cotés. C’est en 1044 que Chinon, devient alors un domaine des Comtes d'Anjou. Des responsables de l'Ordre des templiers (en particulier le Grand Maître Jacques de Molay) furent emprisonnés dans son donjon par Philippe IV le Bel avant leur jugement. Les prisonniers ont gravé sur les murs des signes religieux et ésotériques encore visibles aujourd’hui. La légende veut qu'à l'instant de succomber dans les flammes, Jacques de Molay ait lancé une malédiction à l'attention du roi et du Pape : "Pape Clément ! Roi Philippe ! Avant un an, je vous cite à paraître au tribunal de Dieu pour y recevoir votre juste châtiment ! Maudits ! Maudits ! Tous maudits jusqu'à la treizième génération de vos races !" La malédiction du templier allait s'avérer exacte : Clément V meurt le 20 avril 1314 d'étouffement et Philippe le Bel décède en novembre 1314 d'un ictus cérébral ; ses trois fils mourront dans les 12 années à venir, sans laisser de descendance mâle, mettant ainsi fin à la lignée des Capétiens directs.



    Cortona


    L'Axe se termine en Italie à Cortona (ville jumelée avec Château-Chinon, le fruit du hasard certainement), où selon la légende se trouverait le tombeau du fameux Pythagore. On y trouve, là-bas aussi quelques traces templières.



    L'AFFAIRE DE GISORS


    Depuis son enfance, Roger Lhomoy, enfant du Vexin Normand, avait entendu parler de la légende d'un trésor était enfoui dans le château de Gisors. Au cours des années quarante Roger Lhomoy parvient à se faire embaucher comme gardien du Château. Là, il peut mener ses recherches en toute quiétude. La Mairie, alors propriétaire du château, met à sa disposition un logement de fonction au sein même de l’ensemble médiéval. Quelle aubaine pour notre chercheur ! A partir de ce moment ses activités de chercheur commencent. Le soir, dés que les portes du jardin sont fermées, Roger Lhomoy se met au travail et il finit par trouver.


    «Je suis dans une chapelle Romane en pierre de Louveciennes, longue de trente mètres, large de neuf, haute d’environ quatre mètres cinquante à la clef de voûte. Tout de suite à ma gauche, près du trou par lequel je suis passé, il y a un autel, en pierre, lui aussi, ainsi que son tabernacle. A ma droite tout le reste du bâtiment. Sur les murs, à mi-hauteur, soutenus par des corbeaux de pierre, les statuts du Christ et des douze apôtres, grandeur nature. Le long des murs, posés sur le sol, des sarcophages de pierre de 2 mètres de long et de 60 centimètres de larges : il y en a 19. Et dans la nef, ce qu’éclaire ma lumière est incroyable : trente coffres en métal précieux, rangés par colonnes de dix. Et le mot coffre est insuffisant : c’est plutôt d’armoires couchées qu’il faudrait parler, d’armoires dont chacune mesure 2,20 m de long, 1,80 m de haut, 1,60 m de large.»


    Une délégation de la mairie se rend sur les lieux. Personne n’ose descendre dans le puits de Lhomoy. Seul un certain Emile Beyne, ancien officier du Génie, accepte de s’introduire dans le boyau. Il ira presque au bout des excavations de Lhomoy. Mais devant le risque encouru et le manque d’air il se cantonne à envoyer des pierres dans l’orifice et constate que «cela résonne» Pour la mairie de Gisors, l’affaire en restera là ! D’autorité, et sans même tenter la moindre fouille, les excavations de Lhomoy seront rebouchées. Il tentera durant de nombreuses années à se faire entendre, tant auprès de la municipalité, qu’auprès du département. Pour beaucoup, Lhomoy ne sera plus qu’un original à l’esprit un peu dérangé.


    La place ronde à Cergy St Christophe La cathédrale d’Evry La colline de Solutré




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  • Un bon débunking?


    C'est en 1976 qu' une vue électronique de la région de l'hémisphère nord (située sur le 41éme parallèle martien) du sol martien fut obeservée, renvoyé par la sonde Viking Orbiter. La région de Cydonia Mensae posséde de nombreux éléments intriguant sur la nature de Mars : forteresse, pyramide à cinq faces, anneau, tertre et surtout un visage. Le visage est situé dans la région de Cydonia Mensae, par 41° de latitude nord et 12,8° de longitude ouest. Il mesure 2,5 kilomètres de long, 1,5 kilomètres de large et 400 mètres de hauteur. . un sphinx rocheux de 2,5 km de long et de 1,5 de large tourné vers le ciel! Ce visage est-il naturel ou artificiel? Qu'en est-il des étranges monticules situés à proximité ? Est-ce un jeu de lumière sur une montagne?


    En 1976 la NASA, pour préparer un futur amarsissage, avait lancé le plan Viking qui visait dans un premier temps à cartographier la surface de la planète rouge. Le 25 juillet 1976, le visage fut photographié pour la première fois (ref 35A72) par le Viking Orbiter 1 qui survolait la région de Cydonia Mensae à une altitude de 1873 km. La résolution était alors de 47km / pixel. Les scientifiques lui attribuèrent tout de suite le nom de "the face" (le visage). Pour la NASA c'était juste une combinaison d'une certaine forme naturelle et d'un éclairage particulier. Mais une autre photo fut prise sous un éclairage légèrement différent 35 jours après la première. (ref 70A13). Le visage était toujours là. Non loin de là, un ensemble de formation rocheuses présente d'étranges caractéristiques. On l'appelle "la ville".


    Le visage est situé dans la région de Cydonia Mensae. Ses dimensions sont d'environ 2.1 km longueur, 1.6 km de largeur, et 0.5 km de hauteur. Il semble être sur une sorte de plateforme. Le visage aurait des "dents", comme on peut le voir sur des agrandissements.


    On constate que la partie droite ne ressemble pas à la partie gauche. On pourrait conclure au résultat d'une érosion si le visage avait été fabriqué, ou plus simplement à une formation naturelle qui expliquerait cette dissymétrie. Quand nous savons que les pyramides d'égypte sont construites selon la carte du ciel de l' époque (nous n'avons pas la même carte du ciel aujourd'hui), cela devient plus que derangeant, étrange!


    D'étranges monticules sont dréssés non loin du visage. On peut y reconnaitre Une pyramide à 4 cotés, une pyramide à 5 cotés(en dehors de l'image), une pyramide en forme de cône et une structure qui fait penser à une forteresse.





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    Les formations les plus importantes présentent des cotés ayant la même orientation. On y voit la pyramide à 4 cotés, le visage, la forteresse et une autre formation. Il y a d'autres curiosités sur le site, comme par exemple des quadrillages qui font penser à un village Inca; ou à un canal rectiligne.


    L'image de Mars Global Surveyor daté du 5 avril 1998 avait été prise en plein hiver, et l'atmosphère laiteuse, chargée de nuages et de brumes, avait pu masquer certains détails essentiels. Le 8 avril 2001, Mars Global Surveyor acquis un nouveau cliché de l'énigmatique formation, en plein été cette fois. Pour réussir la prise de vue et centrer le visage dans le champ de la caméra de Mars Global Surveyor, les ingénieurs ont du incliner la sonde sur le côté d'un angle de 24,8°.

    Avec une résolution de 1,56 km par pixel (contre 43 km/pixel pour le meilleur cliché Viking et 19 Km/pixel pour Mars Odysée). Selon la NASA, c'est l'image la plus précise jamais obtenue du visage de Mars.


    Elle ne montre rien d'autre qu'une colline fortement érodée, sans bâtiments, astroport, voies d'accès ou ville. L'altimètre laser de Mars Global Surveyor a de plus permis de créer un modèle en 3D du visage. Sa hauteur, son volume et sa surface sont similaires à celles des autres collines qui abondent dans la région de Cydonia. Un bon débunking?


    En 2004, Mars Odysée de la NASA a renvoyé une nouvelle photo impressionnante du visage sur Mars, et c'est toujours une face! (Cliquer sur l'image pour un agrandissement). C'est la dernière image que nous ayons du site.




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    CYDONIA ET LES SITES MEGALITHIQUES


    David Percy, chercheur et directeur européen des opérations pour la mission Mars, co-auteur de l'ouvrage "Deux tiers" présentant l'hypothèse qu'une forme de vie intelligente a conçue et élaborée une construction sur la planète Mars, a donné une conférence sur ce sujet en septembre 1996 à l'université de Bradfor, en Angleterre. Il met en évidence le lien entre le site marsien de Cydonia avec les sites mégalithiques d'Avebury, Glastonbury et Stonehenge en Angleterre, et la forme caractéristique de certain crop-circle.



    Le cratère marsien correspond au cercle d'Avebury (qui était pourvu à l'origine de deux grands cercles de roches), dont la date de construction est estimée entre 2500 ans avant J-C pour certains, 5000 ans avant J-C pour d'autres. Si l'on observe avec attention le cratère du site de Cydonia, on remarque une protubérance géographique semblable à une bute, juste avant un trou. On retrouve cette particularité sur le cercle d'Avebury. Cette particularité se trouve être un tétraèdre.


    Il y a 2 points blancs dans le cratère (deux pierres blanches ?). D'après David Percy, ces repères blancs se rapportaient à l'emplacement de deux disques tournant qui injectaient des gravitrons dans la planète, ce qui avait pour effet d'alourdir Mars afin de lui permettre de tourner à la bonne vitesse et ainsi, d'avoir une atmosphère...



    Si l'on reporte le site de Cydonia en transparence et à l'échelle 14:1 sur le site mégalithique anglais on constate que l'emplacement de la bute en spirale sur Cydonia correspond à la montagne de Silbury et que le sommet de la pyramide à cinq côtés correspond à la stèle d'Avebury.



    La spirale qui caractérise la butte dans la zone de Cydonia a été reproduite par des scientifiques qui ont constaté qu'il s'agissait d'une spirale logarithmique. On retrouve cette spirale logarithmique sur le crop circle qui apparu le 17 juillet 1991 dans la région de Barbury. On peut remarquer au centre de ce même crop circle un tétraèdre qui a peut-être aussi un rapport avec la planète Mars.


    La plupart des planètes, en raison de leur rotation, connaissent un pôle d'énergie physique tridimensionnel situé entre le 19éme et le 20éme degré de latitude, aussi bien dans l'hémisphère nord que dans l'hémisphère sud. Cette latitude coïncide avec celle d'une pyramide fictive de 3 côtés dont la base serait à l'intérieur de la planète. Nous appelons cela un tétraèdre circonscrit, avec un sommet au pôle sud et les pointes à 19.47°.





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    Lorsque l'on trace une droite passant par la bute en spirale du site de Cydonia et le tétraèdre qui surplombe le cratère, et une autre passant toujours par cette même butte et par le mur longeant le cratère, on peut mesurer un angle de 19°47 entre ces deux droites.



    On peut trouver cet angle dans une des mesures effectuées sur un autre crop circle apparu le 27 juillet 1991 à Silbury Hill. Il est plus que tentant de faire le rapprochement quand on sait qu'il existe des rapports entre la taille des cercles de cette figure géométrique et les rapports de masse entre Mars et la Terre !


    Photos de Viking 1 en 1976 reconstitution 3D de Cydonia Mensae Le cratère marsien angle de 19°47 angle de 19°47 n°2 angle de 19°47 image Nr2


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  • LE MACHU PICHU


    Machu Pichu, ("la vieille montagne") sans doute construit au XVe siècle sur un site pré-inca, est situé à 122 km au nord-ouest de Cuzco. L'emplacement de cette ville forteresse Inca fut gardé secret jusqu'à la découverte du site en 1911 par le jeune archéologue américain, Hiram Bingham. Des familles locales vivaient alors sur les lieux. Perchée à 243O m d'altitude, dans un site naturel défiant toute raison, au sommet d'une crête entre deux pics, à environ 600 m au-dessus de la vallée de l'Urubamba. Cette cité inca est une des plus spectaculaires cités perdues de la planète.


    La forteresse s'étend entre 2 sommets, le Machu Picchu, vieux pic, encerclé par une gorge très profonde au fond de laquelle gronde le rio Urubamba et le Huayna Picchu, jeune pic que gravissent des marches taillées dans la pierre. La forteresse couvre environ 13 km2 sur des terrasses construites autour d'une place centrale et reliées par de nombreux escaliers.


    La plupart des édifices (près de 200) sont des maisons en pierre d'une seule pièce (aujourd'hui démunies de toit), organisées autour de la place centrale. Certaines structures plus importantes avaient fort probablement une fonction religieuse. Toutes sont caractérisées par leur qualité technique et artistique. On avait même aménagé des champs artificiels, sculptés sur les parois escarpées de la montagne.


    Les historiens ont peine à imaginer la manière que les Incas ont utilisée pour construire cette ville. Chose certaine, les énormes pierres ne provenaient pas de la montagne. Les besoins en main d'oeuvre devaient être très impresionnants. Les concepteurs du site ne pouvaient pas rouler les pierres sur des troncs d'arbres, il n'y avait pas d'arbre sur la montagne. Aussi, les parois de la montagne étaient beaucoup trop vertigineuses.

    Sur le site on n'a retrouvé des momies de femmes (environ 250). Il est probable que ces femmes ont été tuées par l'empereur lorsque les Incas perdirent une bataille. La raison est simple : la ville devait rester secrète.


    Elle n'est pas mentionnée dans les écrits des conquérants espagnols du Pérou et on ignore à quelle époque elle a été occupée. Le découvreur du site Hiram Bingham pensait que Machu Picchu avait été le dernier refuge des Incas de Cuzco fuyant les envahisseurs espagnols, mais en fait on ne sait rien de son histoire. Quand Hiram Bingham découvrit le site, la ville était complétement recouverte par la végétation. La plupart des objets présents sur le site ont été transférés aux USA.


    Cette ville forteresseest spectaculaire, mais cela n'explique pas comment les Incas ont fait pour la construire. Machu Picchu demeure encore un mystère à l'heure d'ajourd'hui. D'autres sites plus grands que Machu Picchu viennent d'être découverts dans les environs mais ne sont pas encore ouverts au public. Ceux-ci seraient des villes pour héberger les servants et l'armée, alors que le site du Machu Picchu était un lieu strictement réservé au monarque et à la cour.






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    Cuzco


    La capitale Incas Ccoscco (Cuzco), signifie en quechua le "nombril de la terre".


    Le nom de la capitale inca, Ccoscco, hispanisé plus tard sous la forme de Cuzco , signifie en quechua le " nombril de la terre ". Située à 3400 m d'altitude dans une haute vallée très fertile, la ville jouit, grâce à la proximité du tropique, d'un climat salubre et favorable à l'agriculture. Aujourd'hui classée "patrimoine culturel de l'humanité" pour la richesse de ses monuments incas et coloniaux, elle figure parmi les cités les mieux conservées de l'Amérique précolombienne.


    Au début du 15e siècle, une intrusion sur le territoire de Cuzco de la redoutable tribu des Chancas (qui occupaient le site de l'actuelle région d'Ayacucho) fut repoussée par l'Inca Viracocha. Les Chancas répétèrent leur attaque et parvinrent aux portes de la ville où ils furent finalement battus par Inca Yupanqui, fils de Viracocha, aux alentours de 1438. Ce dernier devint souverain sous le nom de Pachacutec.


    C'est à Pachacutec que l'on doit en grande partie la physionomie actuelle de la ville de Cuzco, puisqu'il la fit reconstruire presque entièrement en vingt ans selon un plan en damier dont le périmètre aurait eu la forme d'un puma, avec des rues pavées et étroites et des édifices en pierre.


    A cette époque (fin du 15e siècle) la ville comptait environ 200 000 habitants et était protégée par la forteresse de Sacsayhuaman qui pouvait abriter une garnison de 5000 soldats. L'édifice principal de la ville est le Korikancha, le temple du soleil, entièrement construit en pierres parfaitement ajustées. L'or (qui n'a aucune valeur pour les Incas) s'y trouve à profusion; il recouvre certains murs et est utilisé pour les statues du jardin. La représentation de l'astre divin est faite avec ce métal entouré de pierres précieuses. La place principale de la ville est entourée des principaux palais. La plupart des édifices sont en pierres très bien travaillées.


    La ville proprement dite est surmontée par le site de Sacsawaman, forteresse ou lieu de culte, un ensemble mégalithique impressionnant, et qui serait la tête d'un puma dont le corps est constitué par la partie basse de la cité. Plus qu'un centre administratif Cuzco est le cœur spirituel et religieux de l'Empire. C'est le pivot autour duquel se sont construits les mythes fondateurs et fédérateurs. C'est en son cœur que l'Empereur ordonne le chaos en mettant en contact les univers des dieux, des hommes et des morts. Pourtant sous le règne de Wayna Capac la mythique Cuzco perd de son importance au profit de la nouvelle Tumipampa bâtie au Nord de l'Empire. Ce transfert peut-être marque-t-il l'avènement d'une nouvelle ère, celle d'un empire multi-ethnique au détriment du monopole Inca.


    LE TEMPLE DU SOLEIL


    Il s'agit du fameux Coricancha de Cuzco, littéralement, en quechua : "Enceinte (cercle) de l'or". Dressé au centre de la capitale de l'empire Inca, cet édifice, dont subsistent d'importants vestiges qui ont récemment été remis en valeur, représentait le lieu le plus sacré de l'empire des Incas. Le temple du Soleil était le théâtre des cérémonies importantes des souverains Incas : mariages, sacres, funérailles. C'est là que leurs momies étaient conservées, assises sur des trônes en or.


    Il fut le plus vaste et le plus richement orné de son époque : ses grands murs de pierre, en appareillage inca, mesuraient 140 m de long sur 135 de large. Les chroniqueurs espagnols ont abondamment décrit ses richesses fabuleuses, avant qu'elles ne soient fondues ou éparpillées : le pourtour du temple, aux murs peints en bleu, était orné d'une énorme corniche en or de "deux paumes et quatre doigts de large", les autels, les portes, les statues, étaient décorées de planches d'or et d'argent, parfois incrustées de pierres précieuses qui, de jour comme de nuit, reflétaient la lumière du jour ou bien celle des torches.


    La porte principale, ornée de motifs d'or et d'argent, s'ouvrait sur un grand sanctuaire qui aurait été reconstruit sous le règne de Pachacutec au 15e siècle, dont un mur arrondi en pierres taillées et jointes avec soin formait l'abside. Au-dessus de l'autel, étincelait un grand disque d'or, censé représenter le Soleil. Il était "rond et grand comme la roue d'un char", rapporte le chroniqueur Gutierrez de Santa Clara. Il était placé de telle manière que les rayons du soleil levant le frappaient et le faisaient resplendir.


    Du temple partaient des terrasses qui descendaient vers la rivière Huatanay. C'est là que se trouvait le jardin en or qui a provoqué l'admiration des conquistadors et qui est devenu pour tous les écrivains une source inépuisable de poésie. Tout y était en or : l'herbe, les fleurs, les arbres, les reptiles, les oiseaux et le berger lui-même, hommage rendu au Soleil dont l'or était l'émanation terrestre, concentration des offrandes des peuples vassaux, suprême témoignage de la puissance du dieu de lumière.


    A l'arrivée des Espagnols, il fut rasé et pillé de fond en comble. Les plaques d'or couvrant les murs furent arrachées et les momies des anciens Incas profanées. Il ne resta debout que les fondations qui, peu après, servirent d'assise à la construction de l'église et du couvent de Santo Domingo.


    HATUN RUMIYOC : LA PIERRE AUX DOUZE ANGLES


    Dans une autre rue de Cuzco, se dressent les murailles en pan incliné de ce qui fut la résidence de l' Inca Roca, nommé empereur vers 1350. L'appareillage mégalithique de ces murailles est formé de blocs polygonaux.


    L'assemblage de ces blocs polygonaux est tellement parfait que l'on ne pourait y glisser la pointe d'un couteau. De cet ensemble se dégage une formidable impression de solidité et de puissance. Bien visible parmi ces blocs et presque au centre de la rue, se trouve la fameuse Pierre aux douze angles, appelée en quechua Hatun Rumiyoc ("la grande pierre") qui a donné son nom à l'édifice.


    Elle ne représente pas dans l'architecture inca un cas isolé : il existe ailleurs des pierres multiangulaires remarquables, mais celle-ci est la plus célèbre pour avoir été maintes fois évoquée par les chroniqueurs.


    Ces douze angles ont fait l'objet de nombreuses spéculations; l'on prétend par exemple qu'il représenteraient les douze mois de l'année.


    LA FORTERESSE DE SACSAYHUAMAN DE CUZCO


    Cette forteresse cyclopéenne qui se dresse sur une colline dominant la ville de Cuzco, fut érigée au temps des Incas, sans doute à l'initiative de l'inca Pachacutec et sur les plans de son architecte Huallpa Rimachi.


    L'oeuvre fut poursuivie sous le règne de Tupac Inca Yupanqui, et peut-être achevée sous celui de Huayna Capac. 20 à 30 000 hommes travaillèrent pendant 60 ans à sa construction.


    Elle est composée de trois remparts parallèles longs de 600 m, disposés en zig-zag, lesquels sont constitués de blocs monolithiques, (le plus grand mesure 9 m de haut,5 m de large et 4 m d'épaisseur, pour un poids d'environ 350 tonnes) parfaitement assemblés et encastrés les uns dans les autres.

    Les enceintes, qui mesurent à peu près 360 m de long, sont reliées par des escaliers et des portes trapézoïdales. La technique utilisée pour transporter et assembler de telles masses reste un mystère.


    En 1533, le chroniqueur espagnol Sancho Pedro de la Hoz écrivait à son sujet : "Dans tout le pays, vous ne trouverez pas de murailles aussi magnifiques. Elles sont composées de pierres si grandes, que personne ne peut croire qu'elles y aient été amenées par des êtres humains... Ni l'aqueduc de Ségovie, ni aucune autre construction réalisée par Hercule ou par les Romains ne peut être comparée à celle-ci...".


    Devant la forteresse s'étend une vaste esplanade où a lieu tous les ans, le 24 Juin, une illustration de l'Inti Raymi, ou Fête du Soleil, dans un but uniquement touristiques, un spectacle haut en couleurs et tout à fait grandiose.


    La forteresse était garnie de trois tours dont il reste les substuctions : la tour ronde de Muyomarca abritait l'Inca et sa cour pendant les périodes de méditation et de jeûne.


    Celle de Paucamarca avait une fonction religieuse et était vouée au culte du Soleil. Sa base au sol est constituée d'un cercle de pierres d'une douzaine de mètres de diamètre et d'une structure en étoile dont la signification n'est pas éclaircie.


    D'après la légende, elle était reliée au Coricancha (temple du Soleil) par un réseau de galeries souterraines. Celle de Sullamarca était réservée à la garnison et abritait des dépôts de nourriture, d'armes et de vêtements.


    Sous les murs de Sacsayhuaman se joua l'un des derniers épisodes de la conquête du Pérou. En 1536, lors du soulèvement de Manco Inca, les Espagnols qui tenaient le centre de Cuzco furent assaillis de toutes parts par des milliers de soldats incas. Ils réussirent de justesse à conserver leurs positions et tentèrent de desserrer l'étau par une contre-attaque sur Sacsayhuaman qui se solda par un échec : Juan Pizarro (le plus jeune des quatre frères) y fut mortellement blessé.


    La bataille donna lieu à l'héroique épisode du capitaine inca Cahuide, passé à la postérité : alors que les Espagnols assaillaient la tour où il s'était retranché avec plusieurs guerriers, il préféra sauter dans le vide et alla s'écraser au pied de celle-ci plutôt que de se rendre. Le siège de Sacsayhuaman a été relaté par un témoin oculaire de la bataille, Pedro Pizarro (le cousin des quatre frères), dans sa chronique Relacion del descubrimiento y conquista del Peru , rédigée en 1571.


    LA FORTERESSE DE SACSAYHUAMAN  DE CUZCO La forteresse était garnie de trois tours LA PIERRE AUX DOUZE ANGLES  Une porte du Temple du Soleil, dans l'actuel cloître de Santo Domingo




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    TIWANAKU


    Au sommet de l’Altiplano de Bolivie, au sud du Lac Titicaca, à 3 850 mètres d’altitude se trouvent les ruines d’une civilisation oubliée, faute de traduction de leurs symboles et de leur langue. Au moment où l’Empire Incas fut fondé, la civilisation de Tiwanaku était déjà disparue. On peut, sans aucun doute, considérer Tiwanaku comme l’ancêtre de la civilisation Incas, qui a poursuivi son œuvre architecturale, spirituelle et sociale. Tiwanacu était strictement un temple où se pratiquaient des cérémonies religieuses. La population habitait environ à 20 km du centre sacré, sur les bords du gigantesque Lac Titicaca.


    Les grands prêtres de Tiwanaku possédaient déjà de grandes connaissances astronomiques et faisaient construire les temples de façon à pouvoir vénérer le Soleil et la Lune. L’architecture particulière, permettait de les faire apparaître à travers une ou plusieurs embouchures alignées, à certains moments du mois ou de l’année, conformément à leur rituel.





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    LAC TITICACA

    Lac Titicaca


    Situé à 3812 m d'altitude au centre de l'Altiplano partagé entre le Pérou et la Bolivie le Titicaca est l'un des lacs les plus hauts du monde et le seul navigable à cette altitude. Il occupe une superficie de 8340 km², une longueur maximum de 196 km et une largeur maximum de 80 km. Sa profondeur maximum est de 281 m. Sa température est pratiquement constante (11° à 20 mètres de profondeur). Ses eaux sont très légèrement salées. Il est le résidu d'un lac beaucoup plus vaste le Ballivian qui au quaternaire recouvrait une grande partie de l'Altiplano. Le lac compte une quarantaine d'îles certaines possèdant des vestiges Incas. Il y a très longtemps, le lac Titicaca était une vallée fertile peuplée d'hommes vivant heureux et tranquilles. Rien ne leur manquait; la terre était riche et leur procurait tout ce dont ils avaient besoin. Cette région est incontestablement celle où la culture indienne est restée la plus vivante.


    Selon la légende, Les Apus, les dieux des montagnes, protégeaient les êtres humains. Ils ne leurs interdisaient qu'une seule chose : personne ne devait monter au sommet des montagnes où brûlait le Feu Sacré. Pendant longtemps, les hommes ne pensèrent même pas à enfreindre cet ordre des dieux. Mais le diable, esprit malin condamné à vivre dans l'obscurité, ne supportait pas de voir les hommes vivre si paisiblement dans la vallée. Il s'ingénia à diviser les hommes en semant la discorde. Il leur demanda de prouver leur courage en allant chercher le Feu Sacré au sommet des montagnes.


    Alors un beau jour, dès l'aube, les hommes commencèrent à grimper au sommet des montagnes, mais à mi-chemin ils furent surpris par les Apus. Ceux-ci comprirent que les hommes les avaient désobéi et décidèrent de les exterminer. Des milliers de pumas sortirent des cavernes et se mirent à dévorer les hommes qui suppliaient le diable de les aider. Mais celui-ci restait insensible à leurs suppliques.

    Voyant cela, Inti, le dieu du Soleil, se mit à pleurer. Ses larmes étaient si abondantes qu'en quarante jours elles inondèrent la vallée. Un homme et une femme seulement parvinrent se sauver sur une barque en jonc. Quand le Soleil brilla à nouveau, l'homme et la femme n'en croyaient pas leurs yeux : sous un ciel bleu et pur, ils étaient au milieu d'un lac immense. Au milieu des eaux flottaient les pumas qui s'étaient noyés et s'étaient transformés en statues de pierre. Ils appelèrent alors le lac "Titicaca", le lac des ''pumas de pierre''.


    C’est sur les rives péruviennes du lac que s’étaient établis les Aymaras qui croyait que le dieu fondateur Viracocha était sorti des eaux du lac pour créer le monde. C’est également du Titicaca que seraient sortis Manco Cápac et Mama Ocllo, le couple fondateur de Cuzco et de la dynastie inca.


    Les vestiges de Cuzco (Pérou) et de Tiwanaku (Bolivie) sont dans la région du lac. Les restes de ce que les scientifiques pensent être un temple vieux de plus de 1000 ans, ont étés trouvés dans les eaux au sud du lac.


    Les terrasses de basse altitude où le maïs pourrait se développer sont toujours à un niveau au-dessus du lac Titicaca. Ceci signifie que les peuples "préhistoriques" cultivant le maïs ont vécu dans le secteur avant que et après que de nombreux phénomènes cataclysmiques qui ont soulevé les Andes modifient l'aspect du lac. Il y a énormément de ruines antiques tel que la chaussée en pierre menant hors du lac Titicaca. Ces ruines sont enterrées sous le sédiment sur le fond peu profond du lac. Le sédiment contient des fossiles de coquille de mer datant de 12000 Av. JC. Le lac aurait donc été lié à la mer bordé par des villes et des ports.


    L'île d' Amantani (Pérou) est peuplée depuis l'époque précolombienne l'île renferme d'intéressants restes archéologiques en particulier le Pacha Tata et le Pacha Mama, deux temples situés sur les deux sommets de l'île. L'île de Taquille (Pérou) et sa fameuse porte donant sur le lac, est l'une des îles les plus connues, car probablement la plus touristique. Sa superficie est de 6 km².


    Lac Titicaca Lac Titicaca


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  • Près de la ville de Visoko, à 30 kilomètres au nord de Sarajevo, il y aurait une pyramide de pierre de taille monumentale, indique l'archéologue bosnien spécialiste de l'Amérique Latine, Semir Osmanagic, qui vit et travaille aux Etats-Unis. C'est sous l'impulsion d'un directeur de musée local, que des études du relief ont été faites près de Visoko, au nord ouest de Sarajevo.


    Des pyramides de 12000 ans sous les collines de Bosnie!

    Après plusieurs mois de recherche géologique et archéologique, Semir Osmanagic a conclu que sous la colline de Visocica se cache une pyramide, datant d'environ 12.000 ans. Semir Osmanagic, qui a intensivement fait des recherches sur des pyramides en Amériques, en Asie et en Afrique pendant 15 années, a écrit plusieurs livres sur le sujet. Il dit qu'il est tout à fait sûr d'avoir trouvé la première pyramide en Europe, et que celle-ci est tout à fait semblable à celles d'Amérique méridionale.


    Sur le dessus "de la pyramide bosnienne du soleil" il y avait un temple, construit par des pre-Illyrians, un peuple ayant vécu, selon Osmanagic, il y a 27.000 ans. Osmanagic pense qu'il résoudra "la pyramide bosnienne du soleil" en cinq années, mais parle également de l'existence "de la pyramide bosnienne de la lune", se trouvant sous la colline voisine de Kriz.


    Le principal journal bosnien "Dnevni Avaz" écrit au sujet de la pyramide: "la pyramide est haute de 100 mètres et évidemment elle contient des salles et un couloir monumental. Le plateau est établi par des blocs en pierre, qui indique la présence d'une civilisation fortement développée. Les excavations archéologiques près de la surface ont découvert une pièce avec un mur et des fragments divers ainsi que du ciment primitif. Aussi la "colline de Visocica ne pourrait pas avoir été formée par la nature!


    M. Osmanagic affirme que les deux "constructions" présentent des similitudes frappantes avec les célèbres pyramides du Mexique, des paires représentant l'une soleil et l'autre la lune. Les géologues ont relevé des anomalies concernant la forme de collines de la région de Visoko. C'est pour cette raison qu'il a baptisé la colline de Visocica "La pyramide bosniaque du soleil". L'hypothèse avancée est que les anciens auraient utilisé une colline aux formes adéquates pour la recouvrir et la former avec des pavés faits de ciment. Osmanagic pense que cette pyramide aurait été construite par les Illyriens qui occupaient les Balkans bien avant que les peuples Slaves ne conquièrent la zone (600 avant JC). Par ailleurs, on sait que la région de Vosoko est habitée depuis plus de 7000 ans.


    M. Osmanagic, qui a publié un ouvrage sur ses recherches, estime que les ouvriers à l'origine de ces "constructions" ont taillé la colline en forme de pyramide avant de la recouvrir d'une sorte de béton primitif. La colline la plus grande sur laquelle les travaux ont été engagés, est haute d'environ 70 mètres. Sa base est un quadrilatère dont les côtés mesurent 220 mètres. Après la découverte en août, à l'aide d'une sonde, de "nombreuses anomalies du sol", à une profondeur de 17 mètres, il est revenu accompagné d'experts pour réaliser des recherches plus approfondies. Une géologue sur le site, Nadja Nukic, explique avoir été frappée par la découverte de trois couches d'une pierre inconnue, polie et brunâtre, placées à des distances égales les unes des autres.



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    Le directeur du musée Visoko, Senad Hodovic, dit ne pas douter des hypothèses des chercheurs. "Ces pyramides sont évidemment l'oeuvre d'une civilisation. Mais nous devons effectuer des analyses sérieuses pour démontrer par qui et quand elles ont été construites", déclare M. Hodovic. Il explique avoir lui aussi demandé en vain aux autorités de soutenir financièrement des recherches archéologiques à Visocica, endroit également connu pour avoir abrité une cité médiévale.


    M. Osmanagic, qui a vécu pendant les quinze dernières années aux Etats-Unis, assure ne pas chercher la gloire. "Je veux seulement encourager les autorités à prendre au sérieux ce site qui pourrait devenir une attraction lucrative pour le pays", dit-il. M. Osmanagic affirme également que son équipe a découvert déjà les "voies d'accès" dans les deux "pyramides", recouvertes d'une couche de grès épaisse d'une dizaine de centimètres. Vraisemblablement attiré par l'odeur du profit, un homme d'affaires local a déjà acheté la plus grande partie du terrain où se trouvent "les entrées des pyramides".



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  • Cette cité antique, située au Liban, dans le nord de la plaine libanaise de la Békaa, est composée de ruines de l'époque gréco-romaine avec des traces plus anciennes de l'époque sémitique. L'histoire de Baalbeck remonte au moins à la fin du IIIe millénaire av. J.-C. La ville a ensuite été baptisée Héliopolis, "ville du soleil" à cause de son ensoleillement.


    La phénoménale pierre "Hadjar el Gouble" à Baalbek est probablement la plus grosse pierre taillée sur Terre. Au jour d'aujourd'hui aucune grue ne pourrait soulever cette pierre! Ses dimensions sont de 21 m. de long, la section carrée d'environ 4,3m et sa masse est estimée à 1200 tonnes! Elle se trouve dans une carrière non loin de l'Acropole romaine qui est bâtie sur une terrasse à laquelle sont incorporées trois pierres similaires bien que très légèrement plus petites.



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